Bien sûr, tout n’est pas parfait sur le sol américain, mais deux choses sont bien ancrées dans ce pays : d’une part la liberté absolue d’expression protégée par le 1er Amendement à la Constitution des États-Unis (même les sites pornographiques n’ont pu être interdits à cause de ce principe…), et d’autre part le patriotisme, sans doute très égocentrique, mais que je n’ai de cesse d’admirer après plus de 33 ans de présence dans ce pays.
Pour la liberté d’expression, tellement bafouée en France, je ne citerai que le récent exemple de ces immenses panneaux montrant Hitler en conversation en 1941 avec Hajj Amin al-Husseini, nationaliste arabe palestinien supportant les nazis, et demandant l’arrêt de toute aide aux pays islamiques, panneaux rejetés par la Société de transport urbain de Philadelphie (SEPTA) qui avait refusé de les placarder sur ses autobus. L’initiative américaine de défense de la liberté (AFDI) a poursuivi SEPTA en justice et, le 12 mars 2015, le juge fédéral a tranché en faveur de l’AFDI, le refus de placarder ces panneaux sur les bus étant une violation au 1er amendement de la Constitution des États-Unis sur la liberté d’expression.
Ainsi que l’avait rappelé Bernard Dick dans son article publié sur Résistance Républicaine le 13 mars dernier : « Pour les amoureux de la liberté, le 12 mars 2015 est marqué par une grande victoire pour la libre expression. Le 1er Amendement à la Constitution des États-Unis était menacé, les Patriotes américains ont gagné ». SEPTA a toutefois un mois pour faire appel… Affaire à suivre.
Pour ce qui est du patriotisme, pas question pour les Américains de voir des procès rendus selon des lois étrangères. Ainsi, il y a quelques mois, en janvier je crois, un tribunal islamique avait été créé à Irving, Texas, devant juger selon la charia, avec site sur la toile montrant en photo quelques membres (« juges ») servant au tribunal (http://madworldnews.com/islamic-sharia-court-u-s-state/). A titre d’exemple le Dr. Taher El-badawi, l’un des « juges », expliquait notamment que « un couple marié ne pouvait pas être considéré divorcé par la communauté islamique à moins que le divorce n’ait été prononcé par le tribunal » et que « le mari pouvait faire une demande en divorce directement près du tribunal » alors que « la femme devait contacter son iman qui en ferait la demande pour elle ».
Autrement dit, si la loi des États-Unis s’avérait en conflit avec la charia, la charia prévaudrait. Qui plus est, l’exemple de demande de divorce cité plus haut était une pure discrimination humiliante contre les femmes, ce qui est contraire à la Constitution américaine. Les membres du tribunal entendaient bien créer un précédent dans une ville pas trop connue du Texas afin que des tribunaux semblables fleurissent dans tous le pays.
Seulement voilà, Madame Beth Van Duyne, maire d’Irving, alertée par des habitants de la ville, a réuni le conseil municipal et l’affaire s’est mal terminée pour le premier tribunal islamique ainsi que le révèle cet article publié le 21 mars : http://madworldnews.com/islamic-tribunal-texas-muslims/.
Il existe au Texas, et dans de nombreux autres états, une loi interdisant l’application de lois étrangères (donc de la charia !). Par 5 voix contre 4 (dont un conseiller musulman), la ville d’Irving a tranché en application de la loi en question. Le maire, Madame Beth Van Duyne, avait rapidement compris que les Musulmans, l’iman du centre islamique d’Irving, Zia Sheikh, en tête, voulaient utiliser sa ville pour créer le premier jalon d’application de la charia sur le sol américain. Mme Van Duyne n’hésita pas à publier sur Facebook que cet iman et ses collègues avaient fermement l’intention de passer outre les tribunaux américains, donnant pour réponse à l’iman Zia Sheikh qu’elle « se battrait avec toutes les fibres de son corps » lorsque celui-ci avait demandé qu’elle fasse des excuses et efface sa déclaration sur Facebook.
La salle était pleine de musulmans, mais malgré les tactiques d’intimidation du Conseil sur les relations islamo-américaines (CAIR) et les membres du tribunal islamique, outre l’intervention du conseiller municipal musulman Dennis Webb, la majorité du conseil a tout simplement vu la tentative d’établissement de la charia sur le sol américain et a décidé d’y mettre un arrêt.
Le premier tribunal islamique américain n’aura vécu que quelques semaines… « Don’t mess with America ! »
Jack
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C’est déjà un sérieux frein aux états unis contre la charia de cette saleté d’Islam de faux jetons, cela démontre bien que les américains commence à bien connaître les dangers de l’Islam et d’un Continent à l’autre.
