La bien-pensance politico-médiatique vomit son fiel sur cette journaliste russe indépendante. Patriote mais réaliste, elle s’exprime librement en Russie où elle n’hésite pas à fustiger certains oligarques. Alors qu’elle a été cenSSurée puis interdite dans notre pays par le macronard vicelard qui accuse Poutine d’attenter à la liberté d’expression !
Cas d’école de journalisme sous influence : la charge de « L’immonde » contre Xenia que, dans leurs délires, ses contempteurs assimilent à une sorte de Mata Hari au service de James David Vance et de Poutine.
Qui est vraiment Xenia ?
Xenia Vladimirovna Fedorova 44 ans est née à Kazan, capitale du Tatarstan, petite république d’Asie centrale loyale envers Moscou, bien que majoritairement peuplée de mahométans. Preuve s’il en est besoin, qu’on peut contrôler les mauvais penchants de ces lascars quand on leur montre qui est le plus fort, comme en Tchétchénie.
Le père de Xenia était ingénieur aérospatial et sa mère journaliste dans la presse locale. Fin 1990 à la chute du communisme, elle a contribué à la création du quotidien Rossiyskaya Gazeta. Xenia a bénéficié d’une solide éducation et d’un train de vie « bourgeois » que lui reprochent aujourd’hui les nostalgiques de Staline.
Polyglotte, parlant anglais, français et allemand couramment, cette journaliste de classe internationale a été directrice de l’information de la chaîne Russia Today France, branche francophone de la chaîne russe éponyme, après avoir dirigé une société de vidéos d’actualités anglophone, un pool d’info pour les pays Baltes, et l’agence de presse Ruptly à Berlin. Elle travaille à présent pour divers médias de Vincent Bolloré, propriétaire de Fayard, la maison d’édition de son dernier livre.
« Liberté d’expression sous conditions en Europe » expose comment, par quelles magouilles ignobles, Macron, von der Leyen et l’ARCOM ont œuvré ensemble pour la museler. Après avoir tenté de la disqualifier en lui reprochant de ne pas être passée par une boîte à merde de journalisme, alors qu’elle est titulaire d’un MBA allemand, diplôme d’un niveau très supérieur.
Ce que la bien-pensance lui reproche
Les crapules journalistiques d’extrême gauche, et les fayots aux ordres du gouvernement français et des pétrodollars, ne peuvent imaginer une journaliste indépendante. Qui vérifie et croise ses sources et, lorsqu’elle prend parti pour son pays, le fait ouvertement, sans trucages et sans se cacher derrière des grands principes fumeux.
Un certain Élie Guckert, trentenaire au QI de blatte, qui considère que le travail d’un journaliste n’est pas d’informer honnêtement le public, mais de passer son temps à « traquer l’hydre de l’extrême drouâte » décrit Xenia Fedorova comme la « cheffe de la propagande française du Kremlin ». Info reprise in extenso par Wikimerdia.
La punaise rouge Élise Lucet reproche à Xenia d’avoir refusé de se prêter au jeu pervers de « Complément d’enquête » et des autres désinformateurs de FR3, où il faut faire pénitence face à des mises en accusation à 4 ou 5 contre un, sans possibilité de répliquer. En outre, signant son arrêt de mort médiatique, la Russe a exigé avant de répondre, que ces canailles présentent leur sources, lorsqu’ils se lançaient dans des diatribes délirantes contre son pays.
La défense des russophones martyrisés en Ukraine est un sujet tabou. L’ogre Vladimir a agressé le gentil nabot Zygomyr, par pure méchanceté, et il est formellement interdit d’affirmer le contraire. Black out sur le coup d’État de Maïdan, et les accords de Minsk qui devaient mettre fin aux exactions mais ne furent jamais respectés par Kiev. Et les « fact checkers » d’y aller de leurs leçons, du haut de leur morgue, d’autant plus odieux que personne n’est autorisé à leur répondre.
Crime impardonnable, elle s’exprime dans les médias Bolloré
Elle anime un magazine hebdomadaire consacré aux églises orthodoxes sur C8, et multiplie les chroniques sur différents médias du groupe. « L’aberration » lui reproche de se présenter comme journaliste russe et non comme « la voix de Moscou ».
Peut-on chercher la raison de leur virulence dans le fait que les donneurs de leçons sont, pour la plupart, des employés d’un autre milliardaire, Krétinsky, patron de Lagardère Média et actionnaire majoritaire du Monde ? En conflit avec le groupe Vivendi dirigé par Yannick Bolloré fils de Vincent. Pas si crétin le Krétinsky, qui a fait fortune dans le transport et la vente du gaz russe et n’a pas arrêté son juteux business en 2022. Mais fait tapage pour qu’on l’oublie.
