« Contemplez ce qui vous attend, mortels qui avez défié les immortels »

Depuis le 7 Octobre dernier, jour funeste où la barbarie islamique s’est déchaînée en Israël, le voile pudique de la bien-pensance s’est enfin déchiré. La violence génocidaire des exactions des combattants du Hamas perpétrées au nom de l’islam toujours aussi conquérant, semble avoir enfin réveillé un Occident endormi depuis des dizaines d’années par les discours universalistes et lénifiants des associations immigrationnistes et des loges maçonniques du Grand Orient. L’extrême droite stigmatisée dénonçait depuis des années la montée d’un antisémitisme importé, nourri par les textes coraniques. Le système fermait les yeux, jetant des anathèmes et traquant les opposants à la doxa qui osaient dire le roi nu. Il ne lui est plus possible de nier la réalité. Un sondage récent indique que 78% des Français considèrent l’islamisme (pour ne pas dire l’islam) comme un danger.[1]

L’Occident semble se réveiller enfin. Quoique timidement. Mais c’est à l’occasion d’un fait extérieur, à des milliers de kilomètres, en terre sainte, même si le destin de cette terre est consubstantiel à celui de l’Europe chrétienne depuis plus de mille ans. On ne peut que constater tristement que ni l’attentat de Nice où 90 personnes périrent écrasée sous un camion au nom de l’islam, ni l’égorgement du père Hamel ou de Samuel Paty, ni les atroces exactions du Bataclan dont on cacha ensuite honteusement la réalité macabre, ni le massacre des journalistes de Charlie Hedbo, ni la montée du racisme antiblanc nié malgré son existence bien réelle, ni l’odieux massacre de Lola ou d’Enzo ne déclenchèrent la réaction salutaire d’aujourd’hui. Il aura fallu que les soldats de cet islam exterminateur jettent dans les kibboutz les atroces et épouvantables références de Nuit et Brouillard à la face d’une Europe exténuée, que les croix gammées et les exactions antisémites fleurissent en France au nom de la Palestine, pour que renaisse enfin notre instinct de survie.

L’antisémitisme explose et se répand aujourd’hui en France. Beaucoup le dénoncent. Tant mieux. Réaction salutaire, mais tardive. Saurons nous survivre à cet islam conquérant qui progresse partout et qui ne s’accommode d’aucun « Vivre -Ensemble » ? Cet islam qui depuis 1400 ans massacre si l’on ne s’y soumet pas. Serons-nous comme en 1940 submergés par l’envahisseur ? Avons-nous encore assez de force et de courage pour assumer notre héritage millénaire et repousser les barbares comme en 732 à Poitiers, comme les grecs aux Thermopyles et à Salamine ? L’ennemi est en notre sein. Leur nombre est considérable : ils se comptent par millions, sans compter tous ceux qui collaborent avec eux, les Mélenchon et Mathilde Panot de tout poil, porte étendard de l’antisémitisme islamique. Ils ont une arme que nous avons perdue : ils ont la foi, une foi vigoureuse et conquérante. Alors qu’il ne nous reste plus que les lambeaux décomposés d’une église catholique indigente et ceux de la religion du Vivre Ensemble, version 2.0 et dégénérée du culte de la déesse Raison.

Mais il faut garder espoir. Cet espoir qui animait ceux qui ont toujours résisté face à l’adversité. Jeanne d’Arc apparut alors que tout semblait perdu. Honoré d’Estienne d’Orve, Jean Moulin et tous ceux qui furent les victimes de l’envahisseur et de ses collaborateurs, tous portèrent le flambeau du salut de la France, celui de jeanne d’Arc. Je crois en cette France éternelle, dont le génie brilla sur le monde pendant des siècles. Et cette foi-là est plus grande que celle des barbares hirsutes de la diversité et de l’oumma islamique qui ne rêvent en réalité que de porter des Nike, de conduire une voiture de sport et de se « taper des meufs », qu’ils violeront et voileront. Chaque année, 20.000 jeunes Français font le pèlerinage de Chartres. C’est la flamme de la France immortelle qui brûle en eux, comme chez Henri d’Anselme, l’homme au sac à dos qui fait aujourd’hui le tour des cathédrales.

