Tiffany, désormais dépendante de sa mère retraitée pour les gestes du quotidien
CHICAGO. La vie d’une jeune femme a changé à jamais après avoir reçu sa première dose du vaccin Moderna.
Tiffany Daly, 28 ans, a soudainement perdu la sensation de ses jambes et s’est effondrée le 22 juillet.
Elle a passé plus d’une semaine à l’hôpital où elle a subi de nombreux scanners et IRM du cerveau.
Un neurologue a finalement diagnostiqué une myélite transverse.
Tiffany avant le vaccin :
Tiffany Daly, une fille active
Tiffany, qui n’avait jamais entendu parler de cette maladie auparavant, raconte :
« C’est une inflammation qui se trouve dans votre colonne vertébrale. La plupart des gens en sont atteints du cou jusqu’aux orteils, et j’ai la chance d’en être atteinte de la taille aux orteils. »
La myélite transverse provoque des douleurs, une faiblesse musculaire, une paralysie, des problèmes sensoriels ou un dysfonctionnement de la vessie et des intestins. Les causes sont nombreuses, notamment les infections et les troubles du système immunitaire comme la sclérose en plaques.
Cependant, Tiffany a déclaré qu’elle était en parfaite santé avant l’incident et a été choquée lorsque le médecin lui a dit que sa maladie soudaine avait probablement été causée par sa première injection du vaccin Moderna, qu’elle avait reçue quelques semaines seulement avant que ses jambes ne s’engourdissent.
« J’étais juste confuse parce que j’étais paralysée et j’avais peur, vous savez ? Et c’est la dernière chose que je voulais entendre : j’ai été paralysée par le vaccin Moderna. »
La myélite transverse (MT) est un syndrome neurologique traduisant une inflammation de la moelle spinale pouvant toucher l’adulte comme l’enfant.
Son étiologie est encore mal comprise, mais semble principalement auto-immune car elle survient souvent après une infection virale (herpès, mycoplasme, EBV, CMV, VIH…), ce qui laisse penser qu’il s’agit d’une « mauvaise » réaction de l’organisme qui au lieu de protéger ses cellules se retourne contre certaines d’entre elles. Wikipedia
Tiffany, 28 ans, est devenue paralysée après sa première injection de Moderna.
La jeune femme de 28 ans, qui n’a pas d’assurance maladie, ne travaillait pas à son poste depuis assez longtemps pour avoir droit à des prestations à temps plein. Après être tombée malade, elle a emménagé dans la maison de sa mère à Oceanside, dans une communauté de retraités, où sa mère s’occupe désormais d’elle à plein temps.
Tiffany et sa mère, Cathy, ont signalé son cas au CDC et l’ont soumis à la base de données VAERS. Elles ont également déposé des rapports auprès de Moderna, de la Food and Drug Administration américaine et du Department of Health and Human Services. Dans tous les cas, dit Tiffany, ils ont reçu une réponse générique et un numéro de cas leur a été attribué.
« Vous savez, je vis avec très peu de sécurité sociale. Ils m’ont simplement dit : ‘Faites ce que vous avez à faire’. Il n’y avait pas de, ‘Allez ici pour de l’aide, allez là pour de l’aide’. Il n’y avait rien. »
Tiffany, qui ne veut pas être un fardeau financier pour sa mère, dit qu’on lui a refusé des prestations d’invalidité.
Une action en justice contre le fabricant de médicaments n’est pas envisageable.
Un médecin expert tire la sonnette d’alarme (dans le vide…. ).
Concerné personnellement : son frère a reçu Moderna : deux jours après avoir été vacciné, il était incapable de marcher.
Un lien personnel avec les effets secondaires pour cet expert médical.
William Fitzsimmons, qui est le fondateur de Tutela Pharmaceuticals, est également professeur adjoint au département de physiologie et de biophysique de la faculté de médecine de l’université de l’Illinois à Chicago.
« En fait, une grande partie des cas de myélite sont idiopathiques, ce qui signifie que nous n’en découvrons jamais la cause, mais les vaccins ont également été associés à la myélite », a déclaré M. Fitzsimmons à NBC 7 Investigates.
Fitzsimmons a documenté la relation entre les vaccins COVID et la myélite transverse, en publiant un article sur le Social Science Research Network.
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3841558
« Je voulais que les professionnels de la santé soient conscients qu’il pouvait s’agir d’un effet indésirable de ces vaccins, afin qu’ils les signalent et qu’ils diagnostiquent et traitent les patients de manière appropriée », a expliqué M. Fitzsimmons.
La recherche de Fitzsimmons est également personnelle. Le cas qu’il a étudié était celui de son frère, Bob.
