La Corse n’est plus en France, ne fait plus partie de la France, qu’il faudrait lui faire une place à part dans la Constitution, un statut spécial ?
Insultant pour les Corses qui n’en peuvent mais, eux qui, pour seulement 28,75% des inscrits votent nationalistes, et encore, c’est par défaut, pour ne pas voter Macron :
Quant aux Simeoni et Talamoni qui font semblant d’être consternés, mais qui ont compris qu’il s’agissait bien d’un début d’autonomie, quels sales types, prêts eux aussi à bafouer le vote des Corses de 2003 comme Sarkozy a bafoué celui de tous les Français de 2005 !
Il y a presque dix ans les glorieux Corses sauvaient la République, à vous l’honneur amis alsaciens !
Le 6 juillet 2003 les Corses étaient appelés à se prononcer par référendum. Il s’agissait de sortir la Corse de la République en la transformant en une sorte de territoire d’outre mer. Des pouvoirs législatifs à l’Assemblée de Corse ainsi que la fusion des deux départements étaient au programme.
C’était l’aboutissement du processus dit de Matignon qui avait provoqué la troisième démission de Jean-Pierre Chevènement. Ce funeste projet avait été concocté dans le cabinet du Premier ministre Lionel Jospin. Entre une poignée de brigands indépendantistes qui rêvaient de mette la Corse en coupe réglée et le cabinet du Premier ministre, il y avait dans le rôle de l’intercesseur un ennemi de la nation, un contre-révolutionnaire, le Vert Alain Lipietz. C’était l’époque de la «gauche plurielle» qui se réduisait après le départ du Che en 2000 à une fausse gauche, à une droite réactionnaire en diable qui acceptait en 2000 à Lisbonne et en 2002 à Barcelone l’accélération du processus de privatisation des services publics de l’électricité et du gaz, de la poste et des transports.
Ce démantèlement de la République, donc de la France puisque la France s’incarne dans la République, la droite l’avait toujours rêvé, la «gauche» le faisait. Quelle aubaine pour la droite revenue aux affaires en 2002 ! Le successeur de Lionel Jospin, le «décentré» Jean-Pierre Raffarin s’était empressé de faire ajouter à l’article premier de la Constitution : «Son organisation [celle de la France] est décentralisée».
Sûrs par avance du résultat du référendum en Corse, Raffarin, Chirac et Sarkozy projetaient déjà d’étendre l’expérience à l’Alsace et à la Bretagne, pour commencer. C’était sans compter sur le miracle corse. Les très seuls Emile Zuccarelli député-maire de Bastia et Jean-Pierre Chevènement avaient gagné avec les Corses et pour la France contre tout l’establishment de gauche comme de droite, y compris le FN de Jean-Marie Le Pen qui à l’époque avait appelé à l’abstention.
[…]
Macron aurait pu, bien plus simplement, leur dire que, sans « la France », la Corse ne peut pas vivre, tout simplement. La Corse sans la France serait un pays en voie de développement. « La France » subventionne la Corse à hauteur de 80% de ses besoins…
Mais il est vrai que Simeoni et Talamoni jouent les offensés, font semblant de bouder le déjeûner d’apparat quand ils savent bien, eux, que Macron-qui-hait-la-France-et-veut-faire-plaisir-à-Juncker-et-Merkel veut la même chose qu’eux : dépecer la France, construire l’Europe des régions…
Comme d’habitude, comme partout, Macron se plaît à semer les quelques paroles emblématiques qui vont être reprises par les medias et faire croire aux Français moyens qu’il défendrait la France, qu’il serait ferme…
Pendant ce temps, il promet que la Corse apparaîtra dans la Constitution. En quel honneur, si ce n’est que Macron lui prépare un statut spéciale, espéré par Simeoni et Talamoni ?
Et si la Corse apparaît dans la constitution… la Bretagne le demandera aussi, et le pays basque, et, et… et Macron sera content, il aura réveillé les demandes régionalistes, l’instabilité de la France continentale. Situation nécessaire dans son jeu pour détourner l’attention de l’islamisation et l’immigration.
