Education : le bout des excuses et des tolérances

Source de l’illustration : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/menaces-au-college-herriot-de-chenove-l-adolescent-voulait-planter-sa-professeure-d-anglais-avec-un-couteau-6177680

L’affaire de Chenôve nous renvoie à la réalité que les enseignants se sont abstenus de voir, par pure idéologie, pâmés qu’ils sont devant les élèves issus de la diversité et venus, par définition, nous « enrichir ».

A Chenôve, le syndicat des responsables d’établissements monte au créneau, demandant que l’on prenne plus en compte ce qu’il appelle pudiquement des « élèves perturbateurs », selon la formule issue du jargon désormais utilisé en pareil cas. Il n’y a pourtant pas besoin d’utiliser de circonlocutions pour évoquer l’incident de Chenôve.

Il s’agit d’un jeune de quinze ans, français issu de cette immigration dont il ne faut pas parler, qui fait allusion aux attentats du 13 novembre 2015 et à la prise d’otage, selon le syndicaliste policier, moins gêné que celui de l’Education pour parler du profil de l’assaillant. Et les enquêteurs de conclure que cela « n’a rien à voir » avec un attentat, comme toujours, on se demande ce qu’il leur faut ?

Il y aurait nécessité, pour résoudre un problème, d’en poser correctement l’énoncé, cesser de faire croire aux parents d’élèves, que ce type d’incident peut arriver dans tous les collèges et avec tous les profils d’élèves. Pas du tout. Il n’arrive que dans les collèges à forte majorité de populations vendues comme de l’enrichissement culturel et qui se révèlent, dans des proportions conséquentes, une ruine.
 

Pendant des décennies, devant l’évidence de la réalité, il a été choisi, comme élément de langage, de dire qu’il s’agissait d’une « infime minorité ». Sauf que si ça avait été le cas, le problème serait réglé depuis longtemps. Se souvenir que 50 % des professeurs ont estimé avoir déjà dû s’autocensurer devant les élèves en question, un pourcentage qui ne cadre pas avec l’idée d’une minorité à la manœuvre. On retrouve ce profil d’élève dans quasiment tous les faits gravissimes en lien avec l’éducation, récemment à Cachan, avec les meurtres au couteau de professeurs, comme à Biarritz ou avec Samuel Paty, les affaires de violences et intimidations en tous genres, l’antisémitisme affiché, avec le drapeau palestinien à Sciences-Po, le port de l’Abaya et ainsi de suite… on retrouve les mêmes profils, hors des établissements, avec l’affaire Nahel, et plus récemment l’affaire Wanys, où ces mêmes « jeunes » refusent d’obtempérer. Dans ces faits de fuite, la très grande majorité concerne ces mêmes profils de « jeunes » qui estiment qu’ils peuvent légitimement tenter de se sauver, là où les concitoyens ordinaires s’arrêtent, montrent leurs papiers… et restent en vie.
 

Il y a bien une réticence à parler de ces profils et la technique employée consiste à sous-entendre que cela peut arriver partout en France et avec n’importe qui : ce n’est pas le cas. L’école et la société civile ont raté le coche avec cette catégorie de « jeunes », des 14/30 ans, venus des quartiers sensibles, systématiquement en cause dans les affaires de violence, à l’école et ailleurs, pour lesquels les lois ordinaires semblent ne pas s’appliquer, ou s’appliquer moins bien et moins durement qu’avec les autres jeunes de ce pays.

Il s’agit là d’une contre-société à l’oeuvre, qui pratique le rodéo urbain, la sortie de couteau, la menace et la violence, sans qu’on ait, à aucun moment, l’impression que les institutions dont ce serait le rôle, ne prennent ce problème à bras le corps, sous prétexte du profil particulier des contrevenants. Rappelons que les jeunes de l’immigration asiatique, qui ne sont pas non plus de notre culture judéo-gréco-chrétienne, se sont parfaitement inscrits dans le système scolaire. Ils en sont même les meilleurs élèves, en particulier les Chinois, selon une statistique commandée par Najat Vallaud-Belkacem, voici quelques années. Et ils ne sont jamais apparus en relief dans la délinquance. Il ne s’agit donc pas d’un racisme « systémique » de la France et encore moins d’un défaut d’accueil de notre pays. Mais bien d’une conduite purement communautaire.
 

La solution choisie est celle de la rétention d’informations, en ne diffusant pas les profils des contrevenants, dont tout le monde pourtant se doute bien, de la dilution d’un phénomène circonscrit à un seul type de personne, dans l’ensemble de la nation, ou l’ensemble des établissements scolaires. Et ainsi sacrifier des victimes innocentes sur l’autel de l’idéologie d’un vivre ensemble heureux qui n’existe nulle part. Nous l’avons déjà dit au RPF, il faut utiliser plusieurs armes, celle de la suppression des allocations diverses et des logements sociaux. L’arme de la déchéance de nationalité pour les binationaux et les procédures d’expulsions pour les élèves et les jeunes étrangers. Et appliquer la loi de la même manière à tout le monde, sans distinction de l’origine. Le genre d’affaire auquel nous faisons face est passé en quelques décennies d’une fois par an, à tous les jours et personne au gouvernement, ne semble s’en soucier, au mépris des morts, des désordres et des peurs qui sont devenus le quotidien de nos concitoyens.
 

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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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3 Commentaires

  1. Ce sont les solutions proposées par Eric ZEMMOUR.
    Sans prise de mesures efficaces, nous allons droit dans le mur.
    La remigration est obligatoire.

  2. S’il y a racisme c’est bien de la part de ces gens-là envers les autochtones. D’échéance de la nationalité pour toute la famille et retour au bercail. Faudra-t-il appliquer la loi du talion pour réclamer justice ?

  3. Merci, oui Mr Macron en service à Marseille, dont la radio France infos nous apprenait qu’il avait pris la mesure et l’étendue des problèmes !! ces jeunes lui disaient :” oui la drogue, mais comment voulez vous que l’on vive ?” nous avons parfois des diplômes mais ils ne sont pas reconnus !! C’est vrai que lorsque nous cherchions du travail, NOUS, en attendant, nous ne faisions pas de trafic, quel qu’il soit ! on ne rentrait pas non plus en classe avec des couteaux ! on ne jouait pas à la victime perpétuelle, on se présentait à des entretiens avec un minimum de politesse et de savoir !. Je sais ce que je dis, pour avoir vécu dans une cité et pour avoir un certain âge, je ne reconnais pas mon pays, qui n’est plus le mien d’ailleurs …et pour mettre un terme à toutes ces difficultés, Macron ouvre les vannes : ce matin un reportage pour nous dire que des gazaouis venaient en France alors qu’ils n’étaient pas acceptés dans des pays qui ont la même culture !!

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