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Qui est Bill Gates ? Que fait-il de sa fortune ? Dans quoi investit-il ? Ce sont des questions auxquelles il nous faudra répondre pour comprendre l’horreur de ce qui est en train de se faire et va nous tomber très vite dessus, d’une manière certaine.
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L’argent de la famille Gates n’est pas investi pour lutter contre des maladies rares, telles que celles pour lesquelles on a inventé le téléthon… non, non , non.
Il n’est pas investi non plus pour aider ceux qui, aux Etats-Unis, ont une retraite de misère qui les oblige à travailler à 80 passés… non, non, non…
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Le philantrope Gates s’occupe des têtes en l’air qui ont perdu leur carnet de vaccination. L’enjeu est terrible. Il faut savoir, immédiatement, si le gars hospitalisé est à jour des ses vaccins… ce qui, jusqu’à présent, se faisant en quelques minutes, me semble-t-il. Quoi de mieux que des nanoparticules injectées sous la peau permettant au médecin de les lire avec son smartphone ?
Par ailleurs, quelle urgence mondiale peut-elle justifier qu’on ait à connaître l’état de vaccination de l’individu ?
Ce n’est pas de la science-fiction. Gates est déjà en train de tester la faisabilité de la chose en finançant des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh. Là où des gens fragiles, facilement manipulables par les « english doctors » sont susceptibles de croire ce qu’on leur dit et d’accepter de se faire implanter un carnet de vaccination sous la peau. ..
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Cette histoire pue, salement. Et ça fait sacrément peur.
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Des ingénieurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée. L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes et les dossiers médicaux électroniques, inexistants.
Le système, décrit mercredi dans la revue « Science Translational Medicine », n’a pour l’instant été testé que sur des souris, mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates, espèrent les expérimenter dans les deux prochaines années.
Des questions éthiques
La technique est censée être plus durable que le marquage par feutre indélébile. Les chercheurs ont simulé cinq ans d’exposition au soleil. Mais cette avancée potentielle pose des questions éthiques. Les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau, pour chaque vaccin ? Et qu’adviendra-t-il des nanoparticules quand le corps des enfants grandira ?
La Fondation Gates poursuit le projet et finance des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces techniques ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.
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Première question… Que va-t-il se passer le jour où cette technique sera non seulement possible mais rendue obligatoire, ce qui arrivera inévitablement ? Beaucoup de choses.
C’est non seulement le carnet de vaccination mais le Carnet de santé en entier qui sera injecté, au prétexte que, ainsi, tout médecin pourrait connaître traitements, histoire médicale, intolérances…
Ce sera un moyen fort commode de vérifier que toute la population a bien reçu les vaccins obligatoires, rendus obligatoires, les fameux 11 vaccins (pour le moment) dont la plupart ne servent à rien en pays occidental quand il ne sont pas nuisibles, ô combien.
Ce sera donc un moyen d’empêcher que, de fait, quiconque passe au travers de la vaccination obligatoire… permettant ainsi des bénéfices accrus aux sacro-saints-labos.
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Toutes nos données seront donc centralisées sur un serveur, accessible aux piratages… et sous la peau de nos bras, accessibles par un simple smarphone !
Et si des employeurs exigent d’avoir accès à cette mine de renseignements avant d’embaucher un nouvel employé, à coups de chantage… Allez consulter tel médecin pourri et payé par l’entreprise… Même si c’est illégal on sait trop comment l’appât du gain peut conduire nombre de gens à des pratiques illégales, avec la complicité des victimes, prêtes à tout pour obtenir un emploi.
Ce sera un moyen fort commode de marquer comme des bêtes les êtres humains, vieux rêve de nombre de dégénérés. D’autres dégénérés voulant se faire passer pour vous seront-ils en mesure de pirater vos données, voire de les récupérer sous la peau de votre bras ? Je sens poindre le film d’horreur.
