Nous exigeons du gouvernement français « l’intégration immédiate, pleine et entière» de  5000 médecins algériens

 

Reddition sans condition : on découvre encore un symptôme du coranovirus !

On remarquera dans le texte ci-dessous le ton de ceux qui sont habitués à obtenir : il est demandé au gouvernement français…

Surfant sur  la crise sanitaire, les musulmans multiplient les exigences en ce moment : droit aux  appels à la prière,  cimetières spéciaux pour les musulmans, boucheries halal à chaque coin de rue…

Ils  voudraient maintenant que Macron considère que les études de médecine algériennes valent bien les nôtres.

Hop ! Un petit coup de tampon pour s’être donné la peine de faire le déplacement depuis l’autre côté de la Méditerranée et le tour serait joué !

Ils refont juste un peu l’histoire : le coronavirus n’est pour rien dans leur présence massive  en France où ils sont venus pour se faire «discriminer».

Tout simplement, le système de santé de  l’Algérie qu’ils ont décidé de fuir est en totale décrépitude et manque de tout (de médecins aussi peut-être, oserons-nous suggérer…)

 

Une lettre ouverte adressée au Premier ministre, Édouard Philippe.

(…)

Si ces doctorants, jeunes chercheurs et, surtout, médecins internes étrangers avec des diplômes français ne semblent pas trouver d’obstacles particuliers pour intégrer pleinement le système de santé en France, c’est loin d’être le cas pour les praticiens à diplômes hors Union européenne (PADHUE), qui eux souffrent de discrimination administrative depuis plusieurs années.

Malgré un «statut précaire» et un «salaire dérisoire», ils participent «en première ligne» à la lutte contre la pandémie du Covid-19 aux côtés de l’ensemble de leurs confrères, tel que le souligne une lettre ouverte adressée au Premier ministre, Édouard Philippe, et rendue publique le 5 avril.

 

(…)

 

Ils contribuent ainsi largement, selon les signataires, à maintenir «le fonctionnement du service hospitalier dans la bourrasque et sauvent des vies dans des conditions difficiles matériellement, mais aussi périlleuses pour eux-mêmes».

Afin d’éviter qu’ils retournent «à la précarité et à l’incertitude sur leur avenir en France une fois la crise surmontée» et en guise de «reconnaissance de la nation pour leur courage  et dévouement», il est demandé au gouvernement français «d’engager immédiatement l’intégration pleine et entière dans le système de santé de tous ces praticiens» cantonnés dans des statuts désavantageux

 

Alors qu’ils officient régulièrement dans tous les services au sein des hôpitaux publics et autres centres hospitaliers, où ils sont parfois indispensables, notamment dans les déserts médicaux, ils sont considérés comme des médecins de seconde zone.

Ce sont généralement des non-titulaires, engagés à titre contractuel pour un salaire souvent en deçà de ce qu’ils méritent. Cela concerne singulièrement les praticiens avec des diplômes algériens. Ils représentent environ un tiers du nombre total des PADHUE en France, évalué par le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) à plus de 14700 personnes.

En effet, parmi les quelque 15 000 soignants nés en Algérie et exerçant en France, toujours d’après les estimations du CNOM, près de 5000 d’entre eux ont fait leurs études de médecine en Algérie avant d’émigrer à la recherche de meilleures opportunités professionnelles, bénéficiant d’une législation favorable à leur venue.

Cependant, aussitôt arrivés, ils sont discriminés par rapport à leurs collègues formés localement et se voient cantonnés dans des statuts désavantageux : Faisant fonction d’interne (FFI), Praticien attaché associé (PAA), etc.

En attendant la réaction de l’Etat français, qui pourrait profiter de cette situation sanitaire d’exception pouvant s’étaler dans la durée pour régulariser la situation de tous les PADHUE, il est à noter que la nouvelle loi santé, adoptée le 16 juillet 2019, prévoyait déjà l’intégration des médecins ayant des diplômes étrangers au cas par cas, surtout ceux considérés comme «indispensables» au système de santé français.

 Paris

De notre bureau  Samir Ghezlaoui

https://www.elwatan.com/pages-hebdo/france-actu/pres-de-5000-medecins-diplomes-en-algerie-en-attente-de-regularisation-en-france-14-04-2020

 

Ils crachent sur la France peu « reconnaissante ».

Ils sont « discriminés ».

Petit rappel : sur place, le travail ne manque pourtant pas, il y a aussi de la souffrance à soulager pour ceux qui ont fait le Serment du Médecin Algérien.

L’histoire ne dit pas si les petits malades algériens abandonnés sont eux, «reconnaissants» du départ des milliers diplômés de leur pays…

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17 Commentaires

  1. La Belle Europa n’a pas besoin d’eux. Qu’ils aillent soigner en Afrique.

  2. et les “accidents” ne se comptent pas, mais sont passés sous silence, erreurs opératoires, ignorance fatale d’utilisation d’appareils médicaux…
    mieux vaut pas tomber entre leurs pattes

  3. C’es pas difficile,tous ceux qu’on rencontre dans les PMU,sont médecins,commissaires de police,ou ingénieurs de je ne sais quoi;sauf que ce sont tous des menteurs,des bons à rien et des fainéants. Il n’y a qu’à regarder l’état de l’Algérie,depuis que nous y avons été,pour les aider à se développer;tout est à l’abandon. Jamais,non,jamais nous n’aurions dû nous préoccuper de ce pays merdique;car maintenant ,ils savent où se trouvent les pigeons,et vont tous venir avec des faux diplômes de médecin;probablement faciles à obtenir en Algérie,tout comme les faux certificats de travail,qu’ils utilisent ensuite,pour venir toucher une retraite en France. Ils sont tous comme ça;c’est dans leur sang,il ne faut pas chercher plus loin.