« Mon frère avait 63 ans », raconte M. Fitzsimmons. « Il était en bonne santé, faisait du jogging presque tous les jours et a reçu sa deuxième dose du vaccin Moderna en avril. Après avoir reçu cette dose, dans la journée, il a commencé à ressentir des engourdissements, des picotements et des douleurs dans ses extrémités inférieures. Deux jours après avoir été vacciné, il était incapable de marcher. Il a été hospitalisé en raison de fortes douleurs et est resté une semaine à l’hôpital. »
Les Centers for Disease Control and Prevention suivent les réactions aux vaccins par le biais de leur base de données Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
Tout le monde – professionnels de la santé, fabricants de vaccins, grand public – peut soumettre un rapport au VAERS.
Jusqu’à présent, sur les plus de 420 millions de doses administrées, 219 cas non vérifiés de myélite liée aux vaccins COVID ont été signalés ; 84 d’entre eux étaient liés au vaccin Moderna, 103 au vaccin Pfizer et 30 au vaccin Johnson & Johnson. Deux sont inconnus.
Fitzsimmons pense que ces chiffres sont sous-déclarés.
« Il sont basés sur des déclarations spontanées », a déclaré Fitzsimmons. « On ne recueille pas toutes les informations ».
Tiffany Daly et sa mère, Cathy, ont signalé son cas aux CDC et l’ont soumis à la base de données VAERS. Elles ont également déposé des rapports auprès de Moderna, de la Food and Drug Administration américaine et du Department of Health and Human Services. Dans tous les cas, disent les Tiffany, ils ont reçu une réponse générique et un numéro de cas leur a été attribué.
M. Fitzsimmons, au nom de son frère Bob, a signalé son cas à Moderna et au CDC et ajoute également n’avoir reçu aucune réponse.
« Ils n’ont pas voulu faire de suivi avec moi et m’ont indiqué fin avril qu’ils ne pensaient pas qu’il s’agissait d’un signal de sécurité parce qu’ils n’ont pas constaté de déclaration disproportionnée de myélite avec les vaccins COVID par rapport aux autres vaccins », a déclaré Fitzsimmons.
NBC 7 Investigates a contacté Moderna et HHS pour s’enquérir des rapports de myélite transverse et des vaccins COVID, mais ils n’ont pas répondu.
« Il y a plusieurs choses qui compliquent la situation pour des gens comme Tiffany et mon frère », a déclaré Fitzsimmons. « L’année dernière, le secrétaire du HHS a signé la loi PREP, qui limite en fait la responsabilité des fabricants ainsi que des professionnels de la santé liée à la pandémie de COVID-19. »
2,009 total views, 2 views today
Une jeune footballeuse de 26 ans décéde hier d une crise cardiaque foudroyante,le monde du football féminin sous le choc..Aurélie Hans,espoir du football féminin..Source, »Dernières nouvelles d Alsace »..Nous sommes nombreux a nous poser des questions !!
Ce que nous vivons est DRAMATIQUE pour les familles.La femme de mon frére s est suicidée déprimée elle a avalait des cachets mon frére » 83 « ans est complétement DEBOUSOLE.. alors qu il a refusé le poison jusqu a maintenant hospitalisé il a reçu les 2 doses + la grippe .Son fils parle de vendre sa maison …J ai pas HONTE de dire que je me trouve bien mieux avc mes AMIS LES ANIMAUX…
…Qu’arrivera-t-il à cette pauvre fille – Tiffany – si sa mère ne peut plus s’occuper d’elle?
Comment va-t-elle bien pouvoir se débrouiller toute seule…?
On finira par lui proposer l’euthanasie, en lui disant que « c’est pour son bien »?
(Et comment envisager une vie de famille – des enfants! -, avec un tel handicap?)
Je vais avoir l’air mauvaise langue, mais j’ai bien l’impression que c’est – au moins en partie – pour ça, qu’on veut absolument autoriser l’euthanasie : pour se débarrasser des futurs handicapés (victimes du « vaccin » Covid, entre autres?) qui n’ont personne pour s’occuper d’eux, et que les cliniques, centres, hôpitaux seront obligés de refuser, car alors en nombres insuffisants…
Ainsi, les handicapés qui seront seuls… qui n’auront personne pour les aider… préfèreront, pour certains, se faire euthanasier que de vivre et mourir à l’abandon (et peut-être dans des souffrances terribles par manque de soins)…
(On leur dira bien sûr que c’est « pour leur bien »…)
En France, les effets graves et modérés sont cachés. Les décès également. Petit témoignage, une habitante de mon village, dynamique, en pleine forme, n’est plus qu’une épave. Elle se traîne avec une canne. Ses yeux sont morts, inexpressifs, elle a un pied dans la tombe! Merci Pfizer. Autrefois, la poudre de succession réglait bien des héritages. Aujourd’hui, c’est Pfizer. Mamie tarde à quitter cette vallée de larmes? Vite, trois doses de Pfizer. En plus, c’est gratuit.Et pas de poursuites pour empoisonnement. Le rêve, quoi!