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Photo Le Figaro, l’exemple de Mathilde, maintenant à la campagne, charmante photo. Mais l’islamisation de nos villes est absente du débat.
(L’ alléchante vitrine parisienne en médaillon n’est pas dans le Figaro !)
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Les non-dits des enquêtes de presse sur les néo-ruraux qui ont quitté (l’enfer de) leur ville, ces fameux « citadins qui rêvent de vivre à la campagne « …
Un article du Figaro publié ce weekend (12 octobre) avait pour titre :
Quitter la ville pour s’installer à la campagne: ils l’ont fait!
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Mais dans le contexte actuel où règne la censure et où chaque mot doit être pesé, aucune mention de la profonde transformation des villes qui deviennent invivables, aucune allusion à l’invasion migratoire et au conflit de civilisation qui en découle.
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Les vraies raisons que taisent les journaux sont pourtant ailleurs.
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Interdit de nommer les choses.
On se contente d’évoquer une « perte de sens » ou une « forme de lassitude » !
Quelle hypocrisie !
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Extraits de cette très mignonne enquête (qui ne dérangera guère le système).
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ENQUÊTE – Chaque année, près de 100.000 citadins prennent la clé des champs. Quatre Français sur cinq en rêvent. Nous sommes allés à la rencontre de ceux qui ont osé franchir le pas.
Chaque année en moyenne, selon l’Insee, près de 100 000 citadins décident pour des raisons diverses [vous n’apprendrez rien avec le journal : voir quelques pistes plus loin !]de quitter la ville pour aller s’installer à la campagne.
Mais pour beaucoup, au-delà du rêve de nature et de l’envie de se fixer de nouveaux enjeux, la motivation essentielle est directement liée à la hausse vertigineuse des prix de location et d’achat des logements dans les grandes villes et leurs proches banlieues.
D’après une enquête Ifop pour l’association Familles rurales de 2018, quatre Français sur cinq rêveraient de vivre à la campagne.
Une petite révolution dans un pays où 80 % de la population vit aujourd’hui dans un environnement urbain ou en agglomération. Le plus souvent, c’est en fin de carrière ou après l’arrivée d’un enfant que la volonté de changement se fait plus forte. Mais parfois, c’est tout simplement lié à une forme de lassitude, à un sentiment de perte de sens. Pour Ipsos, 95 % des candidats au départ espèrent tout simplement trouver de meilleures conditions de vie, 38 % veulent prendre un nouveau tournant et 25 % retrouver leurs racines. Mais en réalité, plus de 75 % des personnes interrogées renoncent finalement à partir, principalement par crainte de ne pas trouver d’opportunité professionnelle.
«Pour dire les choses simplement, assure le photographe Jean-Michel Turpin, qui a quitté Paris pour un petit village de Sologne, je ne reconnaissais plus Paris, la ville où je suis né et où j’ai passé toute ma vie. Je revenais d’un reportage dans le Morbihan, quand j’ai pris brutalement conscience que tout autour de moi semblait avoir changé: les rapports entre les gens, l’urbanisme, le savoir-vivre…
[Il faut lire entre les lignes…]
Alors, après cinquante-deux ans de vie parisienne, j’ai mis en vente mon logement et j’ai cherché une maison dans une région où j’avais déjà passé des vacances et où j’avais des amis d’enfance. En six mois, j’ai tout changé».
«Après 52 ans de vie parisienne, j’avais envie de nature, de temps long, de simplicité et de vrai», explique Jean-Michel Turpin, 59 ans, photographe, Thoury (loir-et-cher).
[Photo : à ne pas aborder les vrais problèmes des villes, on arrive à une mièvrerie sans nom !]
Comme lui, Caroline et Bertrand Fisse, un couple qui travaille dans la création graphique, ont pris la clé des champs après avoir vécu plus de quinze ans à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine, en région Ile-de-France.
«A l’époque, nous avions trois jeunes enfants, se souvient Bertrand Fisse, et nous ne trouvions plus de sens à la vie que nous menions [comme c’est bien dit ! comprend qui veut !]
Alors, naturellement, nous avons décidé ensemble de retourner vivre dans notre région d’origine, la Normandie, où nous sommes désormais établis depuis 2003.