Dans un article de « L’Immonde » du 8 mars, Ariane Chemin et Ivanne Trippenbach racontent, dans un délire de politique fiction complotiste comment le rapprochement des présidents américain et russe, a été encouragé par la droite française et piloté par les médias du groupe Bolloré. Sous l’influence de la délicieuse et tenace Xenia la guerrière.
À entendre les deux gauchiasses, Bolloré aurait eu le pouvoir de réconcilier les super-grands, en distillant la vision trumpiste du monde et en encensant le régime de Poutine. Bolloré plus influent que Soros, Davos, Craignos, le NWO et toutes les franc maçonneries, de la ligue islamique aux banksters de Wall Street. La preuve : Xenia Fedorova que tous les médias sont tenus de placer en quarantaine sur ordre de l’Élysée et de Pustula la Hyène, a été reçue par l’indocile Pascal Praud.
« Ce n’est pas défendre la Russie que de recevoir Xenia Federova. C’est entendre une voix différente qui expose le point de vue russe » a objecté le journaliste. « Ce n’est pas prendre le parti de la Russie que d’expliquer qu’elle a gagné une guerre d’attrition en Ukraine, et qu’elle est aujourd’hui en position de force face à son ennemi ».
Il est interdit de critiquer l’Eurocrature et de douter de l’infaillibilité divine de Fripounette et de Pustula.
Xenia Federova, présidente de Russia Today, chaîne interdite sur le sol européen depuis 2022, défend la même thèse que le vice-président américain James David Vance, celle d’un « recul de la liberté d’expression en Europe ». L’acharnement à vouloir imposer une vision totalitaire des événements, les tricheries électorales, et les sanctions qui frappent les médias dissidents par le biais de polices politiques comme l’ARCOM, leur donnent mille fois raison.
Quand les matamores du petit écran se délectent à rappeler que l’abjecte ARCOM a « puni » C8 pour de prétendus manquements à une rigueur journalistique qu’eux seuls ont le droit de définir, on peut rétorquer qu’au palmarès de la liberté de la presse établi par les très complaisants RSF, la France se classe au vingt et unième rang derrière le Portugal, la Lettonie, la Tchéquie et la Papouasie. Une petite consolation toutefois, on fait mieux que l’Arabie Saoudite, Cuba et la Corée du Nord.
« L’Europe, voilà l’ennemie désignée dans la bollosphère » s’insurge «L’Immonde» goinfré de subventions, pour qui penser différemment des crapules de Bruxelles serait un crime. Le 3 mars sur CNews, Praud avait exprimé une remarque de bon sens, intolérable pour ceux qui veulent prolonger le conflit indéfiniment : « La Russie a gagné la guerre et nous, Européens, l’avons perdue avec l’Ukraine. Il faut en tirer les conséquences avec les Américains. »
Ce qui, bien évidemment, ne fait pas les affaires des politiciens véreux et des cenSSeurs faisandés, qui rêvent à haute voix de s’inspirer de la dictature de Kiev, pour supprimer les élections et bâillonner toutes les oppositions tant que la guerre durera. Le plus longtemps possible.
Le succès de CNews contrarie la pensée unique
Tous les coups sont permis, y compris les boniments, le discrédit et le mépris. En levant le pied sur la diffamation à cause des procès. Praud a invité maintes fois, selzéceux qui le vilipendent à venir s’expliquer en direct, en présentant des preuves de leurs assertions. Personne ne s’est jamais pointé. Pas plus que personne n’a respecté cette règle d’honnêteté élémentaire qui consiste à entendre le point de vue d’un quidam mis en cause avant de l’accuser des pires turpitudes.
Christian Navis
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En plus, c’est une très belle femme, ça change des trucs immondes qui siègent à l’assemblée. Je regardais souvent ses vidéos sur RT.
En effet, cette journaliste russe qui parle très bien le français, donc sait très bien se faire comprendre gêne car elle exprime la vérité sur la Russie, ses réelles intentions, car Macron a créé en France une ambiance anti-russe, pour nous faire croire que c’est le Mal, que c’est l’infamie en Europe, que c’est le pays qui est le problème en Europe, dépeignant la réalité sur les russes qui dans le conflit ukrainien ne sont que sur la défensive, celle de leur subsistance, car c’est l’OTAN de Biden avec l’UE de DerLeyen et de Macron qui veulent avoir le contrôle sur l’Ukraine pour avoir le contrôle sur la Russie en installant des batteries de missiles le long de la frontière russe. Cette journaliste russe dérange car elle ne dit que des vérités que ne doivent pas être révélés, car innocente pour beaucoup les intentions réelles des russes.