Sidération… C’est ça la France ?

SIDÉRATION

13 mois que certains d’entre nous se taisent. Se taisent, car au sens le plus littéral du terme nous ne savons plus les mots.

Les mots qui conviennent à la situation n’existent pas.

Je n’ai plus pu écrire. Plus un mot. Jamais je n’aurais imaginé que ce fût possible.

Certes nous avons agi sans discontinuer. Mais écrire, parler, certains ne l’ont pas pu. J’en fais partie.

Les vocables figés dans l’indicible tentent de se refaire une santé, réanimant le bouillonnement de révolte et le geyser de foi qui nous sauveront, comme d’habitude.

Depuis le 7 octobre 2023, je ne suis habitée, envahie, immergée, que par et dans l’horrible terreur du sort des otages et de nos soldats combattants.

J’ai devant mes yeux l’image d’une maman accrochée au grillage de Gaza, hurlant le nom de son enfant dans l’espoir qu’il l’entende. J’ai eu envie de hurler avec elle pour donner plus de force et de chance à sa voix d’être perçue.

Aujourd’hui, à 4000 km de la France, je viens de remonter chez moi après une alerte et 200 missiles du « guide suprême » fonçant sur Israël, suprêmement contrés par le Dôme de fer.

Je regarde l’hommage rendu à Dominique Bernard, assassiné il y a un an par un terroriste. Soudain la puissance de ma colère fore mon cerveau, abat les résistances.

Ma main n’est plus assez rapide pour transcrire le torrent qui afflue. Enfin !

C’est ça la France ? Oh, comme j’ai honte d’elle !

La France qui laisse assassiner ses ressortissants, qui ne divulgue pas le nom des assassins islamistes, aux cerveaux gangrenés par leurs immondices ? Certains journalistes, beaucoup trop, qualifient ces meurtriers de déséquilibrés qui tuent ceux qui déambulent dans le coin au mauvais moment.

Depuis Sébastien Sellam en 2003, la France est devenue mon Ex. L’Ex de bien des Français juifs qui revendiquent le droit de vivre sans peur. La France et certains de ses médias, frappés de mutisme, de cécité, de mollesse, et même d’imbécilité contagieuse. Je n’aime pas la situation des ex :  toujours présents, mais plus jamais étincelants, uniques, vivants…

La France qui m’a donné le goût de tout ce qui fut elle, s’acharne aujourd’hui à distiller le dégoût de tout ce qu’elle est devenue.

Des enfants violés puis tués, des citoyens décapités, des couteaux et des Kalachnikov dans nos rues, au vu et au su de tous…

Et toi la France, qui offres à ton peuple une profusion de généreuses marches blanches dont se fichent bien les victimes dans leurs cercueils.

Ces marches blanches qui soulignent, par leur dignité, l’inanité hypocrite de la pensée politique, pour laquelle elles sont des paravents ne parant plus aucun vent.

C’est ça la France ?

La France qui décide que chaque terroriste est englué dans des problèmes psychologiques, et donc ne sera pas forcément puni, si tant est qu’on puisse l’être pour de telles horreurs.

Allez donc dire ça à la maman de Lola, aux parents d’Ilan Halimi, ou à ceux  des otages Bibas : Ariel, 4 ans et Kfir 9 mois à leur capture, leur mère Shiri, 32 ans, peut-être actuellement exposée dans une cage, comme d’autres otages. Ce sont des ennemis du Hamas tellement dangereux que le monstre les tient au secret, au cas où Kfir et Ariel les sulfateraient, comme aurait dit Audiard.

Si, donc, l’on suit la pensée quasi mondiale, ces assassins auraient finalement des circonstances atténuantes ?

Depuis quand devrions-nous mordre à l’hameçon ?

S’il faut faire l’ENA et Sciences Po, (non, Pas Sciences Po. Soyons au goût du jour : Sciences Po est devenu Sciences Propal dans ce qu’il y a de moins convaincant et de plus erroné) Donc disais-je, « s’il faut faire » ces grandes écoles pour accoucher de raisonnements aveugles, inappropriés, lâches, je préfère largement cultiver mon jardin sur les terres ancestrales de mon Peuple.