Sans compter, comme le signale le Parisien, qu’on ignore tout à fait ce que deviendront les nanoparticules insérées sous la peau des enfants quand ils vont grandir…
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Et Bill Gates ? Intéressons-nous à la fameuse fondation « Bill et Melinda Gates » administrée par le couple Gates et un autre milliardaire, Warren Buffett. Elle se donne pour missions la lutte contre la pauvreté, la protection de la santé, le renforcement de l’éducation, la promotion d’une agriculture intensive… Rien que ça ? Presque un pouvoir de gouvernement… La fondation intervient dans une centaines de pays, elle dispose d’un budget de 4 à 5 milliards de dollars annuels
Ecoutons ce qu’en dit Lionel Astruc, auteur de L’art de la L’art de la fausse générosité – La Fondation Bill et Melinda Gates (Editions Actes Sud, mars 2019).
À l’occasion de la publication de L’art de la fausse générosité – La Fondation Bill et Melinda Gates (Editions Actes Sud, mars 2019), We Demain a rencontré son auteur, Lionel Astruc. Le journaliste a enquêté sur la philanthropie du fondateur de Microsoft qui, selon lui, exploite les techniques du capitalisme, mélange les intérêts privés et publics, et menace la démocratie.
Lionel Astruc, auteur de seize livres consacrés à la transition écologique, a mené de nombreuses enquêtes sur les filières de matières premières, les origines des biens de grande consommation et les initiatives pionnières pour transformer la société. Il a suivi, depuis leur source, les flux financiers qui alimentent les actions dites caritatives de la Fondation.
- We Demain : Comment enquête-t-on sur une institution aussi puissante que la Fondation Bill et Melinda Gates ?
- Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre ?
C’est le renversement d’image, aussi rapide qu’efficace, que Bill Gates a su opérer juste après le procès qui a duré 4 ans, de la fin des années 1990 au début des années 2000. Le gouvernement américain a poursuivi Microsoft au motif d’avoir abusé de sa position dominante pour gagner la bataille d’Internet. Les Américains ont alors découvert les méthodes de la compagnie qui faisait du chantage aux constructeurs d’ordinateurs… L’ébranlement de son image a beaucoup affecté Bill Gates, et c’est la raison pour laquelle, probablement pour redorer son blason, il a créé la Fondation Bill et Melinda Gates. Le fait d’arriver à faire croire au monde entier qu’il est l’homme le plus généreux alors que preuve venait d’être faite qu’il y avait eu violation des lois de la libre concurrence – son entreprise échappera finalement au démantèlement – m’a fasciné. Voir ce renversement d’image durer m’a aussi décidé à écrire ce livre. Pour nombre de journalistes, Bill Gates via sa Fondation est une sorte d’icône de la philanthropie.
- Justement, vous remettez en question l’affirmation selon laquelle Bill Gates serait LE bienfaiteur de la planète. Vous évoquez dans votre ouvrage une « fausse générosité ». Concrètement, comment se manifeste-t-elle ?
Elle recouvre plusieurs aspects. Tout d’abord on n’est pas généreux avec l’argent des autres, avec des ressources dont on prive les Etats via l’évasion fiscale. Le montant de l’évitement fiscal est souvent supérieur à ce qui est donné par la fondation. Ensuite, la fondation est adossée à un fonds d’investissement, qui finance les causes mêmes de la pauvreté et du pillage des ressources, on le verra.
Et enfin les prétendus dons entraînent des conflits d’intérêt à grande échelle (il s’agit souvent de soutenir des multinationales) et à petite échelle : la revue scientifique britannique The Lancet relève par exemple que la Fondation lutte prioritairement contre les maladies qui appellent la diffusion de vaccins et néglige les autres maladies. Ainsi, la recherche sur la pneumonie, la diarrhée et la sous-nutrition maternelle et infantile, responsable de 75 % des morts d’enfants, est relativement peu financée par l’organisation. Pourquoi ? Parce que ces maladies ne nécessitent pas la création de nouveaux vaccins mais la mise en place de mesures de préventions efficaces qui sont déjà connues…
- Vous racontez également l’attitude de la Fondation dans la lutte contre le paludisme…
On sait aujourd’hui que l’absorption de l’artémisia – plante qui a fait l’objet d’études, de thèses – sous forme de tisanes, est aussi efficace pour lutter contre cette maladie infectieuse qu’un vaccin. Malgré cela, l’OMS, sous l’influence de la Fondation Bill et Melinda Gates, principal contributeur du budget de l’organisation mondiale ces dernières années – en 2015, elle lui fournissait 15 % de son budget, soit quatorze fois plus d’argent que le gouvernement britannique –, a interdit l’artémisinine et favorisé le déploiement du vaccin antipaludique, nommé Mosquirix, développé par une société, GSK, qui a l’appui financier indirecte de la Fondation Gates.
