Pour l’Aïd, Biden pleurniche sur les Ouïghours et les Rohingyas : pas une larme ! (1)

A la Maison-Blanche, Biden célèbre l’Aïd et pleure sur les Ouïghours et les Rohingyas !

Menteur ! Dhimmi !

« Aujourd’hui, nous nous souvenons aussi de tous ceux qui ne peuvent pas célébrer ce jour saint, notamment les Ouïghours et les Rohingyas et tous ceux qui sont confrontés à la famine, à la violence, aux conflits et aux maladies », a déclaré Biden.

« Nous devons reconnaître qu’il reste énormément de travail à faire à l’étranger et ici, chez nous. Les musulmans rendent notre nation plus forte chaque jour, même s’ils sont toujours confrontés à de véritables défis et menaces dans notre société, notamment la violence ciblée et l’islamophobie qui existe », a-t-il ajouté.

Biden a donc dépeint les musulmans comme des victimes. Il a mentionné, en particulier, deux peuples musulmans qu’il considère comme des victimes innocentes – les « Ouïghours et les Rohingyas ».

Les Ouïghours : les Chinois ne font que stopper la conquête islamique !

S’agissant des dix millions de Ouïghours de la province chinoise du Xinjiang, il ne fait aucun doute que les Chinois ont frappé fort, mais l’emploi du mot « génocide » est totalement erroné. Il n’y a pas eu de massacres de Ouïghours ! Il y a eu des persécutions, ce qui est une chose différente : aux grands maux, les grands remèdes.

Jusqu’à un million de Ouïghours ont été forcés de se rendre dans des camps de rééducation où les instructeurs tentent de réduire leur attachement à l’islam. Ils ne sont pas autorisés à donner à leurs enfants des noms musulmans, ni à porter une barbe « religieuse », et ne peuvent lire que la version fortement édulcorée du Coran que le gouvernement chinois a préparée et dont il insiste pour qu’elle soit utilisée – une version qui ne mentionne pas le jihad violent ni le mépris et la haine des infidèles.

Les Royingyas : ce n’est pas une « tragédie » mais au contraire une lutte contre la submersion islamique !

 Si les Rohingyas avaient eu gain de cause, le nord du Myanmar serait aujourd’hui une partie du Bangladesh dominée par les musulmans !

La situation des Royingyas est beaucoup plus compliquée que celle des Ouïgours. Il est clair que Biden ne connaît pas l’histoire de ce peuple musulman, mais les rédacteurs de ses discours auraient dû l’informer de ce que l’on peut facilement trouver sur les Rohingyas en quelques minutes de recherche sur Internet, afin qu’il s’épargne ces énormités.

Examinons ce que l’on sait des Rohingyas :

Selon la plupart des médias du monde, à partir de 2017, une tragédie insondable s’est déroulée au Myanmar. La majorité bouddhiste, enflammée par de sinistres moines, aurait commencé cette année-là à persécuter, à chasser vers le Bangladesh ou à tuer les membres de la minorité musulmane Rohingya, totalement inoffensive, qui vivaient dans l’État de Rakhine, au nord du pays (autrefois, et dans certains endroits encore, appelé « Arakan »).

Le terme « Rohingya » désigne, comme l’a noté le professeur Andrew Selth de l’université Griffith, les « musulmans bengalis qui vivent dans l’État d’Arakan… la plupart des Rohingyas sont arrivés avec les  britanniques aux XIXe et XXe siècles ».

Depuis 50 ans, ces Rohingyas mènent une insurrection de faible intensité dans le nord du Myanmar, assassinant des enseignants, des moines, des policiers et d’autres représentants de l’autorité dans le nord de l’État de Rakhine.

En 1826, après la guerre anglo-birmane, les Britanniques ont annexé l’Arakan (État de Rakhine) à l’Inde britannique. L’État de Rakhine, dans le nord du Myanmar, est le lieu où vivait la quasi-totalité des 1,3 million de Rohngyas du Myanmar jusqu’à leur récente fuite vers le Bangladesh, en Inde britannique.

Les Britanniques ont commencé à encourager les Indiens, principalement des musulmans, à quitter le Bengale pour s’installer dans l’Arakan en tant que main-d’œuvre agricole bon marché. Ils ont continué à encourager cette migration tout au long du XIXe siècle.

