Déposer et restaurer les vitraux, puis les reposer a été une tâche nécessitant une haute technicité et l’amour fou du métier, comme en témoignent ces deux vitraillistes.
Et Macron oserait remettre ce travail en cause en imposant sa lubie de vitraux « modernes », il ne sait donc pas que la mode, c’est ce qui se démode le plus vite ? (voir l’article précédent « Les premiers visiteurs du monument vont pouvoir admirer ces vitraux restaurés, et il sera bien difficile de convaincre qu’il faille les changer, à grand frais (rappelons que le coût total sera compris entre 3 et 4 millions). Nous invitons donc nos lecteurs qui ne l’auraient pas fait à signer la pétition
https://www.latribunedelart.com/le-point-sur-l-affaire-des-vitraux-de-notre-dame
https://www.facebook.com/reel/590759290086733
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Des bijoux de beauté et de technicité.
Minus, pas touche à nos vitraux !!
Il faut protéger la Sainte Chapelle à PARIS.
OUi, je l’ai pensé aussi
Magnifique; un art très difficile. J’aime beaucoup l’expression « mettre en lumière » à propos d’un vitrail, quand il est terminé. Tout un symbole
Toutes mes félicitations admiratives aux vitraillistes ! tout simplement magnifique travail ! Merci â vous !
Aller dans une cathédrale pour admirer les vitraux…Je les vois, les milles, les cents les cent milles, leur téléphone en main… J’entends les décibels de leur propos amoindris… Une cathédrale qui était faite pour entendre le murmure des anges ! Sans moi!
Ces vitraux sont magnifiques . A notre Dame de Paris comme dans toutes les églises ce qui vous soulève est le chant de fin de messe Le Salve Regina:
https://products-images.di-static.com/image/a-preciser-cd-salve-regina/3487720000560-475×500-1.jpg
https://youtu.be/bA2M8j9Pdig
Merveilleux artisans qui continuent la tradition du Beau et du Bon ,dignes heritiers et porteurs de la creativite du peuple!.Qu’ils soient loues et benis!
Nous avons évité le pire. L’art moderne ou le triomphe de la nullité.
NON ami, lisez bien : le « concours » de vitraux est toujours en cours !
J’évoquais les vitraux déjà restaurés. Je signe la pétition. Paris, la France se recouvrent d’horreurs plus laides les unes que les autres. . Pour détendre l’atmosphère, une anecdote vécue : dans notre village, lors de la tempête de 99, un artiste local a sculpté un tronc d’arbre à la tronçonneuse. Cette horreur a été exposée sur la place de l’église sur un socle. Les insectes xylophages l’ont dévorée entièrement. La mairie a dû faire évacuer les restes à la déchetterie. À la place, une magnifique croix de fer forgé de bonne facture . Quand je vois le titre ronflant d’artiste plasticien sur une carte de visite, je crains le pire. Paris et ses colonnes de Buren, cette affreuse pyramide du Louvres qui coûte cher à nettoyer et due au pharaon Mitteratton premier (les horribles meubles du même pharaon vendus aux enchères et dus à un illustrissime designer, le centre Pompidou qui ressemble à une usine à gaz, j’ai envie de vomir. Amitiés.
A notre Dame comme dans toutes les églises il ne s’agit pas que d’art . C’est avant tout lieu de foi, de recueillement même si certains pensent que c’est un rendez vous de grenouilles de bénitiers alors que d’autres pensent que ce n’est que du patrimoine ou un lieu de tourisme.
Ces ouvriers là sont des artistes, des vrais. Le nombre d’années qu’il faut pour devenir un vitailliste accompli.
Quelle merveille !
Signer la pétition s’impose pour ne pas permettre l’outrage, l’altération même partielle, même artistique envisagée. Les abus et autres détournements ça suffit !
Merci Bermudienne, j’écrivais le premier article simultanément à votre commentaire sur la Tribune des arts,commentaire que j’ai vu juste après. Vous et moi, nous sommes sur la même longueur d’ondes.Soyons nombreux à signer car beaucoup n’ont pas compris que le « concours » inventé par Macron pour des vitraux modernes n’est pas annulé, le risque est toujours là, le pire n’est pas encore officiellemnt évité !
Évidemment, il ne faut pas changer les vitraux! Merci Mme Rabier de rendre hommage aux artisans, mot qui définit lui même sa noblesse car il contient le suffixe « art ».
On s’en fout des artisans en soi. Ce qui compte ce n’est pas que le travail technique ou l’aspect esthétique, Ce qui compte c’est que cette cathédrale et ses vitraux inspirent ce lieu pour rencontrer le Christ par l’intersession de Marie sa mère.