- Mais les vaccins sont souvent la meilleure solution, non ?
Parfois oui mais pas toujours. Or pour le savoir, il faudrait a minima accorder des moyens équitables aux recherches portant sur des solutions moins lucratives pour l’industrie pharmaceutique…
- D’où vient la fortune de Bill Gates ?
Bill Gates, qui ne détient aujourd’hui plus que 1,3 % du capital de Microsoft mais qui reste le deuxième actionnaire de ce groupe, tire sa fortune des dividendes de ses actions détenues dans la compagnie informatique. Le fondateur de Microsoft continue à s’enrichir. Selon le magazine Forbes, sa fortune personnelle est passée de 54 milliards en 2011 à 96,5 milliards de dollars en 2019, soit un bond de 42,5 milliards de dollars en 8 ans.
- Bill Gates s’est engagé à léguer 95 % de sa fortune personnelle à de bonnes œuvres avant sa mort. Expliquez-nous pourquoi cet argent n’est pas directement distribué à des œuvres caritatives…
En effet, cet argent est investi. Comment ? Il est confié à un fonds d’investissement, un trust qui le place dans des centaines de sociétés. Et, in fine, ce sont les dividendes générés par les actions de ce trust qui sont utilisés pour réaliser ces dons. Un système complexe qui pourrait être acceptable… Le problème, c’est que les secteurs qui ont été choisis pour profiter de cette manne sont aux antipodes des missions affichées par la Fondation – lutte contre la pauvreté, protection de la santé. En effet, dans quoi investit ce fonds ? Dans les énergies fossiles (Total, BP…), l’industrie de l’armement (BAE Systems au Royaume-Uni), dans les industries d’extraction minière, et aussi les OGM (Monsanto/Bayer), la malbouffe (McDonald’s, Coca-Cola)… On est très loin de l’intérêt général. D’autant que certaines entreprises du trust sont aussi les bénéficiaires des dons de la fondation. Le conflit d’intérêt est avéré. On est vraiment dans le capitalisme avant d’être dans la générosité… Utiliser les techniques du capitalisme pour faire de la philanthropie sert les multinationales bien plus que l’intérêt général.
- D’où le néologisme de philanthrocapitalisme, terme d’origine anglaise dérivé de philanthropie et de capitalisme (1)…
Oui, aux yeux de Bill Gates, la philanthropie habituelle ne fonctionne pas assez bien. Pour l’améliorer, il faut utiliser les règles du capitalisme. Les personnes qui soutiennent le philanthrocapitalisme pensent que leur argent et leur manière de fonctionner peuvent remplacer le fonctionnement des Etats. Bill Gates s’inscrit pleinement dans ce présupposé, lui qui refuse au maximum de payer ses impôts. Il faut savoir que les montants des évitements fiscaux de Microsoft sont souvent égaux, voire supérieurs à ceux que la Fondation donne.
- Une fois que l’argent a fructifié, comment est-il employé ?
Bill Gates a la conviction que la technologie et les grandes entreprises sont la solution pour sauver le monde. Dans le domaine agricole, il choisit de soutenir l’agriculture chimique, biotechnologique, et en particulier le développement des OGM, notamment en Afrique, au détriment des semences libres, de l’agriculture vivrière et des petits paysans. La Fondation figure à la cinquième place des plus gros financements pour l’agriculture dans les pays en développement. Elle a plus de budget que bien des États.
- Donnez-nous un exemple concret qui illustre la façon d’agir de la Fondation ?
