Il n’y en a décidément pas un pour rattraper l’autre ! Après Peillon-Bel-Kacem, le crif lui aussi veut intervenir sur les programmes scolaires pour changer nos enfants.
Le Président du crif voudrait que l’on enseigne la shoah dès le primaire voire même dès la maternelle, au motif que « les gens ne naissent pas antisémites mais le deviennent ».
Décidément nos pauvres enfants sont bien mal partis avec tous ces gens qui leur veulent du mal ! Oui, du mal, parce qu’il n’y a rien de plus beau qu’un enfant, son rire, son innocence, son aspiration au bonheur et que vouloir, pour de basses raisons idéologiques, leur mettre le nez dans la merde des adultes qu’ils auront tout le temps de découvrir, peu à peu, et de digérer, au cours de leur vie, c’est en faire des petits vieux, des cyniques et des blasés qui seront peut-être tentés, pour se sentir exister, de finir par la drogue ou par la bombe du terroriste.
Et puis, quelle monstruosité que de décider pour les enfants de ce qu’ils devront penser et choisir à l’âge adulte ! Je pense que l’enseignement de la shoah ne peut pas se faire avant la troisième au collège pour que les ados soient suffisamment mûrs, aient suffisamment de culture au sens large pour comprendre, savoir et avoir repères et outils de comparaison. Mais en maternelle ou en primaire ce serait, tout simplement, du lavage de cerveau. Inacceptable et intolérable.
Le Président du Crif ferait bien de s’intéresser, plutôt, aux dégâts que font dans les classes les associations droidel’hommistes relayées par des enseignants dhimmis qui viennent parler du « droit » des délinquants que sont les clandestins et du droit à la différence pour l’étranger, surtout s’il est mahométan !
Christine Tasin
390 total views, 1 views today
Absolument d’accord Christine ! C’est aussi terrifiant qu’absurde et vain.
Avec Cukiermann on en vient à regretter Richard Prasquier !
Le massacre par idéologie, industriel et systématique, presque réussi des Juifs d’Europe est un fait à ce point singulier qu’il ne cesse de rendre fou tout le monde jusqu’à ce jour.
En plus Cukiermann a complètement tort de lier l’oubli de la Shoah au temps écoulé. C’est entre autres l’horreur même des faits qui suscite l’éventail des attitudes que nous ne cessons d’observer depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le temps passé n’est pas en cause ni dans l’oubli ni dans l’appréhension de ce fait historique. Il suffit que chacun de nous se souvienne de tel instituteur ou institutrice de CM2 qui, chacun avec l’art de transmettre qui lui est propre a su sur ce sujet marquer les esprits à jamais. Sans omettre la lecture, les films, les témoignages bien sûr, mais toujours avec mesure, au moment et dans les conditions opportuns.
Nous sommes bien d’accord, Jeyn, ils font n’importe quoi !
Ca fait longtemps que je ne regarde plus les documentaires sur la Shoah. A force d’insister la-dessus, le CRIF risque bien d’obtenir l’effet inverse de ce qu’il cherche, à savoir la banalisation de cette tragédie + l’insensibilisatiion de la jeunesse, tellement on l’aura gavée !
Sans compter que ça peut donner des idées à certains…