Wafa Sultan[1] explique ces actes de terrorisme par l’oppression mentale qu’exerce l’islam contre ses disciples, dès l’enfance.
Elle décrit comment les règles islamiques ont enfermé, depuis 1400 ans, les disciples d’Allah dans le carcan inaltérable d’une société de soumission tyrannique à des textes sacrés, inénarrables de violences. La lire, c’est grandir. L’écouter, c’est respirer.

On ne peut pas énumérer les victimes de l’islamisme en France : elles sont trop nombreuses, et contrairement à ce que souhaitent peut-être nos dirigeants, l’une n’efface pas la précédente. Nous ne sommes pas les moutons de Panurge.
Si quelqu’un m’avait dit qu’un jour j’aurais honte de la France, je lui aurais ri au nez. Malgré la Shoa qui nous déchire encore, malgré De Gaulle qui fut mon premier désastreux désamour, la France et ses Justes me rendaient fière et tranquille.

Mais aujourd’hui, la France est un bidon de linge pourri qui sent mauvais. Où sont passés son rayonnement culturel éblouissant, la simplicité rassurante de sa laïcité, l’égalité de ses membres, la liberté de chacun ? Où est passée la France toujours vainqueur de l’injustice et de l’ignominie ? (Oui, bon, d’accord, elle n’y est jamais arrivée toute seule : mais ce n’est pas un défaut d’avoir des alliés. Au contraire.)
De nos jours, la France ne sait plus choisir ses amis. Forcément, puisqu’elle considère les pays à l’aune de leur puissance financière, de leur capacité à racheter notre patrimoine. La France n’a pas compris que Dictature ne rime pas avec Littérature. Ça ne la dérange donc pas le moins du monde de se détourner avec une indifférence déconcertante de la démocratie, la vérité, le respect, la vie.

Je continue d’assister à l’hommage rendu à Dominique Bernard à Arras. J’écoute une chanteuse à la voix très concentrée, je regarde un public  nombreux, une jeune peintre qui dessine des cœurs aux couleurs de notre drapeau… De jolis symboles qui ne servent strictement à rien et n’en démontrent pas davantage. J’en suis gênée.

Je pense que mon père, s’il avait fait de même il y a 80 ans face aux nazis, ne serait jamais revenu de la géhenne. Mon père, un des rares soldats français à avoir osé franchir la ligne de front pour ramener son capitaine blessé…

Dis, la France, à quoi ça sert de te retirer des combats sans les faire, comme les vagues sur l’estran ?

Dis la Justice, pourquoi empoisonnes-tu la France au goutte à goutte, on croirait volontairement ?

Dis l’imbécile, pourquoi es-tu aussi jaloux des Juifs ?

Ils ne le sont pas de toi ni de personne. Ils vous ont offert D’ieu sans contrepartie. Vous L’avez pris sans vergogne, avez transformé ses commandements, lui avez adjoint un Prophète pas tout à fait blanc bleu, c’est le cas de le dire !

Cette chère Wafa Sultan me disait déjà, le 13 novembre 2007[2]: « s’il te plaît, écris dans tes livres, tes articles, dis à la radio que « la Palestine du Jourdain à la mer », les Arabes et affidés s’en contrebalancent. Ils ont du terrain à ne savoir qu’en faire. Ce qu’ils veulent, c’est vous assassiner, vous, les Juifs. »

 

J’en veux pour preuve cette carte médusante.

Sais-tu, ajouta-t-elle, que : « lorsque j’étudiais la médecine à Damas, on n’autopsiait jamais les corps des Juifs car on nous disait qu’ils étaient différents de nous et qu’ils nous pollueraient jusqu’à mourir si on les découpait.