Bien sûr, dans nos métiers et en tant qu’indépendants, il nous était plus facile que pour d’autres de laisser la ville derrière nous.
Grâce aux nouvelles technologies et au développement sans précédent des réseaux de communication, nous avons pu monter notre agence et la faire fonctionner comme si nous étions encore des citadins, la qualité de vie en plus. Notre seul regret? Ne pas l’avoir fait plus tôt!»
Mathilde Perrichon, 40 ans, productrice de plantes aromatiques, Coye-La-Forêt (Oise) = photo d’illustration.
Ce que l’on trouve ici et qui n’existe plus à Paris, c’est une vraie solidarité, entre voisins, entre amis…
Si on a un souci, un problème de voiture, de garde d’enfants, si on n’a plus de farine ou d’œufs, un besoin de déplacer une armoire ou tout simplement de parler, on n’est jamais seul.
En fait, on se recrée une famille d’adoption et beaucoup de chaleur humaine. On est aussi plus en contact avec son environnement, plus sensible aux saisons, aux paysages.
Les enfants peuvent faire des cabanes, marcher pieds nus et faire du vélo tout seuls…
Et puis les tomates ont un vrai goût de tomate, et ça croyez-moi, ce n’est pas rien!»
Ce que deviennent nos villes :
exemples à Paris (ne cherchez pas dans le Figaro !).
Ci-dessous : Juillet 2019 : témoignage d’une riveraine « excédée, terrifiée, démoralisée »
PHOTO PRISE DEPUIS SA FENETRE.
Témoignage concret, sans fioriture du quotidien du quartier.
REGARDEZ BIEN LA PISCINE EN BAS DE L’IMAGE !
Ci-dessous : Porte de la Chapelle, avril 2011 / avril 2019.
La dégringolade de Paris est parfaitement visible sur Google.
Ci-dessous : vous seriez rassurés que vos enfants aillent dans cette école maternelle avec la faune qui squatte dans les coins et les fils électriques qui pendouillent ?
Ci-dessous :
« Irrésistible gentrification » ?
Le 33-35 rue Saint-Denis à deux époques.
Entre la photo d’Atget vers 1900 et aujourd’hui, le prix du mètre carré a explosé, des aménagements considérables ont été réalisés (Beaubourg, Les Halles, piétonisation…).
Pourtant l’espace public s’est dégradé et enlaidi…
Ci-dessous : dans certains lieux, la pollution visuelle et l’agitation nous font louper de petites merveilles.
Portail du très bel immeuble du 14 bd Barbès, ancien siège des établissements Charles Collot. L’atelier de serrurerie est aujourd’hui occupé par un artiste bien connu.
Ci-dessous (Google et source interne) : ce qu’est devenue la rue Jean-Pierre Timbaud Paris 11e .
En mars et mai 2019, ses ravissantes boutiques…
Quand un boulanger sert systématiquement les hommes avant les femmes, quand les petits commerces sont remplacés par des librairies islamiques et les magasins de mode ne déclinent plus dans leurs vitrines que la gamme très réduite du voile intégral, l’atmosphère de la rue s’en ressent forcément…
Sur le sujet, lire :
Rue Jean-Pierre Timbaud, une vie de famille entre bobos et barbus, Géraldine Smith (Stock, 2016).
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Le pire c’est la complicité des néo ruraux qui font l’apologie du vivre ensemble alors qu’ils ont quitté la ville à regret pour fuir la diversité qu’ils prônent devant les péquenots. Ces néo ruraux prennent le contrôle d’association rurales grâce souvent à leur bagout et leur connaissance de la pêche aux subventions, se retrouvent au conseil municipal et imposent des projets sociaux culturels bien loin des besoins réels des habitants. De plus depuis 10 à 15 ans démographie et invasion migratoires font que les musulmans prennent pieds dans les villages les reculés.Vous pouvez très bien croisez devant l’école primaire une femme voilée et chercher son journal dans la maison de la presse où le patron néo ruraux fait la promotion de la culture LBGT voit des fascistes partout mais semble aveugle devant la présence de ses futurs égorgeurs.