Dans le district d’Akyab, la capitale de l’Arakan, selon les recensements britanniques de 1872 et 1911, la population musulmane est passée de 58 255 à 178 647 personnes, soit un triplement en quarante ans.

Les Birmans bouddhistes assistent impuissants à l’arrivée de ces centaines de milliers de musulmans, mais ils ne peuvent rien faire contre la politique de leurs maîtres coloniaux britanniques.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la retraite des Britanniques face aux Japonais a entraîné une vacance du pouvoir, et des tensions intercommunautaires latentes ont éclaté, avec les massacres d’Arakan en 1942, lorsque 50 000 bouddhistes ont été tués par les Rohingyas dans l’État de Rakhine (Arakan). Les bouddhistes ont réussi à organiser une résistance, et certains affirment qu’ils ont tué jusqu’à 40 000 Rohingyas lors de raids de vengeance.

En mai 1946, les dirigeants rohingyas ont rencontré Mohammed Ali Jinnah, le leader musulman qui a fondé le Pakistan moderne, et ont demandé qu’une partie de l’État de Rakhine soit annexée au Pakistan oriental. Puis, lorsque Jinnah a refusé d’intervenir dans les affaires birmanes, ils ont fondé le parti Mujahid dans le nord de l’Arakan en 1947. L’objectif du parti Mujahid était initialement de créer un État musulman autonome dans l’Arakan.

Les moudjahidines locaux – c’est ainsi que les guerriers rohingyas s’appelaient fièrement – ont combattu les forces gouvernementales pour tenter de faire en sorte que la péninsule de Mayu, dans le nord de l’État de Rakhine, majoritairement peuplée de Rohingyas, fasse sécession du Myanmar (alors la Birmanie).

Après cette sécession, les Rohingyas espéraient que ce territoire serait annexé par le Pakistan oriental (l’actuel Bangladesh). Les combats entre les Rohingyas et l’État birman ne datent donc pas d’hier ; ils se déroulent par intermittence depuis 1947. La révolte des Rohingya a fini par s’essouffler à la fin des années 1950 et au début des années 1960, et nombre d’entre eux se sont rendus aux forces gouvernementales.

Mais l’insurrection musulmane des Rohingyas n’a pas disparu pour autant. Elle a été relancée dans les années 1970, ce qui a conduit le gouvernement birman à organiser, en 1978, une vaste opération militaire (l’opération « King Dragon ») qui a infligé d’importants dégâts aux moudjahidines rohingyas, et a permis d’acheter près de deux décennies de calme relatif.

Mais les Rohingyas se sont à nouveau soulevés contre l’État birman et, dans les années 1990, la « Rohingya Solidarity Organisation » a attaqué les autorités birmanes près de la frontière avec le Bangladesh.

En d’autres termes, l’insurrection des Rohingyas musulmans dure – en dents de scie – depuis 80 ans, depuis le massacre de 50 000 bouddhistes par les Rohingyas en 1942.

C’est dans ce contexte que les craintes bouddhistes d’une prise de contrôle du nord du Myanmar par les musulmans doivent être considérées, et prises au sérieux.

Les moines birmans qui, en 2017, ont attisé le sentiment anti-Rohingya, et les attaques contre eux, ne se sont pas comportés par malignité sans motif ; ils étaient parfaitement conscients de toute cette histoire. Ils craignaient – comme tant de personnes en dehors du Myanmar ne le comprennent pas – d’être submergés par des musulmans dépassant les mécréants.

Les moines birmans regardent autour d’eux, voient que 50 millions de musulmans se trouvent aujourd’hui en Europe, que partout dans le monde les musulmans dépassent les incroyants, y compris en Inde, juste à côté, et ils ne veulent pas que la même chose arrive au Myanmar, qu’ils considèrent comme étant, avec la Thaïlande, la dernière véritable forteresse du bouddhisme.

Pour les bouddhistes birmans, les Rohingyas ne sont pas un véritable peuple indigène du Myanmar, mais les descendants des musulmans qui ont commencé à arriver du Bengale oriental au XIXe siècle, amenés par les colonialistes britanniques pour travailler.

