Un chrétien pakistanais de 22 ans  grièvement blessé à la gorge par un collègue musulman

La mère de Waqas le réconforte à l’hôpital de Lahore après l’agression dont il a été victime le 21 mars.

►Un chrétien pakistanais de 22 ans  grièvement blessé à la gorge par un collègue musulman…

…la conversion à l’islam ou l’égorgement.

Coran 47 : 4 – Les mécréants, frappez-les au  cou

Waqas Masih a été agressé sur son lieu de travail à Sharaqpur, au Pendjab, où il travaillait depuis six mois comme ferrailleur dans le service d’emballage en carton.

Le 21 mars, Zohaib Iftikhar, un collègue de travail, a appelé Waqas à l’écart et lui a demandé s’il s’était converti à l’islam. Lorsque Waqas a répondu par la négative, il lui a tranché la gorge avec une lame tranchante utilisée pour couper le carton.

La mère de Waqas le réconforte à l’hôpital de Lahore après son agression, le 21 mars.

Waqas a été transporté d’urgence à l’hôpital de Lahore, où il se trouve dans un état stable. La police a depuis arrêté Zohaib.

Ryasat Masih, le père de Waqas, a déclaré que son fils avait été agressé parce qu’il refusait d’accepter l’islam.

Waqas était initialement incapable de parler en raison de la gravité de ses blessures. Dans une déclaration écrite, il a affirmé que Zohaib l’avait faussement accusé d’avoir profané un exemplaire d’un manuel islamique en le touchant avec des « mains impures » alors qu’il rassemblait du matériel de récupération.

« Puis, soudainement, il s’est jeté sur ma gorge et me l’a tranchée », ajoutant :

« Je me suis débattu avec une gorge tranchée, j’ai noué ma chemise autour et j’ai couru jusqu’au bureau. Il avait prévu de me tuer ».

Barnabasaid

►Une chrétienne pakistanaise sauvée de son ravisseur musulman…

Saba (à droite, avec sa tante) a retrouvé sa famille après avoir été secourue

Les enlèvements  de chrétiennes et conversions forcées avec  la complicité des imams sont monnaie courante au Pakistan. Chaque année, 1000 chrétiennes et hindoues pakistanaises sont kidnappées et mariées de force à des musulmans.

On comprend mieux le phénomène des gangs de violeurs pakistanais au Royaume-Uni. 

La capture de jeunes filles infidèles (non musulmanes) et leur utilisation comme esclaves sexuelles sont autorisées par le Coran. Selon la loi islamique, les hommes musulmans peuvent capturer des « captives de la main droite » (Coran 4:3, 4:24, 33:50).

►Une jeune fille chrétienne qui avait été enlevée à Lahore, au Pakistan, le 5 janvier, a été sauvée et a retrouvé sa famille.

Saba Shafique avait quitté son domicile de Walton Model Colony, à Lahore, pour aller acheter du lait à 7 heures ce matin-là.

Le ravisseur a été identifié comme étant Muhammad Ali, également originaire de Walton Model Colony et connu de la famille de Saba.

 La famille a ensuite reçu un « certificat d’acceptation de l’islam » pour confirmer sa conversion prétendument volontaire, ainsi qu’un certificat de mariage qui prétendait faussement que Saba avait plus de 18 ans et qu’elle était donc en âge de se marier légalement.

Ali, qui est déjà marié, a enlevé Saba et l’a emmenée à Nawabshah, dans le Sindh, à plus de 580 miles au sud-ouest.

Les représentants légaux de la famille ont accompagné les officiers de police pendant les 36 heures qu’a duré le voyage pour délivrer Saba de la garde du ravisseur. Ils ont pu la localiser, enfermée dans une petite pièce dans une zone isolée de la ville de Nawabshah. La police a arrêté son ravisseur.

Dans une déclaration, Saba a indiqué qu’elle avait subi des agressions physiques quotidiennes de la part de son « mari » et qu’elle n’avait pas le droit de contacter ses parents. Elle a décrit son calvaire de deux mois comme une « vie d’esclave, complètement impuissante ».

Barnabasaid

►Une organisation de bienfaisance libère encore 113 familles chrétiennes  de l’esclavage musulman…

Qui a dit que l’esclavage musulman avait disparu de  la surface de la Terre ?