Un exemple avec l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, l’Agra, filiale africaine de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui est l’un des acteurs les plus influents du continent en matière d’agriculture, et notamment auprès des gouvernements. L’Agra s’attache avant tout à promouvoir la production commerciale de graines, de ce fait elle soutient la mise en place de systèmes commerciaux, offrant à quelques grandes sociétés, comme Monsanto/Bayer [société dans laquelle le fonds de dotation investit], la possibilité de contrôler la recherche et le développement ainsi que la production et la distribution semencières. On s’aperçoit que l’Agra renforce la dépendance des agriculteurs aux semences brevetées, aux OGM, aux produits chimiques, marginalisant les alternatives agroécologiques. C’est ce qui est pratiqué au Malawi. Là-bas, l’Agra va directement voir les petits détaillants, appelés les agrodistributeurs, et les pousse à vendre des produits phytosanitaires. Dans ce pays, on a assisté à une augmentation de 85 % des ventes des produits phytosanitaires sachant que près de 70 % de ces produits proviennent de Monsanto. La Fondation Bill et Melinda Gates est, sur le continent africain, un véritable cheval de Troie pour Monsanto/Bayer et pour l’ensemble de l’industrie agrochimique. Notons au passage que le responsable du département agriculture au sein de la Fondation est Rob Horsch, ancien cadre chez Monsanto.
- Quel rôle joue la fondation dans le domaine de la santé ?
La Fondation mène des actions de grande ampleur contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Elle est le plus gros donateur mondial en matière de recherche sur ces maladies. Les vaccins y sont, comme je l’ai dit, privilégiés au détriment de solutions moins industrielles et potentiellement tout aussi efficaces.
En conséquence, Bill Gates impose ses solutions via sa Fondation qui oriente les politiques de recherche et de développement que ce soit dans le secteur privé ou public.
- La Fondation, sous prétexte d’action caritative, stimulerait donc la croissance de ses partenaires financiers…
Oui, il existe des conflits d’intérêts dans le secteur pharmaceutique, le secteur agricole, alimentaire. Un exemple dans ce dernier, avec Coca-Cola. En 2014, le trust de la Fondation Bill et Melinda Gates possédait 538 millions de dollars d’actions chez Coca-Cola. En parallèle, la Fondation finançait des programmes pour que des communautés , dans les pays du Sud, notamment au Kenya, deviennent des filiales de la marque. Elle finançait notamment, avec Coca-Cola, un projet visant à produire des fruits de la passion directement destinés à Coca-Cola ; dans ce cadre 50 000 agriculteurs ont été formés afin de produire pour la chaîne d’approvisionnement de Coca-Cola.
- Cette philanthropie s’inscrit dans une tradition américaine difficilement concevable en France, où existe un Etat providence, mais ce n’est pas le cas aux Etats-Unis…
Oui. Mais dans les années 1950, les fondations de Andrew Carnegie et de John Rockefeller étaient tournées constamment en dérision, critiquées dans les journaux, les gens n’avaient aucune illusion sur l’opportunisme de ces fondations ; aujourd’hui il n’y a plus de recul ou très peu et la critique vis-à-vis de cette Fondation est très mince. Le philanthrocapitalisme devient un nouveau signe extérieur d’appartenance à la communauté des super-riches, comme ont pu l’être les jets privés et les villas somptueuses. Comme le dit la sociologue Linsey McGoey : « ce déluge de philanthropie a contribué à l’avènement d’un monde où les milliardaires concentrent toujours plus de pouvoir sur les politiques d’éducation, l’agriculture mondiale et la santé comme jamais auparavant ». Où est le contrôle démocratique ? Ce pouvoir permet au 1 % de la population mondiale qui possède la moitié des richesses de la planète de consolider le système qui les a conduits à cette situation. Bill Gates maîtrise l’art de transformer cette pseudo-générosité en pouvoir pour alimenter un système qui le porte, lui, en haut de la pyramide. Mon objectif, c’est de faire en sorte qu’on sache à qui on a réellement affaire !
https://www.wedemain.fr/La-philanthropie-de-Bill-Gates-alimente-la-machine-capitaliste_a3977.html
Pour ceux qui se faisaient encore des illusions sur Bill Gates, c’est sans doute un choc. Mais aucune des assertions tirées du livre d’Astruc n’a été contestée, pas de procès… et pourtant Gates a les moyens de se battre au sein des tribunaux.
Comment ne pas faire le lien entre les révélations ci-dessus et les recherches/expérimentations sur la greffe de carnets de vaccination, de santé… et plus demain sans doute ! Et ils sont capables de nous vendre cela au motif qu’il faudrait, pour lutter contre l’immigration irrégulière, que les clandestins soient « pucés » dès la naissance avec noms des parents, date de naissance, pays de naissance… Nous savons que tout cela, y compris la carte des vaccinations, ne peut se faire dans l’Afrique sans infrastructure actuelle, et n’est imaginé que pour nous, les « riches »… Les Africains servent de cobaye, tout simplement. Et ce sont des gens qui nous traitent de racistes qui osent cette exploitation de la misère africaine, en attendant de nous vendre, très cher, leur saloperie de technologie.