Pendant ce temps, il promet que la Corse aura une place privilégiée au coeur de la Méditerranée ? Pour quoi faire, si ce n’est pour développer un axe euro-arabe autour de la Méditerranée ? « Le président a également particulièrement insisté sur la place stratégique du territoire au coeur de la Méditerranée, qu’il compte exploiter en y invitant prochainement les partenaires méditerranéens de la France ». La Corse territoire de réunion entre Macron et ses alliés musulmans ? Tout ça pour ça ?
Pendant ce temps, Macron promet de prendre en compte les « spécificités » corses. Lesquelles ? Il n’y a pas déjà des avantages certains pour les Corses, aux dépens des autres Français ?
– frais d’actes et droits de succession sur les bâtiments situés sur l’île réduits de 50% ;
– TVA 2,1% au lieu de 5,5% pour les produits alimentaires, les livres, les transports publics; 10% au lieu de 20% pour l’électricité, les travaux immobiliers, et 13% pour les carburants ;
– certains produits sont totalement exonérés, tels que le vin produit et consommé en Corse, ou les billets d’avion et de ferry à destination de l’île ;
– cigarettes 25% moins chères que sur le continent ;
Et ce n’est pas tout :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Statut_fiscal_de_la_Corse
Pour résumer « Aides : 557 euros par an par Corse, contre 77 euros pour les autres Français » !
Il n’a pas dit non parce qu’il y serait opposé, mais parce qu’il ne peut pas. Pour le moment. Il ne peut pas parce qu’en France il n’y a qu’une seule langue, le français, que la Constitution est très claire là-dessus ( au grand dam de nos dhimmis qui voudraient voir la France ratifier la Charte des langues régionales et minoritaires
Et il n’est pas dit qu’il n’ait pas décidé de proposer cette modification ainsi que le droit de vote des étrangers et la modification-suppression de la loi de 1905 dans la modification constitutionnelle qu’il prépare.
Un seul point positif, Macron avait pris dans ses bagages (l’expression est du Parisien et en dit long ) Chevènement que les nationalistes n’aiment pas trop. On se souvient que le Che avait démissionné lorsque Jospin avait organisé le referendum d’autonomie de la Corse.
Simeoni et Talamoni l’ont mal pris… Pourquoi Macron a-t-il agi ainsi ? Pour la réputation de jacobin de Chevènement ou bien pour son statut de Président de la fondation pour l’islam ? J’ai ma petite idée.
Tous pourris. Et on n’a pas tout vu…
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https://blogs.mediapart.fr/massimu/blog/031213/sans-la-france-la-corse-ne-vivrait-que-de-chataignes
Difficile de comprendre pourquoi on écoute encore les jérémiades de
trous du cul qui se voient déjà « parrains » d’une île livrée à des mafias
intouchables, et qui nous rançonneraient de surcroît pour ne pas installer
de troupes ennemies à nos portes. Tout cela est inconcevable…
Pour une fois je ne partage pas l’avis de résistance républicaine car la Corse ce n’est pas Bonaparte c’est PAOLI, il ne faut pas oublier que la Corse n’a jamais été Française.
Bonjour,
Ca peut déplaire, mais de fait, française elle l’est depuis 1769 …
Si la Corse devait se séparer de la France qui assurerait le paiement des retraités des corses, qui règlerait leurs dépenses de santé, et les diverses allocations?
Quel serait le statut des corses occupant un emploi en France et celui des français travaillant en Corse dans le privé et surtout dans le secteur public, enseignement, hôpitaux, police, justice etc…?
Sur le plan sécurité, il n’y aurait aucune raison pour que la gendarmerie, les CRS, la Police Nationale, la légion et l’armée de l’air restent en corse.
Sans parler du préjudice économique, qui assurerait la sécurité en corse?
Ce serait une catastrophe pour la France qui perdrait une partie de son domaine maritime, son « porte-avions « prépositioné en Méditerranée, une partie de sa mémoire historique( comment intégrer qu’un corse ait pu être empereur des français alors que la Corse ne serait plus française, qu’est ce qui justifierait que des corses soient mort pour la France?)