Fraîche arrivée aux USA, un coup de fil du professeur de l’un de mes enfants se termine par “Je suis juif” !! J’ai lâché le téléphone et tremblé de tous mes membres. “Un Juif ! Que va-t-il m’arriver après ce contact avec un être monstrueux… Je n’avais jamais vu de Juif. Tout ce que j’en savais par mon éducation syrienne était la terreur que ces monstres inspiraient. Peu après mon arrivée aux USA, j’achetais des chaussures dans une boutique. Pendant l’essayage, le patron de la boutique, en serrant la main de mon mari, dit: “Je suis israélien”. Abandonnant mes affaires personnelles, jetant les chaussures à la hâte, je me suis sauvée dans un état de panique indescriptible en dehors de la boutique. Depuis, le premier Juif qui m’a téléphoné s’est avéré être le soutien le plus proche, le plus attentif pour nous aider dans notre intégration. Depuis, j’ai appris que l’on m’avait menti et que l’on ment encore à des générations d’enfants musulmans. »

J’ai vu avec une certaine terreur Wafa Sultan affirmer sur Al Jazeera que l’islam n’était pas une religion de tolérance, mais plutôt une religion de peur et de haine, en particulier de haine des femmes. Bien évidemment elle fut frappée d’une Fatwa qui ne la freina, ni même ne l’empêcha d’exposer ses points de vue. Les atrocités des dérives totalitaires de cette religion qu’elle considère aujourd’hui comme archaïque et barbare ne la retiennent pas de clamer sa vérité. Combien de fois l’ai-je entendu marteler : musulmans, révoltez-vous, émancipez-vous de l’islam !

Je suis reconnaissante aux milliers de personnes qui viennent rendre hommage à Dominique Bernard. Je comprends parfaitement qu’ils aient besoin de le faire.

À ma manière, quand je pense à lui, à Samuel Patty, à « eux tous », ce qui inclut les franco-israéliens capturés et torturés, j’agis dans la même veine : tout mon être leur rend hommage. Je voudrais que Samuel Pati ait encore sa tête sur ses épaules, que Dominique Bernard soit en train de lire du Racine, je voudrais tellement qu’il n’existe pas de tombes aux noms de Philippine, Ilan, Mireille, Édith…

J’écoute les discours. Ce que j’entends le plus c’est : « on doit faire… On devra se tourner vers… ce qu’on doit dire… Il va falloir qu’on… » (Je ne céderai pas la tentation d’un jeu de mots sur « qu’on » Il serait plus meurtrier que drôle.)

Mais en réalité, est-ce bien tout, et seulement cela, qu’il faut faire ?

Alors qu’assuré et fier de lui, un des assassins écrit (et publie !)  des « poèmes » aux morbides exhalaisons, continuant de postillonner sa haine, son ignorance, son entêtement mortifère ?

Il a beau faire l’intello, il reste un cafard dans son trou de cafards.

Sous les bombes iraniennes inefficaces, pendant que mon cœur bat la chamade pour les soldats qui sont aux fronts, (ce n’est pas une coquille si aux fronts est au pluriel) je pense à l’inanité gouvernementale de la France.

Je pense à la gigantesque bêtise raciste des députés LFI, qui me font honte et me donnent envie de faire semblant de ne pas comprendre le français.

Sébastien Delogu, qui confond muleta avec drapeau au sein de l’Assemblée nationale, Thomas Portes qui décapite un adversaire en posant son godillot sur un ballon, ceux qui font des fautes d’orthographe, des fautes de grammaire, qui vitupèrent et menacent, le Boyard qui se croit le Messie des Universités françaises, David Guiraud le menteur de l’extrême qui confond le 7 octobre avec une garden Party et qui, puisqu’il prétend que « Meir Habib est un porc », ressemble à un déchet collé à ses sabots…

Et aussi la Mathilde, dont le second prénom est Mon Nombril, qui ne sait même pas où se trouve le pays qu’elle honnit (je n’ai pas écrit « hennit », mais comme j’en ai eu envie !) Rachel Keke, qui est passée des ménages aux harangues poissonnières, celui, encore plus hypocrite, qui blasphème en prétendant qu’il t’aime, France, Mélenchon qui se prend pour Mitterrand lorsqu’il harangue ses ouailles sans culture…

Je pense aux insultes qu’ils profèrent, aux menaces, à la jouissance qu’ils tirent devant les caméras.

Et j’en veux aussi à leurs adversaires, qui ne savent pas nommer un chat un chat, et dont la profondeur humaine et politique se cache derrière leur petit doigt atrophié. Il s’agit maintenant, et depuis longtemps, de stopper l’inanité des discours, le mensonge des apparences, l’inexistante fermeté d’un état. Vaste programme, dont nul ne semble savoir comment l’amorcer.

