Le pouvoir de nuisance des barbus est bien plus grand que celui que l’on prête aux voilées…

Les barbus ne comptent pas pour des prunes. Leur pouvoir de nuisance est bien plus grand que celui que l’on prête aux voilées !

On parle souvent des voilées pour dire que l’islam se rend de plus en plus visible sur les trottoirs de France. On le fait plus facilement car le tissu qu’elles portent sur la tête attire le regard et ne peut être confondu avec autre chose. Mais n’oublions pas les barbus, ces hommes qui se trimballent en barbe et qamis occidentalisé pour donner le change. Ceux-là ont une concurrence opportune, les «hipsters», ces amateurs de barbe qui arborent fièrement leur pilosité faciale afin d’affirmer leur liberté de penser et de se démarquer des règles en vigueur dans la société !!!

Ce mouvement vient, à mon sens, brouiller la visibilité des musulmans puristes, ceux qui par leur barbe, leur tenue font la promotion du modèle mahométan le plus abouti. Le port de la barbe est rendu anodin par tous ces hommes de plus en plus nombreux à pavoiser et à dire que c’est génial d’afficher cet attribut. Or si pour eux, c’est pour affirmer un mode de vie décalée, pour les barbus islamiques c’est tout le contraire. C’est, pour une grande part d’entre eux, pour confirmer leur attachement ferme et sans faille au système de pensée prôné par leur prophète. Ces gens vivent avec un cerveau bloqué aux premiers temps de l’islam et des enseignements du sieur mahomet avec tous ce qu’ils ont de plus terribles : Le meurtre des infidèles, des apostats, le maintien des femmes dans un statut abject d’être insignifiant, juste bonnes à b… Ils ne promeuvent donc surement pas la liberté mais justement un totalitarisme sans nom qu’ils souhaiteraient, pour un nombre non négligeable d’entre eux, imposer sur l’ensemble de la surface de la Terre. C’est comme l’a décidé le prophète des musulmans et pas autrement.

Tout chez eux le dit, leurs vêtements, leur façon de parler, de se tenir, de regarder les autres, leurs attitudes. Tout et c’est ce que je trouve le plus effrayant mais malheureusement pas pour tout le monde apparemment.

En France, on ne se méfie pas assez d’eux comme avec les voilées dans la mesure où l’on voit beaucoup de barbus aller et venir tranquillement dans les rues, travailler en toute quiétude dans notre société.

Quel n’est pas mon étonnement quand je vois ces hommes, qui portent en eux la haine mahométane, au volant de bus de kouffars! Je ne comprends pas plus quand je les vois dans la sûreté privée, la livraison et bien d’autres secteurs encore ; tous ces hommes, au cerveau hautement coranisé, qui n’accordent toute leur attention qu’à l’idéologie mortifère nommée islam. Mon cœur se brise à chaque fois et ressent une telle impuissance face au renoncement des uns et la complicité des autres.

Quand peu de femmes voilées arrivent à décrocher un travail, on ouvre dans le même temps en grand les portes aux barbus, individus qui pourtant détestent tout ce qui fait l’Occident et ses valeurs. Le témoignage de Ghislaine Dumesnil, machiniste à la RATP, parle de lui-même et donne la vision d’une réalité encore trop souvent ignorée par le commun de nos concitoyens.

Pour ma part, j’ai compris le danger que représentent les barbus, dans les années 90, lorsque j’avais dû aller en Kabylie voir ma grand-mère mourante. Là-bas, j’avais été interloquée de voir des barbus, adeptes du FIS (front islamique du salut), s’exprimer à visage découvert, au micro des journalistes de la télévision unique algérienne pour dire leur haine et le mépris vis-à-vis des femmes. J’avais enragé d’apprendre que pour eux, tout le malheur qui touchait leur société venait des femmes et des libertés qu’elles avaient réussies à obtenir à l’époque. En effet, de plus en plus d’entre elles étudiaient, travaillaient, sortaient en bref vivaient leur vie. Un crime impardonnable pour les adeptes du coran, une infamie rien de plus rien de moins. D’ailleurs, la seule « gentillesse » qu’ils voulaient bien accorder à la gent féminine, c’était 3 sorties en tout et pour tout : Leur naissance, leur mariage et leur enterrement !!!

Ma rage latente s’était réveillée à ce moment précis et depuis elle ne m’a plus jamais quitté…

Beaucoup de femmes avaient fini par comprendre l’horreur mais trop tard, seulement au moment où elles avaient refusé de rentrer dans le rang islamique : refus du voile, continuer à se rendre à la plage, travailler, aimer…

Entre celles qui avaient été défigurées et celles qui avaient été assassinées comme la vaillante Katia, cette jeune fille refusant de nier sa féminité en rejetant le port du voile, le prix avait été élevé.

http://resistancerepublicaine.com/2016/07/30/assassinee-pour-avoir-refuse-de-porter-le-voile-lettre-ouverte-a-katia-bengana/

http://anglesdevue.canalblog.com/archives/2009/07/15/14399315.html

A Bougie, ville de la petite Kabylie où je me trouvais, les frères, les pères, les maris, pour préserver les femmes de l’idéologie des barbus, n’avaient pas hésité à occuper la rue avec une fermeté implacable…

Je peux vous dire que c’est ce qui avait permis la tranquillité des femmes dans toutes leurs activités de la vie quotidienne quand dans d’autres régions, elles ne faisaient pas long feu dans le merdier islamique. Les islamistes avaient compris que les Kabyles n’allaient pas rester, à attendre les bras ballants, leur ignominie et donc ils ne s’étaient pas plus aventurés sur la voie de la répression des femmes.

Voilà ce que j’avais vu, entendu quand j’étais restée auprès de ma chère grand-mère dans ses trois derniers mois de vie. J’avais vécu, en plus de mon chagrin d’avoir perdu un être cher, la peur de ces hordes de barbares. A l’époque, je m’étais dit en rentrant en France : « Ouf ! Heureusement que je suis loin de toute cette folie ».

Eh bien voilà qu’un peu plus de deux décennies plus tard, cette folie nous a rattrapés ici dans notre douce France et qu’elle a installée sur notre territoire un climat de peur et d’angoisse…

Qui l’eût cru ! Sûrement pas moi ! Malheureux constat que l’on ne pouvait pas prévoir mais si un peu quand même, au vu des nombreux renoncements des valeurs de la France…

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