Le terme même de « Rohingyas » n’est entré dans l’usage courant qu’au cours des dernières décennies. 

Pour de nombreux Birmans, mais surtout pour les moines bouddhistes, les Rohingyas ne sont que des musulmans bengalis qui ont migré du Bengale vers le sud et le nord de la Birmanie au XIXe et au début du XXe siècle.

Ils ne sont que la branche locale de l’oumma  mondiale qui n’a cessé de faire la guerre aux bouddhistes depuis des siècles et qui devient de plus en plus agressive et violente dans le monde entier.

Texte largement inspiré par les informations (très résumées ici) de HUGH FITZGERALD : https://robertspencer.org/2022/05/biden-around-the-world-muslims-are-being-targeted-with-violence

Demain, la suite des pleurnicheries de Biden sur les musulmans.

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12 Commentaires

  1. Bidon représente bien la gauche américaine islamolâtre et immigrationniste.
    Cette gauche qui a décidé d’ islamiser et de créoliser toute l’Europe.
    Biden ne pleure pas sur les populations que les USA ont massacrées et affamées au Moyen Orient, ne laissant que des champs de ruine.

  2. biden a oublié les Chrétiens d’Orient persécutés. Il feint de ne pas savoir, en outre, que ce sont les Chrétiens les plus persécutés de par le Monde.
    Personnellement, et sans vouloir donner l’image d’un coeur sec, je n’arrive pas à pleurer sur le sort des Ouïghours et les Rohingyas.

    • Moi de même. Mon coeur demeure indifférent. Ces gens sont tellement détestables. Déjà , j ‘ ai l ‘ islam en horreur, je me vois très mal avoir de la compassion pour eux. IMPOSSIBLE !

  3. Jules, histoire d’appuyer encore plus ton article :

    Le traitement des royinghas en rabie maudite :
    https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/exclusif-des-centaines-de-rohingyas-sont-emprisonnes-indefiniment-en-arabie-saoudite
    Entre muzzs, « ils se comprennent » !!

    Quand à la Chine, là, mort de rire, car cela montre l’hypocrisie des pays muzzs :
    https://www.dreuz.info/2019/07/la-decision-du-gouvernement-chinois-de-forcer-ses-musulmans-a-manger-du-porc-soutenue-par-16-pays-musulmans-195613.html

    Chine, également, ça date de 2008, mais ça me fait toujours marrer :
    http://archive.francesoir.fr/actualite/societe/chine-une-mosquee-rasee-pour-n-avoir-pas-soutenu-jo-27529.html

  4. Les Ouïghours et les Rohingyas sont victimes de leur propre comportement, ils se sont mal comportés et c’est le même refrain partout dans le monde, on chasse les musulmans parce qu’ils sont incompatibles avec les autres civilisations.

  5. Je suis incapable de verser une larme pour ces gens dont leur torchon de coran nous méprise, nous menace et veut notre mort .Ils adhèrent en toute conscience dont l  » idéologie vénère un homme violent,pilleur, pédophile, assassin, violeur ..pas de sentiments pour eux .

    • Bonjour,

      Oui, c’est tout-à-fait cela.

      Ce qui frappe, chez les musulmans c’est leur ton constant de procureurs et l’incapacité totale à se remettre en question, à s’examiner …

  6. Bush récitait des versets de la Bible avant chaque réunion à la Maison Blanche, Biden récite des sourates du coran. Autres temps, autres mœurs…. Bientôt un pèlerinage à la Mecque, Jo?

    • De quel Bush s’agit-il?
      Les deux Bush n’ont rien à envier aux pourritures au pouvoir ici: Ils ont fait la guerre à Saddam Hussein pour le compte des Saudiens. Bush-père, jeune agent de la CIA, aurait participé à l’assassinat contre JFK. Quant à Bush-fils, il s’est précipité quelques jours après le 11 Septembre 2001 dans un centre islamique de Washington, pour dire que l’islam n’avait rien à voir avec les attaques du 11 Septembre et que l’islam était une RATP.

  7. Nous on a les Bodins eux ils ont biden ! Le mec il est président alors qu’il devrait commencer les bains de boue afin de s’habituer a la terre !

2 Rétroliens / Pings

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