Commençons par un très bref rappel historique …
En 1492, Ferdinand d’Aragon et Isabelle la catholique achèvent la Reconquista : mettant fin à 800 ans de colonisation musulmane barbare en Espagne.
Les musulmans, avec leur roi Boadbil, sont expulsés d’Espagne.
Tous les musulmans ?
Non, des musulmans convertis, en apparence, au catholicisme, sont autorisés à rester en Espagne : ce sont les Morisques qui nous occupent dans cet article.
Les Morisques sont l’objet d’une véritable histoire sainte chez les musulmans et leurs complices gauchistes.
Ainsi un article du site du colonialisme algérien en France, Oumma.com, CHEZ NOUS, se fait l’écho de cette histoire sainte à destination des bobos gogos parisiens :
Avril 1609, le Roi Philippe III d’Espagne décrète l’expulsion des Morisques, musulmans convertis de force au catholicisme depuis plusieurs générations.
La doxa ibérique a rendu sa sentence : ils sont inassimilables à la nation.
Arrachés à leur terre, ces chrétiens malgré eux, resteront longtemps nostalgiques de leur paradis perdu.
Mouais, pour les Français d’Algérie, Saïd Branine, le tenancier algérien d’Oumma.com n’a pas ces tendresses sirupeuses.
A chaque étape, une question. À chacune de ces questions, un dialogue en guise réponse. L’altérité en est sublimée par l’imagination prolixe de l’auteur, qui a su donner une âme à un récit inspiré de faits réels.
Etre un agent algérien en France et venir chouiner, chez nous, sur l’altérité, c’est assez comique quand l’idéologie d’Etat en Algérie est l’arabo-islamisme : point de salut pour les Kabyles militants et Algériens convertis au catholicisme, par exemple.
Octobre 2021, la peur de l’autre est de retour, la diversité est honnie, l’égoïsme est redevenu vertu. L’Europe semble à nouveau aux prises avec ses vieux démons. Certains font une entrée tonitruante sur la scène publique en criant au loup à-tout-va.
Simplification, généralisation, suspicion, discrimination, confrontation, expulsion, … le venin du rejet a une logique implacable. Il suit un canal sans écluse pour se déverser dans un océan d’incompréhension réciproque.
En ces circonstances, on ne peut que rendre hommage à tous les Morisques, de tout temps et en tous lieux, à qui l’on demande de choisir entre leur chez-soi et leur foi, leur nation et leurs traditions. Réceptacle de l’anathème, boucs-émissaires désignés, ils portent en eux leur sacerdoce, contribuant, à leur corps défendant, à enfanter dans la douleur du ciment qui nous unit tous à une destinée commune.
C’est mignon tout plein, mais ce tableau idyllique est totalement faux de A à Z …
Méfiez-vous, chers lecteurs, d’une façon générale de certains musulmans qui prétendent faire de l’Hisoire.
Tout chez eux est enrôlé au service d’un but unique : le triomphe mondial de sa secte.
On ne peut pas attendre de vérités dans la bouche d’un individu de ce type : de la même manière qu’un « historien » nazi ou stalinien est, par définition, un menteur pathologique.
Reportons-nous, pour découvrir la vérité historique, à une analyse de 1974, d’un historien de la très gauchiste fac Paris VII : un temps où le politiquement correct sur l’islam n’avait pas mis la liberté de penser sous un étouffoir.
https://www.persee.fr/doc/rhmc_0048-8003_1974_num_21_3_2306
La vérité c’est que les Morisques, loin d’être fidèles à la parole qu’ils avaient donnée, se sont livrés, dès après 1492, à des actes de banditisme, de cruautés atroces contre les chrétiens rendant leur expulsion inévitable (1609).
Les Morisques furent classés par les Espagnols du XVIème siècle en trois groupes :
-Les « gandules » : des miliciens organisés, musulmans violents, terrorisant les populations chrétiennes espagnoles
-Les « piratas » : ce sont des musulmans, venus d’Afrique du Nord, par la mer, et qui agressent un village chrétien avec la complicité complète des Morisques, à demeure en Espagne. L’article évoque des « centaines » d’attaques de ce type.
