Superbe texte, une fois de plus, de Benoît Rayski à lire sur Atlantico.
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On peut rêver. Ces dogmatisees
ne bougeront pas d’un iota. L’islam ne comprend qu’une seule démarche : la force !
http://www.parismatch.com/actu/societe/jamais-sans-mon-voile-742316 bon we.
Merci pour le lien la belle
Cette doctrine c’est un peu comme dans les premières années du Christianisme où les femmes devaient être couvertes et selon le vatican, ne devait jamais exercer de ministères religieux, car pour l’église de Rome il était tout a fait impensable qu’une femme puisse prêcher et faire office religieux comme un homme, l’église a toujours été masculine a croire ma parole qu’elle a poser là les germes de l’homosexualité et de la pédophilie ! en islam c’est presque pareil, la femme n’a accès à aucunes fonctions religieuse sauf celle de faire ses prières, de plus elle doit être couvertes pratiquement selon le pays, ça va du simple foulard jusqu’au niqab, il faut cacher ce qui pourrait provoquer la tentation et le désir charnel comme si une chevelure pouvait provoquer quoi que ce soit ! donc oui une minute sans voile ce serait bien en hommage a toutes celles qui sont massacrées, martyrisées, battues, violées parce qu’elles ne le porte pas.
Le voile est quand même une absurdité, comme si la création de Dieu pouvait être impur et une honte.
Le voile n’est pas une nouvelle tendance à la mode après 1400 ans et Dieu n’a pas créé la femme avec le voile, et encore moins pour la caché à la lumière de tous, elle a le droit d’être vu à la lumière de tous et aux yeux de tous.
On ne voile que la vérité à cacher, ses victimes et ses crimes, l’Islam est comme son voile, pour cacher ses horreurs.
La seul fois où j’accepte, où c’est voilé par accident, c’est la roue de mon vélo.
Oui, une petite minute sans le voile, comme d’autres ôtent leur chapeau. Une petite minute pour réaliser à quel point se bâcher jusqu’aux chevilles est la seule solution pour ne pas mourir caillassée. Une petite minute dédiée à celles qui donneraient tout pour vivre tête nue. Une minute pour comprendre que c’est l’appât qui fait le piège. Une minute d’introspection pour communier avec celles qui n’ont pas la parole. Pour tenter de saisir ce paradoxe imbécile qui vante le principe de la libre soumission. Faut-il à ce point manquer d’imagination, de perspectives, de projets personnels pour faire une mode sociétale d’une religion aussi rigoriste que dépassée. La femme française se plait à déambuler en niqab parce que c’est tendance ! Elle déchantera dans les pleurs et les grincements de dents…