Mais pour les corses se serait également une situation dramatique sur tous les plans, et combien de temps faudrait-il pour que le cahot mafieux s’installe?
si la France brade la Corse à ces mafieux qui veulent gouverner, et bien fermons la porte, plus de bateaux, plus d’avions, qu’ils vivent sur eux-mêmes, car c’est grâce au tourisme, aux aides données qu’ils peuvent vivre
Là, on parle de la Corse, mais n’oubiez pas qu’au mois de novembre va avoir lieu le référendum en Nouvelle-Calédonie, dont la conséquence va être, en toute logique, de détacher celle-ci de la France.
Ouvrez le bal !
A la submersion migratoire va s’ajouter l’implosion du territoire national.
La France, d’ici la fin du siècle, aura cessé d’exister.
Comme d’habitude pour tenir les états européens pris en otage, non pas pour le pouvoir, car le pouvoir ils l’ont déjà et depuis très longtemps.
C’est surtout parce que leurs pouvoirs sont menacés par autres chose de bien plus puissant qu’eux et sont dos au mur, ils ne veulent pas lâcher leurs pouvoirs et résistent en nous prenant en otage et menacent ceux qui les tiennent, en infligeant aux peuples européens des attaques, comme vous pouvez le constater.
Et l’islamisation comme les attentats, les agressions, les violes, dépecer les nations voir autres attaques instrumentalisés par les mêmes en font parties, ils utilisent les musulmans et immigrés extra européens comme les africains pour peser sur l’économie européenne contre les peuples européens.
Avec 123 millions de pauvres et 45 millions de chômeurs en Europe, si ce sont pas des attaques ou des menaces, moi je suis le Pape.
Pourquoi donc baisser culotte constamment ?
Voilà leur nouveau monde qui paraît adopter les mêmes pratiques que l’ancien pendant lequel nos encocardés n’ont fait que ça !!….
Quel moyen de pression du côté des « autonomo-indépendantistes » élus par les abstentionnistes ?
Rien ! Nada !
Presque tout le coût de fonctionnement est couvert par l’Etat français et en dehors des emplois du secteur public (EDF, Administrations etc..) tout le monde vivote, à l’exception de quelques rares locomotives !!….
Bien des serveurs ou des cuisiniers, en saison, dans les paillottes, sont des clandestins ou des étudiants asiatiques de l’université de Corte…
Peu de retombées touristiques, les vacanciers étant séchés dès le début par le coût du voyage, celui des locations saisonnières et le carburant qui est 10 à 15% + cher que sur le continent, bien que partiellement détaxé…
Des autonomo-indépendantistes qui ne se donnent même pas les moyens de vérifier qui débarque à Bastia des ferrys venant de Livourne…
Pourtant, plus d’un corse s’imaginent qu’il n’y a pas mieux placé, en principe, qu’un autonomo-indépendantiste pour refouler les sarrasins clandestins …
Mais, ne parlons pas de choses qui fâchent …
Il n’y avait rien à négocier ! Ils ont les manettes et peuvent se distribuer les bons postes et basta !
Maintenant, que l’arrière pensée soit d’aller dans le sens de la pression mondialiste en dépeçant les Etats Nations par régions livrables aux prédateurs bankstérisés, est peut-être un schéma qui fait consensus??….
Une espèce d’exception constitutionnelle dans un 1er temps ???….
A suivre ….
Merci Conan pour cette analyse pertinente et ce témoignage qui n’a rien de rassurant
ça commence avec la Corse, et ensuite, il y aura la Bretagne, puis le Pays Basque, l’Alsace, la Normandie, le Pays Catalan… Et il n’y aura plus de France. Victoire pour les oligarques de l’U.E et les mondialistes.
Merci à ceux qui ont mis le micron au pouvoir pour ne pas être traité de raciste, bande d’abruits.
Vous ne croyez pas si bien dire, la Bretagne a déjà revendiqué dès aujord’hui d’avoir le même traitement que la Corse.
Bingo !
L »empereur doit s’en retourner dans son tombeau !!!