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Pire que nous coller codes-barres et qr-codes comme sur de vulgaires emballages, ils nous l’inocule!Pire que le puçage des chiens et des chats!
Nous devons résister et contre -attaquer sur deux fronts totalitaires, celui qui vient du passé le plus archaïque, l’islam, et celui du « libéral-progressisme » qui veut nous ficher à vie!
Le monstre est un hybride, ne nous y trompons pas, car les deux agissent de concert contre les peuples pour nous asservir.
Le puçage des corps a été révélé par le Christ !
Ce sera la marque de la bête et il ne faut en aucun cas se laisser implanter cette puce car elle servira à nous marquer et nous manipuler !
Si vous n’êtes pas croyant, vous pouvez vous foutre de ma gueule, si vous êtes croyant, vous savez que ces événements, tout comme des catastrophes naturelles, guerres, terrorisme et des épidémies marquent la fin des temps!
RODRIGUE IL Y A LONGTEMPS QUE JE SAIS QUE LA PUCE ÉTAIT LE SIGNE DE LA BÊTE MAIS MAINTENANT CHACUN PREND SES RESPONSABILITÉS
Le salopard de bill gates peut aller se faire foutre avec ses puces ou nano-particules sous-cutanée , aucunes de ces saloperies ne sera injecter sous ma peau , tous ces supers-riches sont des hypocrites et des manipulateurs ils sont bouffi d’orgueil et ne se sentent plus pisser , le bill gates se croit intouchable , tout puissant , mais en réalité il n’est qu’une grosse merde de pollueur , manipulateur , hypocrite , et de plus un assassin en puissance avec monsanto /bayer qui pollue la planète avec leurs saloperies d’ogm et leurs merdes sde produits phytosanitaires , tous ces enfoirés de philanthropes de mes deux et leurs comparses devraient être juger par les peuples de la terre pour crime contre l’humanité .
Mme Tasin
Votre article, bien que complet, démontre votre état d’esprit, une sorte de fatalisme ne serait-ce que par ces termes : « horreur de ce qui est en train de se faire et va nous tomber très vite dessus, d’une manière certaine ».
Vous semblez oublier que la France est une nation très vaccino-sceptique et que l’avocat R. Kennedy a gagné son procès contre l’Etat américain, sans compter, cela va se savoir, la relation fort crédible entre le SRAS chinois et les obligations vaccinales dans ce même pays. Vous pouvez, si vous le voulez, entrer en contact avec nos médecins, par l’intermédiaire de Mr Jacques Daudon dans les Htes-Alpes . Nous avons des centaines de mamans prêtes à ne pas s’en laisser compter, défendant leurs progénitures, procès à la clef.
Monsieur Daudon merci pour votre commentaire. Je ne suis pas une fataliste, bien au contraire, sinon croyez-vous que je continuerais de me battre contre l’islam avec les risques que je prends ? Ce que vous appelez fatalisme c’est d’affirmer que ça va nous tomber dessus. ça ne veut pas dire que nous n’allons pas résister. Je serais ravie de pouvoir vous interviewer. Merci de me dire à contact@resistancerepublicaine.com si vous en êtes d’accord. Je supprime de votre commentaire votre téléphone, pas la peine de vous laisser submerger d’appels, il n’y a pas que des amis qui lisent notre site.
« Elle se donne pour missions (…) la promotion d’une agriculture intensive » – on sait ce que ceci signifie – : voilà qui ne devrait pas plaire à Miss Brins d’Acier autrement prénommée Greta. Étonnant qu’elle ne lui fasse pas les gros yeux !?
billl gates a toujours été une petite ordure, pour ca il devrait bien s’entendre avec l’autre qui loge a nos frais a l’Elysée.
en fait lui personnellement il n’a jamais rien inventé ni créé il a tout récupéré sur ses » associés » son seul coup de génie c’est d’avoir vendu les droits d’exploitation de windaube tout en en gardant la propriété, il a toujours exploité les autres il n’y a pas de raison qu’il change!