Je parle de la France, qui donne des ordres à Israël et aux USA. Mais je pourrais aussi bien parler de la majorité des pays de ce monde.

Je citerai seulement Toronto. Des inconnus ont ouvert le feu, dans la nuit de Kippour, sur une école juive de filles, Beth Haya Moushka, de Toronto, au Canada. Pourquoi cette fusillade, si ce n’est pour terroriser les foules hurler sa haine des Juifs ? Samedi après-midi, Justin Trudeau publia cette information sur X, se disant « perturbé » et ajoutant : « L’antisémitisme est une forme de haine sordide et dangereuse et nous ne laisserons pas faire »

Mais qu’a-t-il fait depuis ?

Nous avons eu les nazis européens avec leur programme d’un avenir sans Juifs.

Puis nous avons cru dur comme acier que c’en était fini.

Et ce sont maintenant, depuis plus de 40 ans, des hordes immenses d’islamistes qui à leur tour prônent un avenir sans Juifs.

Mais bougres d’ignorants ! Sans les Juifs vous ne seriez pas là, ni vous ni personne de vos acolytes. De vous-mêmes vous n’auriez jamais reconnu ou créé Dieu. Sans les Juifs vous seriez peut-être encore des adorateurs de Râ ou  d’Héphaïstos…

J’en ai assez de ces hommages émollients, du discours indigeste d’un maire peu doué. Assise devant la télévision, j’ai l’impression d’oublier les suppliciés, de trahir les otages. Mon corps lui-même, par sa tension et ses douleurs me dit : Kadima ! En avant ! Forza ! Adelante ! Ahead !

Je vais marcher vers Gaza, pour que mes prières et ma volonté volent plus vite vers les otages.

Pendant que les restes de Sinouar n’ont pas encore compris ce qui leur est arrivé, je rêve déjà d’une prochaine frappe qui ferait du Guide Suprême la poussière des sandales des valeureux opposants iraniens. Vite, car je hais ces terroristes qui m’ont appris la haine. Connaîtrons-nous un jour le plaisir simple de déambuler dans Gaza avec nos amis musulmans, de déguster un sirop d’orgeat à la terrasse d’un même café, et, soyons fous, de travailler dans la même salle de presse ?

Avec l’aimable autorisation de  Yaël König pour publication sur Résistance républicaine

https://lphinfo.com/sideration-par-yael-konig/

Nationalité : France

Enseignante de littérature, puis proviseur de lycée, psychothérapeute, et dans le même temps écrivain, journaliste littéraire, directrice de collection, éditrice, productrice radio, Yaël König consacre sa vie aux beaux textes ainsi qu’aux sujets de société.
Intéressée par l’être humain sous tous les horizons Yaël König, très attachée à Nice où elle s’est définitivement ancrée, voyage à la rencontre des hommes et de leurs histoires. Elle a fondé une famille aux Pays-Bas, qui a adopté notre région en même temps qu’elle.
Son ouvrage Enfance massacrée, résultat d’une enquête fouillée sur la pédocriminalité, est étudié dans certaines universités françaises et étrangères.
Yaël König vit dans le Sud Est.  Elle a créé les éditions Yago en 2004, et les a récemment mises en sommeil pour pouvoir écrire.

[1] Wafa Sultan est un médecin psychiatre syrienne, naturalisée américaine, réfugiée aux USA en 1989, la peur au ventre de ce que le régime de Bagdad allait faire subir à sa famille restée en Syrie.

[2] Wafa Sultan était l’invitée de Primo-Europe à Paris

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17 Commentaires

  1. Et pour terminer, j’ai enfin vu pointer le nez de la « Bête Immonde », celle dont on nous bassine depuis si longtemps.
    **Cette bête immonde se tapissait sur les bancs de la gauche à l’Assemblée Nationale, et tout le gratin merdiatique faisait son possible pour nous le cacher.

  2. J’ai oublié de dire que le D. des juifs, c’est celui que les musulmans ont emprunté, mais en le retournant comme un gant, dans la direction du Mal, càd du Malin.
    Je ne reconnais aucune supériorité au D. des juifs.
    Pas de quoi plastronner.