  4. Il y a déjà plus de 20% de médecins nés à l’étranger inscrits au Conseil de l’ordre.
    Dans certaines régions réputées déserts médicaux, par exemple dans l’Ain, déjà en 2013 les praticiens diplômés hors de France représentaient près de 40% !!!…
    Il y a, en France, au niveau des études, une sélection impitoyable qui est incompréhensible et qui handicape fortement nos candidats nationaux.
    Ceci vaut également pour d’autres professions para-médicales, comme l’orthophonie par exemple : concours d’admission très coriace + 5 années d’étude en France, contre 3 seulement en Belgique !!!…
    Et avec la validation des photocopies et numérisations bricolées, bonjour la fraude !…
    On est toujours bien dans le cadre de la politique de nos “gouvernants” : “les autres plutôt que les nôtres” !….

  5. 104 parlementaires issus de 10 partis adressent une lettre à Edouard Philippe pour réclamer la régularisation des sans-papiers face à l’épidémie de Covid-19.

    […] Le JDD

    Les signataires :
    François-Michel Lambert, député des Bouches du Rhône
    Jean-Michel Clément, député de la Vienne
    Bertrand Pancher, député de la Meuse
    M’Jid El Guerrab, député des Français de l’étranger
    Sandrine Josso, députée de Loire-Atlantique

    http://www.fdesouche.com/1362519-coronavirus-104-parlementaires-demandent-au-gouvernement-la-regularisation-de-tous-les-clandestins

  6. Et pas que çà !

    104 députés de plusieurs partis, réclament la légalisation, naturalisation, le long séjour (10 ans) pour les immigrés et clandestins “EN RAISON du Coronavirus !!!”

  7. 5000 médicastres algériens laissés sur le carreau? Et alors, nos étudiants FDS , sous la loi du numerus clausus depuis 80 ans?. Ma fille a été opérée en mars 1997 à Ambroise Paré à Boulogne par un remarquable chirurgien libanais qui était en train de repasser TOUS ses diplômes après une pratique de plus de 10 ans dans son pays, tout en opérant pratiquement 7 jours sur 7 à Boulogne ;il les a tous obtenus, bien sûr. Mais lui, combien d’années avant d’avoir le titre de chirurgien des hôpitaux? Mais ce n’est pas en Algérie qu’il avait étudié et pratiqué sa spécialité. C’était à Beyrouth..J’ai connu une cardiologue ukrainienne à la même époque, ayant exercé huit ans comme chef de service, obligée de tout repasser: depuis les premiers examens!

  8. Les blédards ont à peine le niveau d’un infirmier !!! Et c’est un d’eux qui me l’a dit !!! Le diplôme de médecin algérien a la valeur d’un diplôme d’infirmier chez nous. Non à leur régularisation. C’est Wargon, le mari d’Emmanuelle Wargon qui réclame cette régularisation…
    C’est du grand n’importent quoi !!! Qu’ils retournent aider leurs hôpitaux…

  9. nous avons dans nos familles respectives une grosse poignée de médeçins, dont deux Professeurs………

    ces hommes ont été formés en France

    ils ont inauguré le funeste numérus clausus (qu on aurait du appliquer sans pitié a tous ces sociologues et branleurs du même jus de sciences humaines et autres markétinge…inutiles)

    et on voudrait aujourd’ hui piller le mirifique système de santé algérien ?? (je déconne) mais c’est une honte absolue!!

    le plus nul de nos infirmiers te soignera mieux que ces patachons !!

    fumiers de gouvernants français!

    y a qu a voir le nombre de dentistes et kinés, qui sont le résultat de ce numérus clausus, parce qu on les a virés dés la première année criminelle

    ordures !!

  10. J’en ai côtoyé un, soit disant médecin en algérie, aide soignant en France. Il savait même pas prendre la tension.
    Il y a ceux qui ont vraiment fait médecine en algérie mais qui n’ont tout de même pas le niveau et ceux qui ont acheté le diplôme.

  11. Et nous, nous exigeons que la salope qui nus mène par le bout du nez, distribue les armes et les munitions.

  12. Nous exigeons que les 5000 médecins retournent en Algérie pour lutter contre l’épidémie au titre de l’aide à l’Afrique.
    MDR

  13. Bonjour,

    Le pire est que les mêmes (El Watan etc) , sans aucune honte, nous accusent de piller (sic) les talents algériens …

    Leur mise en accusation de la France est sans fin, nourrie de tout et du contraire de tout …

  14. j’ai eu l’occasion de croiser des médecins maghrébins pendant des séjours à l’hôpital et il faut dissocier ceux qui ont fait leur études de médecine en France et les autres qui ont appris au bled. Et bien les blédards ( ceux qui on gardé l’accent avec des misiueur, si ou plait,…) n’ont pas le niveau de nos médecins et ils n’auront jamais le niveau, sans compter que leur rapport au corps n’est pas adapté à ce métier. J’en veux pour preuve l’anecdote qui est arrivé à une amie qui devait passer un examen cardiaque…Le pseudo médecin tournait la tête pour ne pas croiser un bout de sein en posant les électrodes et quand elle lui demanda pourquoi il agissait ainsi il s’énerva cet abruti. Sans compter qu’un musulman soignera toujours mieux un frère ou une sœur. Un conseil ne tombez pas sur ces médecins pendant le ramadan car ils sont à l’ouest pendant cette période ces tarés.

  15. des déserteurs ….?
    ils ne manquent donc pas à leurs congénères ?

    A quand la fin numérus closus en FRANCE ?

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