A Mulhouse, l’insécurité est tellement insupportable qu une partie de la population blanche quitte la ville, dixit un agent immobilier.
J’y étais encore aujourd’hui, et je ne peux que constater de nombreuses incivilités commises par la minorité musulmane
De toute façon la France n est plus la France que j ai connue ah c est vrais suis un vieux con mais dans dix ans la France sera à majorités islamique mêmes nos gouvernants le seront
C est pourquoi si ai émigré dans un autre pays qui n est pas du tout dans cette politique la du genfoutre
Les Parisiens quittent Paris, comme les Londoniens ont quitté Londres qui a désormais un maire musulman, une ville où les agressions font partie des faits divers quotidiens…
oui mais qui sont ces néo-ruraux en général ? des bobos gauchistes qui sont pour l’immigration et le vivre ensemble (pour les autres pas pour eux bien sur ) . qui sera pénalisé dans cette histoire ? encore le blanc précaire ou moyen , qui lui ne pourras pas s’ installer a la campagne , parce que avec l’offre et la demande que cela vas impliquer a cause de nos bobos néo-ruraux , les ruines , les terres et les maisons a acheter ou louer deviendrons hors de prix . après avoir gentryfié nos villes , les voilas qui gentryfie nos campagnes !
amis paysans et ruraux si vous voyez des bobos- néo-ruraux arrivés chez vous , chassez les !
Je poursuis ma petite tirade.
Eh bien aux dernières nouvelles communiquées par notre maire, il a été demandé des repas sans porc à la cantine. La maire a refusé. Je ne connais pas la suite !
Il ne faut pas trop enjoliver les choses.
Nous avons quitté notre capitale régionale pour s’installer à la campagne à notre retraite. Bon, la maison nous plaît, le village adorable (400 habitants).
Eh bien, il y a 3 ou 4 familles africaines et durant un certain temps leurs gamins faisaient des dérapages sur le trottoir de notre maison, tiraient la sonnette (à cause du petit york qui réagissait). Nous avons fait intervenir la mairie pour les calmer. Maintenant, ce sont des adolescents qui se retrouvent le soir sur la place, dégradent et se cachent sous le préau de l’école pour faire leur trafic !
Je confirme vôtre article, perso j’ai habité le 95 plus de 30 ans et nous avons dû nous résoudre à quitter notre ville qui ne ressemble plus à ce qu’elle était à l’origine, abandonnant la maison que l’on avait fait construire. Nous nous sommes repliés en Vendée, nous y avons trouvé beaucoup de personnes ayant fuient la région parisienne pour les mêmes raisons que nous.
J’en rage que des politiques successives aient pu nous mener à prendre une telle décision à repenser notre avenir à tel point que j’envisage de réclamer des indemnités au gouvernement pour couvrir les frais de cette expropriation subtile et forcée qu’on nous a fait subir Je sais pertinemment qu’il qu’il n’y aura pas de suite mais cette démarche aura le mérite d’attirer l’attention de leurs conneries. Si tous les exfiltrés de leur territoires présentaient comme moi leur facture au gouvernement je pense que cela ferait du bruit car il est un fait que nous devrions être en colère au lieu de payer et nous taire. Qu’attendons-nous ?
Excellent article. Un témoignage de plus sur la fin de civilisation occidentale. Je pense qu’à l’époque de l’empire romain, les citoyens romains on du avoir le même type de transformation au fil des années.
Perso , pour ce qui est de mes séjours en Gaule
à la retraite , j ‘ai quitté le 77 pour le sud et un patelin de 480 âmes , des vieux , des vignerons et des chasseurs qui ont peut être la vue basse et s’il apercevaient 1 barbu , le prendraient bien pour 1 sanglier ….