  3. Le paragraphe sur Dieu me fait vraiment rigoler.
    Faut-il que vous soyez aussi imbue de votre personne pour crier que vous seule connaissez le vrai Dieu ?
    En quoi Râ ou Thor serait-il inférieur à votre D. vengeur et infanticide ?

  4. Le dernier paragraphe me laisse sidéré, car je vois re-poindre le délicieux « vivre-ensemble' » de la gauchiasserie.
    Tout ce laïus pour finir en eau de boudin ?
    Une adepte de la grande fête techno NOVA.

  5. Je me demande si il ne vaut pas mieux le dieu Ra que le dieu Yahvé ou son clone le dieu Allah des dieux vengeurs qui se mêlent des mœurs des hommes. Le dieu Ra lui il sait se coucher en fin de journée et nous foutre la paix.

  6. On veut vous connaitre et surtout votre parcours pour vous comprendre mais rien ne passe sur ce site. De plus sachez que je ne suis pas un adorateur de Yave et de ses histoires de peuple élu. Le Christ , lui meme Juif, a bien fait comprendre qu’il ne s’agissait pas de la vérité et que son royaume n’est pas de ce Monde donc pas plus d’Israel,de Gaza et autres contrées.

  7. « Lorsque vous niez Jésus Christ et que vous affirmez que sans vous nous n’aurions jamais connu Dieu » saleté de correcteur d’orthographe !!!

  8. Chère Madame je pense que vous devriez être un peu moins affirmative lorsque vous rentre à Jésus Christ et que vous soutenez que sans vous nous n’aurions jamaus connu Dieu. C’est justement la venue de notre Seigneur Jésus-Christ qui nous a permis de connaître le véritable Dieu. Puisque vous niez Jésus Christ Marie et la trinité expliquez moi s’il vous plait d’où proviennent les multiples apparitions Mariales, les miracles certifiés de la religion Catholique ? Connaissez vous le maître Philippe de Lyon ? Avez vous entendu parler de la Vierge du Mexique avec son corrolaire de miracles incontestables ? Enfin je serai heureux que vous me citiez des miracles certifiés de la religion Juive religion que je ne condamne surtout pas et ne critique pas non plus mais je pense qu’en tout domaine il faut rester humble : « il y a de nombreuses demeures dans la maison de mon Père ».

  9. -« La France qui m’a donné le goût de tout ce qui fut elle, s’acharne aujourd’hui à distiller le dégoût de tout ce qu’elle est devenue.
    Des enfants violés puis tués, des citoyens décapités, des couteaux et des Kalachnikov dans nos rues, au vu et au su de tous… »-

    Oui ! hélas !

    Et tandis que les bien pensants qui nous aiguillonnent autoritairement ; « démocratiquement » disent :
    -« il faut bien que fence se fasse ! »

    C’est notre cauchemar, notre réalité écrasante. Notre seule consolation est que comparée aux horreurs qui ont lieu au Proche-Orient (depuis trop, très longtemps) ; chez-nous, pour l’instant, ça se passe en « relative douceur ». Et demain ?!

    • ça me choque MSDO, c’est quoi « relative douceur », la tuerie du Bataclan ?
      La monstruosité de Nice ?
      Comment peut-on parler de relative douceur ?
      Je suis atterré, on voit bien que la propagande joue à fond, même sur les fidèles de RR.

  10. La France est un pays complexe. Un pays composé de traîtres, de collabos et de patriotes, où les deux premières catégories dominent cependant.

      • Je ne vous connais pas. Et donc je ne vous permets pas de me juger. Ni collabo ni traître. Je constate, c’est tout.

        • Alors ne parlez pas des autres et ne les jugez pas . Traiter les français de collabo, de traitres Qui vous le permet ! Vous êtes un patriote mais sur ce site les patriotes sont souvent bi . On peut être patriote complexe .

          • N’importe quoi. Bon, je quitte définitivement RR, ça devient malsain.Je ne parle pas de bi ou autres. je dis simplement que la France est compliquée. Traiter de traîtres et de collabos ceux qui favorisent l’invasion, je pense que ce n’est pas excessif. Ce ne sont pas des patriotes. Quand on aime sa patrie, on la défend. Ne pas parler et ne pas juger? Apparemment c’est ce que vous faites. Allez vous faire voir.

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