-Les « monfies' » : ce sont des brigands musulmans, inorganisés, morisques, qui se coalisent en bande de pillards, d’assassins qui mettent à mort tout ce qui ressemble à un chrétien.
Exclusivement, d’ailleurs, les chrétiens, comme notre professeur de Paris VII le souligne dans son texte.
Les Espagnols considèrent les « monfies » comme dex « criminels » (sic), les musulmans le considèrent comme des « saints ». (sic)
Les Espagnols tentent tout ce qui est possible pour réduire les « monfies », en particulier en les isolant du gros de la population morisque.
Peine perdue, cette dernière leur vient constamment en aide.
Mais, de 1560 à 1580, la situation se dégrade, continûment : les « monfies » morisques se rendent maîtres d’une grande partie du royaume de Grenade où ils multiplient les atrocités contre les chrétiens espagnols.
Je passe sur les récits de ces milliers d’atrocités commis, en Espagne, par les colons musulmans morisques contre les chrétiens.
Reste que, comme le dit l’auteur « nous sommes » (entre musulmans morisques et Espagnols chrétiens) « au coeur d’une guerre de civilisation »(sic).
La patience des Espagnols, malgré l’intolérance qu’on leur prête, non sans raison, resta grande, sur plus de cent ans, dans le cas des Morisques : ils ont tenté de multiples solutions de conciliation.
Peine perdue face au suprémacisme de l’Islam.
Une seule solution restait disponible : l’expulsion totale et définitive des musulmans morisques.
Elle eut lieu en 1609.
A partir de cette date, tout le banditisme en Andalousie prit fin, comme par miracle …
Conclusion : Il y a, bien sûr, plein d’enseignements à tirer pour notre époque.
Avec Zemmour, refusons les excuses sociales face aux violences musulmanes que subit la France.
On ne rafale pas des centaines de jeunes Français, en plein Paris, par suite d’un « malaise social ».
C’est, comme en Espagne au XVIème siècle, une guerre de civilisation qui nous est menée, avec la complicité de traîtres français : il serait temps de regarder la vérité en face.
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Bel apport à la connaissance des faits historiques concernant l’islam en Europe.
Ces convertis à la secte mahométane, ne sont capables que de poser problèmes, ils adorent tuer, assassiner, harceler, pourchasser tous ceux qui ne sont pas muslim.
Aucun accord ne peut les satisfaire, il ne reste que l’expulsion.
d’où REMIGRATION
« enfanter […] du ciment », formule hardie … (3615 Dolto)
Article plein d’enseignement à qui sait lire.Merci.
Bonjour, Sur mon site d’histoire facebooK, messages pour glorifier un bon livre “al andalus adieu” de diego Ramos.Le livre est PASSIONNANT. Mais la fin “tu ensemenceras la terre de mes ancêtres” dit Khalil à son ami Didac, le normand. Je n’ai pas dit que les espagnols avaient été privés de leurs terres avec l’invasion 800 ans avant. Messages “l’histoire va t elle recommencer” “les humains n’apprennent rien de leurs erreurs” “vous devez savoir la vérité”. Je combat avec l’histoire. J’ai mis les crimes de l’ottoman Barberousse. Mais aussi le sort des Morisques expulsés, volés, insultés, filles violées. Morisques jetés à la mer dans les bateaux les emmenant. Magreb-Morisques tués par les arabes, morts de faim et de soif car aucun soutien. Et j’ai cité cervantés et ricotte le morisque car beaucoup est revenu et s’est fondu dans la masse. UN MOT D’ORDRE OU UNE PEUR, mais cela s’est arrêté face aux FAITS car pleurs et malheurs des deux côtés. Corsaires d’alger. Razzias des côtes ITALIE et ESPAGNE avec MASSACRES-Plus de nouvelles, LA VERITE DEPLAIT à ceux qui veulent faire pleurer pour UN SEUL CAMP