Sic transit gloria mundi ( et de la France aussi ! )
Vous connaissez l’histoire du type qui nourrissait des crocodiles ?
Il disait : » ils vont s’apercevoir que je suis très gentil avec eux et ils ne me mangeront jamais » .
C’est ce qui arrive à l’ Occident.
Et plus particulièrement à la France.
Vous voulez que je vous dresse la liste des crocodiles que la France nourrit ?
( en France, et à l’étranger ! )
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Benoît Rayski : voici pourquoi l’Occident décline et se meurt
Et comme les autruches, sentant son destin scellé, il met la tête dans le sable.
« Le Déclin de l’Occident » d’Oswald Spengler date de 1922. Un livre sombre et noir qui fascina tous les penseurs de l’époque.
S’il annonçait le pire c’est qu’il avait été écrit après le traumatisme de la Première Guerre mondiale, la plus sanglante hécatombe que le monde ait jamais connue.
Spengler allait un peu vite en besogne. A cette époque, l’Occident, bien que meurtri, dominait le monde. Son empire colonial s’étendait de l’Afrique à l’Asie en passant par les pays arabes du Proche Orient.
Sa supériorité technologique et culturelle se portait garante de sa toute puissance.
Surtout l’homme occidental estimait qu’il était investi d’une mission civilisatrice. Ce que Rudyard Kipling appelait « le fardeau de l’homme blanc ».
Cette mission s’accompagna – pourquoi le dissimuler ? – d’un cortège d’exactions, de cruautés et de mépris à l’égard des dominés.
L’homme occidental avait de la vigueur à revendre. Il le montra pendant la guerre 1939 – 1945, encore plus meurtrière que la précédente, quand il terrassa le totalitarisme nazi.
Il en fit de même dans les années qui suivirent contre le totalitarisme communisme dont il triompha.
Puis l’Occident, sans doute fatigué par tant d’efforts, décolonisa et se retira des terres qu’il avait conquises : le repos du guerrier.
C’est alors que l’effrayante prophétie de Spengler commença à prendre corps.
On ne voulait pas mourir mais juste survivre.
Un autre ennemi que le nazisme et le communisme fit son apparition.
L’Occident repu et podagre l’installa sur ses terres par lassitude et pour certains par collaboration.
Ainsi avait fait Rome dans l’Antiquité en accueillant les Barbares. Mais le rayonnement de la civilisation romaine était tel que les barbares devinrent vite romains.
Rien de tel aujourd’hui.
Nous assistons maintenant à une nouvelle trahison des clercs. Ils veulent la paix : à tout prix, à n’importe quel prix.
Ils s’inclinent donc – se couchent serait plus juste – devant une foi qui les subjugue car ils ont abandonné la leur.
Au temps où l’Union soviétique existait encore, les pacifistes criaient : « plutôt rouges que morts ».
Actuellement les mêmes ou leurs enfants, crient « plutôt verts (cette couleur n’est pas uniquement celle de l’écologie) que morts ».
Pour bien comprendre où nous en sommes on peut relire Spengler.
Et surtout – parce que c’est d’actualité – lire « La France s’éteint, l’islam s’embrase… » de Henri Rey–Flaud. Son titre dit tout.
https://www.atlantico.fr/decryptage/3595226/voici-pourquoi-l-occident-decline-et-se-meurt-oswald-spengler-civilisation-culture-declin-crise-rudyard-kipling-benoit-rayski-
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Nous ne savons plus ou ne voulons plus nous défendre:d’ailleurs quel pays a encore une armée (la Russie?),Un proverbe romain disait « in pace bellum! »si tu veux la paix prépare la guerre!!
Il n’y a rien a rajouter!
in pace parabellum
C’est bien connu, pour avoir longtemps côtoyé ces bestioles: même pas la reconnaissance du ventre..
Le pire, c’est quand l’oligarchie se sert des indigènes pour garder le pouvoir sous couvert d’humanisme et d’universalisme, c’est ce qui arrive aujourd’hui.