►« C’est comme si Dieu les avait envoyés pour nous sauver de l’esclavage », s’exclame Shamim, veuve et mère de famille, qui fait partie des 113 familles chrétiennes que Barnabas a libérées de la servitude pour dettes dans les fours à briques du Pakistan.

Ce dernier effort porte à 213 le nombre de familles libérées au cours des phases les plus récentes du projet.

Ces familles étaient asservies dans les fours à briques parce qu’elles s’étaient endettées en contractant des prêts qu’elles n’avaient d’autre choix que de contracter auprès des propriétaires des fours à briques en période de difficultés et de crise.

Au cours des deux phases les plus récentes de notre projet de fours à briques, Barnabas Aid a libéré 213 familles de la servitude pour dettes.

Le parcours difficile de Shamim a commencé lorsque son mari, Ashraf, un briquetier qualifié qui gagnait plus que le salaire moyen, est tombé malade.

« Les médecins n’ont pas pu établir de diagnostic et nos économies se sont rapidement évanouies sous le poids des innombrables factures médicales », explique Shamim. « Nous avons même dû vendre nos biens pour nous en sortir ».

En désespoir de cause, le couple a contracté un prêt auprès du propriétaire du four à briques pour couvrir les frais médicaux d’Ashraf. Cependant, malgré les efforts des médecins, il est décédé des suites de sa maladie.

Tant que leurs dettes n’ont pas été remboursées, les travailleurs restent liés à la briqueterie, sans pouvoir la quitter pour trouver un meilleur emploi. La dette, qui ne cesse de croître, peut mettre des générations à être remboursée.

Shamim et son fils Shakeel sont restés asservis à la briqueterie après le décès de son mari des suites de sa maladie.

Les propriétaires de fours à briques imposent des taux d’intérêt ingérables sur la dette de leurs employés, déduisant une partie de leur salaire hebdomadaire déjà faible pour payer les intérêts. Les familles se retrouvent avec à peine de quoi se nourrir, sans parler de rembourser l’argent qu’elles doivent.

Parfois, même les enfants doivent travailler pour joindre les deux bouts. Shakeel, le fils de Shamim, a commencé à travailler dans les fours à l’âge de sept ans.

« À certains moments, nous avions à peine de quoi survivre », se souvient Shamim.

Lorsqu’ils ont été libérés de leurs dettes et de la servitude pour dettes grâce aux dons des sympathisants de Barnabas Aid, Shamim a loué Dieu d’avoir répondu à ses prières pour obtenir de l’aide.

« Je ne peux pas exprimer à quel point nous sommes reconnaissants pour l’aide apportée à temps qui nous a libérés de notre dette », a-t-elle déclaré. « Je ne pouvais pas supporter de voir mon jeune fils continuer à souffrir.

« Cette aide ressemble à une disposition divine pour nous. Nous sommes éternellement reconnaissants de la compassion de Barnabas Aid ».

Barnabasaid

►La vidéo du jour…

Merci  Agathe !

Ce musulman pakistanais a épousé sa fille et l’a mise enceinte. Plein de fierté, il déclare : « Au lieu que ma fille quitte la famille et mène une vie misérable ailleurs, j’ai décidé de la marier. Elle est enceinte de deux mois ».

Il s’agit d’un montage conçu par un auteur Indien pour dénoncer le fléau de la consanguinité islamique dans la région. La vidéo  a été supprimée de Youtube et Insta à la demande des défenseurs de l’islam. « Cette vidéo a été supprimée, car elle ne respectait pas le règlement de la communauté YouTube ».

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La consanguinité islamique pakistanaise ? Circulez, il n’y a rien à voir…

Au Royaume-Uni, au même moment, Keir Starmer (en photo avec le maire musulman de Londres d’origine pakistanaise) a indiqué qu’il bloquerait toute tentative d’interdire le mariage entre cousins ​​germains, une pratique qui reste répandue dans certaines communautés du Royaume-Uni – malgré les dommages génétiques qu’elle peut potentiellement causer à la progéniture.

À Bradford, l’une des plus grandes villes du nord de l’Angleterre, près de la moitié (46 %) de la communauté féminine pakistanaise est dans une « relation consanguine », ce qui signifie qu’elles avaient un ancêtre commun, selon une étude de 2024. Daily mail

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