Nous n’avons pas besoin d’être nombreux. Notre petit nombre suffira à inspirer et réveiller les forces souterraines de ce peuple français constructeur de cathédrales, ce peuple qui domina l’Europe jusqu’en 1815 et qui se souvient toujours de sa grandeur passée, malgré les dégâts de l’inéducation nationale. Israël, par con courage et sa détermination nous montre la voie. Ce petit pays construit par les survivants des horreurs de la barbarie allemande lutte envers et contre tout depuis 75 ans contre un monde arabe hostile. Ils ont la foi. Ils sont fiers de ce qu’ils sont, conduits par les lois du Talmud et l’espoir de Moïse. J’ai été ému de voir leurs frères expatriés tous converger pour sauver cette terre promise, brandissant et chantant leur hymne national dans les avions. Cet exemple admirable doit nous inspirer et nous servir d’exemple. Nous n’avons pas à nous soumettre. Nous devons relever la tête. Et je ne doute pas que nous le fassions nous aussi très bientôt.

J’observe partout les effets de cette prise de conscience salutaire. Comme chez cet ami d’enfance qui est adhérent et militant chez Renaissance. Il m’a envoyé hier les bons mots de Jean Marie le Pen et fait preuve d’une ardeur particulière et soudaine pour dénoncer l’islamisme et la submersion migratoire. Une sorte de révolution copernicienne, certes bien tardive, chez cet extrémiste du centre depuis toujours (il votait Bayou avant de voter Macron). C’est un cas d’école.

La prise de conscience est rapide. Le gouvernement ne peut plus y faire obstacle. Les ministres font des déclarations tonitruantes. C’est à celui qui fera le plus preuve de fermeté. On nous promet le changement. Nous jugerons au résultat. S’il y a des évolutions positives, elles restent pourtant encore très timides : il reste beaucoup de préjugés et tant à faire. Le débat sur la nouvelle loi immigration et l’affrontement sur son article 3 qui prévoit de régulariser les immigrés illégaux qui travaillent en secteur dits « en tension » est caractéristique de ces hésitations funestes et du poids des erreurs passées. Le tout au nom du « bon sens ». Puissent les bonnes résolutions se transformer en actes : ce n’est pas encore gagné. Le « parti bourgeois » de Macron tiraillé par un « en même temps » irresponsable n’est pas encore complètement converti aux nouvelles réalités dévoilées.

Il serait tentant de se réjouir en voyant  s’effondrer le petit univers conformiste de ces bourgeois de banlieue chic qui commencent à paniquer, si la France n’était pas dans cet état PAR LEUR FAUTE !

Encore très récemment, ils se rassuraient de nous traiter de fachos et de nous ostraciser, pour mieux ignorer la réalité d’une civilisation en perdition. Mais maintenant que leur petite vie confortable risque de disparaître, les voici qui font maintenant le concours de la déclaration la plus ferme et la plus martiale (« l’Ecole se tient debout » etc…) pour se rassurer ou nous donner des gages ? Sans doute un peu les deux. Mais faut-il vraiment les croire ? Face aux AK47 de ceux qui viendront bientôt les chercher dans leurs pavillons et appartements bourgeois, quand leurs enfants seront massacrés sous leurs yeux et/ou violés comme dans les kibboutz, je me demande toutefois s’ils seront aussi résolus et quelles seront leurs dernières paroles. Peut-être ce qu’a dit Tapie face à ses agresseurs … voire pire : se convertiront ils à l’islam de leurs nouveaux maîtres ?

« Malheur à moi ! Malheur à la race des Perses frappés par un Dieu naufrageur » répond Xerxès à sa défaite.  « Malheur à vous, musulmans ! » dit aujourd’hui, mais encore tout bas, tout l’Occident coalisé. « Malheur à vous, Collabos ! », disons-nous aujourd’hui. Nous les damnés de la terre, ceux qui ont osé dévoiler le réel les premiers. Nous qui sommes depuis des années les victimes expiatoires de cette caste qui a vendu le pays par intérêt et par bêtise. C’est son tour de payer, de faire face aux conséquences de sa trahison.

Lorsque nous gagnerons la guerre qui s’annonce (ce dont je ne doute pas), il faudra sans doute juger les survivants de cette bourgeoisie collabo pour haute trahison, même repentis, s’ils ont eu un engagement public. Pour l’exemple. Pour que cela ne recommence plus jamais. Il faut préférer les convictions (même celles de l’adversaire), aux repentirs intéressés et de circonstance, auxquels on ne devra croire qu’avec circonspection. Car ces traîtres-là devenus soudainement amis d’un moment n’hésiteront pas à trahir une nouvelle fois si leur survie en dépend.

« Un ami c’est un traître qui attend son heure » (Talleyrand).

Emmanuel Crenne

Conseiller Régional d’Occitanie (2015-2021)

Responsable Régional et Fondateur du parti Reconquête en Occitanie (février 2021-février 2022)

Aujourd’hui libre et indépendant, ne parlant qu’en son nom

[1] Sondage de l’institut CSA pour CNEWS du 3 Novembre 2023

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