Nous sommes cernés ! Des mahométans partout !

Illustration : Elle est belle la France, soumise qu’elle est aux revendications perpétuelles des mahométans.

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Sur cette planète, certains ont choisi de vivre encore comme il y a 1400 ans. J’aurais envie de dire, peu m’importe, c’est leur problème, mais alors à l’endroit où toute la population vit ainsi, loin de nous et sans incidence sur nos vies.

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Malheureusement, c’est loin d’être le cas, plus cela va et plus nous devons supporter des phénomènes ahurissants. C’est à nous de faire l’effort, voire même d’abandonner nos valeurs pour leur faire de la place, pour leur permettre de prendre leurs aises, et svp le plus possible. Tant pis si cela nous incommode, tant pis si cela fracasse notre tranquillité, tant pis si nous risquons à tout moment d’être agressés.

J’en ai plus qu’assez de m’agiter, comme un beau diable, afin d’essayer d’ouvrir les yeux de certains pour qu’ils daignent, enfin, voir l’effrayante réalité, dans laquelle nous vivons, à savoir, nous sommes cernés par une faune sauvage, arriérée, intolérante, prête à bien des violences pour défendre ses valeurs, sa façon de voir les choses.

Ce qui m’inspire le plus de dégoût dans tout cela, c’est que ces gens n’en finissent pas d’exiger le respect de leur manière de vivre, dans un territoire qui n’est pas le leur, et qui ne devrait pas avoir à se plier à leurs quatre volontés. Mais eux, ils ont de la chance, bien des politiques sont là pour les défendre, quand nous, que dale, nous sommes laissés à notre triste sort, celui de devoir se faire tout petit, supporter l’insupportable agressivité des adeptes de l’enflure mahomet.

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Hier encore, une collègue m’a raconté un fait qui en dit long sur l’état de délabrement de la société française, ce fait étant causé par des soi-disant citoyens de la France.

Je dirais mon œil, qui, en France, mis à part des mahométans, pourrait se comporter de la sorte ? Qui, dites-moi, les hypocrites de France et de Navarre ?

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Cette personne n’arrive pas à procréer naturellement, elle est donc suivie dans un centre spécialisé en procréation médicalement assistée. Et dans ce centre, il y a, comme partout maintenant en France, un flot de voilées qui viennent profiter, oui profiter (le mot est faible), des bienfaits de la science occidentale. Ces bécasses viennent dans ces temples kouffar de la connaissance pour espérer, elles aussi, contribuer à la perpétuation de l’espèce mahométane. Elles comptent sur les médecins, elles et leurs chers maris, pour pondre l’enfant tant désiré, mais attention, les praticiens doivent se dévouer pour ces énergumènes, sans attendre en retour le moindre respect, la moindre politesse. Figurez-vous que ces grandes dames, ces femmes vertueuses au possible, sont toujours accompagnées de leur geôlier, euh mari, et puis, surtout refusent de serrer la main des hommes. Bon, là il y a un hic, comment se font les soins ? Puisque excusez- moi pour faire un môme, me semble t-il, il faut passer par une voie qui est islamiquement parlant réprouvée. Mystère et boule de gomme, on n’en saura pas plus.

Ma collègue m’a dit qu’elle a eu connaissance de ces refus de serrer la main, par un affichage dans la salle d’attente. En substance, une affiche dit à peu près cela :

Elles auraient dû, pour ma part, aller se faire pendre ailleurs, depuis bien longtemps. Je dois dire que je ne peux m’empêcher d’avoir des bouffées de haine, quand on me rapporte de tels faits. Comment en 2019, on en est arrivé à vivre de telles situations complètement hallucinantes, à des années lumière de la mentalité française ? Sûrement parce que la soit disant élite qui nous gouverne en a décidé ainsi.

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Eh oui ! Tous les jours, un peu plus, ma patience, notre patience est mise à rude épreuve. Les rues, les transports en commun, les centres commerciaux et bien d’autres lieux encore se sont vus transformés, au gré des arrivées massives de mahométans, en paysage islamique, digne des pires pays musulmans existants sur la surface de la Terre. Parfois, je crie dans mon for intérieur : « Où es-tu ma France, où ? Tu t’en es allée et nous a laissé orphelin face à des barbares, des êtres aux mains d’une sombre idéologie. »

Je ne peux détester la France, je l’aime tellement, mais ce qu’elle est devenue m’écœure au plus haut point. Je me pose souvent la question : « Suis-je la seule ? Je n’ai pas l’impression que cela inquiète plus que cela mes compatriotes, et c’est bien triste, révoltant même ».

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D’ailleurs, aujourd’hui, nous n’avons pas le droit de réprouver l’idéologie qui fait des femmes des sous êtres humains, des êtres qui doivent s’excuser de ce que la nature leur a donné, des personnes qui doivent volontairement s’amocher, s’empaqueter pour pouvoir sortir de chez elles, des individus qui sont réduits à pas grand-chose, si ce n’est à être des machines à procréer. Nous n’avons pas le droit de refuser le voilement. Nous devons le considérer, à notre corps défendant, comme étant normal, banal. Nous sommes sommés de l’accepter comme faisant partie d’une composante des valeurs françaises. Pourquoi je dis cela ?

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Car maintenant, des femmes voilées sont intégrées de partout dans notre environnement, ainsi les publicités en comportent, les publics des émissions télévisées, et même plus, elles peuvent être aussi des personnages dans certaines séries télé. J’ai eu également l’énorme surprise de constater que dans une application de mon ordinateur, il y avait parmi les éventuels utilisateurs, ceux là étant représentés par un dessin, une voilée et un barbu. Jusque dans nos foyers, l’islam nous est donc imposé de gré ou de force, qu’on le veuille ou non.

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Et le summum de tout, vous pouvez avoir à faire à des voilées, dans certains magasins, comme cela m’est arrivé dernièrement chez Ikéa.

Et c’est kif kif bourricot pour les barbus, voire pire. Ils sont de partout. Ils travaillent le plus normalement du monde, avec leur apparence effrayante qui en dit long sur leur adhésion à l’islam sans filtre, celui du coran, celui des fondements ; des vraies bombes à retardement que l’on laisse aller et venir sans aucune restriction. Je suis allée très dernièrement retrouver une amie à l’aéroport. En attendant l’arrivée de son avion, je suis allée prendre une boisson chaude, dans une de ces nombreuses cafétérias que l’on trouve dans les aérogares. Là, j’y ai trouvé pas moins de huit barbus, des salariés de l’aéroport, en train de faire une pause. Je vous assure ces individus avaient vraiment l’air flippant. Ils m’ont fait penser à ces terroristes que j’avais vus à Alger lors de la décennie noire, et pourtant, ils étaient là attablés tranquillement, discutant entre eux sans aucun souci. Leur présence, m’ayant choqué dans un tel lieu, n’avait pas l’air de déranger qui que ce soit, leurs employeurs les premiers !!!

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Pour une personne, comme moi, ayant vécu au plus près de cette saloperie, de cette pourriture se présentant comme une grandeur, c’est la pire reculade qui puisse exister en ce bas monde.

Que puis-je faire face à ce fâcheux constat ? Me barricader, m’enfuir ? Non rien à faire ! Nous sommes faits comme des rats, rats à la merci des adorateurs de momo, avec la bénédiction, en premier lieu, de nos politicards, suivis de nos chers journaleux, ces donneurs de leçon ne reculant devant rien.

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C’est dire que la France, ou plus précisément, les Français sont tombés sur la tête, il n’y a pas d’autres mots pour définir ce qui se passe en 2019, sur le territoire national.

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