Puisqu’il y à le premier amendement aux USA, il faudrait demander aux américains de faire une examen comparatif complet de l’Islam, avec la réalité appliqué des crimes musulmans et les appels aux meurtres ( tasfir ) dans les livres saint de l’Islam, et d’établir le lien avec l’Islam pratiqué par les musulmans, comme des faits avérés et authentiques, et de pouvoir ainsi présenter l’Islam pratiqué comme étant un danger mortel pour touts non musulmans, et de pouvoir poursuivre en justice les crimes et génocides, ordonner aux musulmans avec l’intention de donner la mort au nom d’Allah, pour touts non musulmans du monde entier, et directement commandité de l’Islam comme étant une meurtrière, et expose quiconque touts non musulmans à un danger mortel et une menace en présence des musulmans, potentiellement des meurtriers en puissance, dû aux liens criminogène direct avec les pratiques de l’Islam meurtrière en présence sur le territoire.
Et cela dans le but de faire taire quiconque sur des faits avérés et authentiques démasqués, et que les musulmans représente une menace et mettent touts non musulmans du monde entier en danger par ses pratiques Islamiques meurtrières, et d’avoir le droit de se protéger et même le droit de se débarrasser des musulmans pour protéger nos vies mise en danger.
Avoir le droit de se protéger, de se méfier et d’avoir peur de l’Islam et des musulmans, du danger qu’ils représentent pour touts non musulmans, et que même » l’Islamophobie est un droit légitime » et que aucune peur ne peut être condamné, sans tomber dans l’aberration farfelu d’un vise de procédure et de non lieu, juste pour avoir peur de l’Islam, en démontrant l’incohérence et le manque total de sérieux, en ridiculisant la justice et magistrats sérieux, et qui ont d’autres chats à fouetter.
Les Américains ont 100 fois raison de refuser une ingérence, quelle qu’elle soit, dans leur pays. Dommage qu’ils n’appliquent le principe qu’à eux-mêmes… Quant aux armes, ils devraient être un peu moins permissifs. Ce matin, j’ai frémi en lisant dans Métro que : « Les Etats-Unis autorisent la vente d’un lance-flammes portable. La quasi-intégralité des Etats américains vient d’autoriser la vente d’un lance-flammes portable, rapporte Libération.fr. L’engin devrait être bientôt disponible chez les armuriers du pays, au milieu des armes à feu traditionnelles ». (!)… On imagine sans mal les dégâts et atteintes aux personnes que peut faire un lance-flammes. Et, comme ce qui se passe aux USA arrive en général chez nous, je vous laisse imaginer l’emploi des lance-flammes dans les cités. Après les kalach, passons un cran au-dessus dans la terreur… Mais je me trompe sans doute.
« Fumier associatif » me semble être une belle trouvaille !
Je vais utiliser dorénavant cette expression, qui convient à la perfection à cette horde de traîtres subventionnés avec nos impôts.
Voilà qui ferait un bien fou sur le sol français ! Mais chez nous, c’est non seulement la liberté d’expression en tant que telle qui est muselée à des soi-disant fins de concorde, mais c’est cette même liberté qu’on prend en otage pour faire passer de force un projet conçu dans le secret des magouilles politiciennes – si tu finances mes ambitions d’élu carriériste, je laisse entrer ton islam – projet que le peuple aurait rejeté sans scrupule si on lui avait demandé son avis. Mais c’est toujours la même histoire : à longueur de générations, on enfume l’électeur avec de la démocratie et du principe républicain en veux- tu en voilà, on lui laisse le soin de savourer la chance qu’il a de pouvoir voter en toute quiétude dans son jus de citoyen libre et responsable, mais ce que l’on ne dit pas c’est qu’une fois élu, le politique continue sans lui ! Le vote, c’est juste un laisser-passer. Je ne peut pas prétendre jouir d’un pouvoir et, en même temps, le déléguer à un tiers, payé pour ça, parce que moi, vous comprenez, faut que j’aille faire mes courses ! Et c’est bien pour cette raison que les privilèges invasifs accordés à l’islam sur notre sol ne pourront être régler que si nous reprenons le pouvoir au lieu de l’attendre de ceux qui en usent et en abusent déjà bien autrement et sans nous. C’est dans la rue que nous devrons descendre, et ça risque de faire sérieusement mal avant de retrouver la logique populaire des urnes. C’est à l’élu de craindre l’électeur, pas le contraire ! L’exemple américain est sans doute réalisable aux USA mais ici, le premier conseil municipal qui oserait s’aventurer sur un terrain pareil se verrait vite étouffé par le fumier associatif qui défigure nos terroirs. A ce titre, nous atteignons dangereusement un pique de pollution qui ne doit rien au émanations de CO2. Reste à savoir combien de temps nous comptons encore respirer cette merde avant d’aérer consciencieusement le pays.