Les injections géniques anticovid 19 ont de nombreux effets délétères méconnus des candidats
Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?
L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….
Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …
LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]
L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.
« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».
Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes
Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).
Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.
Selon la VAERS :
La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.
Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]
Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :
139 millions de doses du vaccin de Moderna
193 millions de doses de Pfizer
13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.
Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.
Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4]
Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..).
Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.
EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans
Les données américaines pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :
- 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.
« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »
- Parmi les autres décès, deux garçons de 13 ans décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna , trois jeunes de 15 ans cinq jeunes de 16 ans et trois jeunes de 17 ans.
- 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %
ont été attribués au vaccin de Pfizer.
- 406 cas de myocardite et de péricardite avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
- 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.
RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE
Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?
Selon les CDC les chiffres sont comparables [5]
Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.
Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.
L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.
Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.
Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.
Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.
Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans
Selon l’étude des CDC[6], en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).
Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.
Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.
Réactions les plus courantes liées à la myocardite
Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine[7], une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2
Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.
Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.
RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER
Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.
La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP[8] le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.
ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT
Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.
On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.
Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.
Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832[9] sur twitter.
FERTILITE ET PSEUDOVACCIN
Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.
Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter[10].
« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.
Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.
Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanentpuisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.
Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse“… [11]
Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.
LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.
« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride
L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :
- Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
- Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
- Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
- Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques
Les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. »[12],[13]. Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.
Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.
VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE
Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.
En Israël, “85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés” à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés [14]!
En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».
LE REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE
Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.
La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.[15]
Nicole Delépine
[1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/
[2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance
Covid-19 – Les vaccins vu à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo – Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.
[3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
[4]https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/
[5]Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
[6] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)
[7] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic
[8] Advisory Committee on Immunization Practices
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis
[9] Le 1 er aout 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours
[10] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale
[11] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com)
[12] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe /Par le Dr Joseph Mercola
[13]Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed
[14] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive
[15] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)
« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sur les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !
Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5.000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc. etc. C’est un véritable raz de marée. »
https://ripostelaique.com/candidat-a-linjection-attention-danger-informez-vous.html
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Le monde (médical et politique) est devenu fou!!!
La population aussi ! Vous verrez sous peu, « la chasse aux sorcières », contre les non vaccinés ! Même en sachant, ce que contient une dose de vaccin ! Outre le RN messager, qui se transformera en ADN , les excipients sont « des bombes à retardement » ! Un labo espagnol s’est « procuré » un flacon de Pfizer ! Voici son contenu analysé ! du PEG , un plastique, servant de solvant ; et pour 98% du contenu, de l’oxyde de GRAPHENE ! L’oxyde de Graphène est un matériau très cher à élaborer, qui ne peut se faire « artisanalement » ! Le Graphène expliquerait le « magnétisme » observé par certains vaccinés ! Ce matériau extrêmement résistant, peut accumuler de l’électricité ! On peut s demander, pourquoi, et dans quel but ! Cet oxyde de Graphène est ici, employé comme solvant ! Nous sommes encore aptes, à nous poser des questions, sur le devenir de tous ces vaccinés ! Pourrons nous, le faire encore longtemps ?
Petit ajout, au cas où des piqués repentis viennent dire qu’ils ne savaient pas…Eux c’est possible, mais les GRANDS SORCIERS eux le SAVAIENT!!!!!!!!!!!!!!
https://twitter.com/BBR_06/status/1423743614212091911