pas de cantine , ni piscine à financer
Je fais partie de ces parisiennes qui ont fui ce Paris que j’aimais tant et que je ne reconnaissais plus au moment de la retraite, alors que mes grands parents eux ,n’avaient pas eu à quitter leur arrondissement et étaient décédés dans la ville où ils avaient toujours vécu .Déjà dans les années 70, les premiers signes d’occupation commençaient à apparaitre et mes parents sont partis à 100km de Paris dans l’Yonne là où il faisait encore bon vivre, ce qui n’est plus le cas en 2019;E n ce qui me concerne, si j’aimais la campagne,lors des vacances, je ne pensais pas être obligée de m’exiler en province, habitant le 19ième arrondissement, dans un bel et grand appartement ,lasse de voir un changement total de population , intervenant à chaque occasion ( et les occasions d’incivilités et autres étaient nombreuses!!),,,mon Mari et moi ,avons décidé de partir à 300 kms de Paris dans un pied à terre petit mais où nous avions la paix( village de 600habitants). Et de puis récemment à la suite d’un accident obligation de prendre un appartement dans la ville la plus proche, si la résidence est tranquille ,depuis 3ans, l’invasion a commencé, maghrébins et africains subsahariens il va de soi que voiles et tenues vestimentaires apparaissent en grand nombre et le maire centriste leur installe 2lieux de prière:! Ne parlons pas de Rennes , de Laval villes à 38 kms submergées!!!Si je peux me permettre une réflexion à part choisir un petit village où se replier , sans commerçants où effectivement on a la paix , toutes les régions , sont envahies et notamment chaque ville de province.:
C’est partout pareil , dès que des mahométans arrivent dans un quartier les Français commencent a se replier ailleurs ou ils seront rattrapés plus tard d’ailleurs par cette invasion . Des membres de ma famille sont en train de le vivre , ils sont propriétaires de leur maison dans un quartier pavillonnaire calme ou ils comptaient finir leur vie tranquilles , ils ont eu la surprise de voir pousser des maisons sur les quelques mètres carrés restants libres dans le lotissement , certains de leurs voisins ont même vendu une partie de leur jardin devenu constructible ( l’argent n’a pas d’odeur dit on ! ) . Et qui a acheté ces maisons ?….exclusivement des mahométans équipés du kit complet , Audi neuve , la moukère bâchée qui brique la piaule toute la journée …etc…d’où vient le fric ? Bref les histoires avec les Français du coin n’ont pas tardé a commencer , l’un s’est vu accuser de vol d’habits sur le fil a linge du muzz … c’est un comble ..! A moins que ce monsieur de 60 ans n’ait voulu faucher la bâche pour protéger son canot stationné dans le jardin , un autre s’est vu accuser de dégradation de véhicule …..ce monsieur de 54 ans siégeant au conseil municipal propriétaire de 3 maisons et directeur de société n’a sûrement que ça a faire , Chaque jour voit son lot de problèmes avec ces » gens » qui entrent chez vous comme dans un moulin pour vous emmerder et refusent de sortir d’une propriété privée . Les menaces n’ont pas tardées a venir et tout le monde vit avec l’arme au pied attendant que cela dégénère . Merci aux enculés qui ont permis la venue de cette infection en se faisant du fric et qui sont partis en profiter sous des cieux plus cléments , qu’ ils crèvent en se vidant d’une diarrhée ! ceux qui restent vont avoir beaucoup de mal a vendre leurs piaules et foutre le camp ailleurs ou ils seront rattrapés tôt ou tard par cette infection !
paris ? un trou a merde remplie de pudukus malfaisants
paris n’est qu un trou a merde remplié de rats est de nuisibles !!!!!!
A eux les villes avec les CAF, Pole emploi, les hôpitaux, les associations,… et aux souchiens les campagnes avec 30 kms pour trouver une école, un boulanger à 10 kms, 8 mois pour voir un opthalmo, ….. mais on peut encore Boire un Ricard dans les rares cafés encore ouverts, acheter du porc chez le boucher et ne pas voir ces têtes de cul comme la voilée du conseil général de bourgogne qui avec son sourire en coin s’est foutu de notre République en instrumentalisant son mioche car ils n’ont plus de limites/ Alors oui remettons les campagnes dans nos villes et profitons des 5 fois par jour ou ils ont le cul en l’air pour leur botter les fesses.
Très belle enquête ! Au Figaro, ils ne peuvent pas tout faire quand même, ils sont occupés à chasser Zemmour.
Espérons que ces citadins ne viennent pas chez nous pour faire taire nos coqs, ânes et vaches….!