La greffe d’un organe de cochon ou la transfusion de son sang, une arme contre l’immigration ?

Alors que « xéno » venant du grec « xenos » signifie « étranger », nous pouvons espérer que les « xénogreffes » en viennent à ralentir les vagues, précisément, d’étrangers !

En effet, les « xénogreffes » appelées également « xénotransplantations » sont des greffes d’organes d’une espèce animale sur une autre espèce animale, et, en particulier, celles concernant des organes prélevés sur des mammifères et transplantés sur un autre mammifère, l’homme !

Les greffes qui m’ont intéressé, ce sont celles concernant un organe de porc sur l’homme ! J’évite la plaisanterie facile : oui, c’est normal qu’un organe de porc prenne sur l’homme car c’en est déjà un !!! Plaisanterie qui tombe à plat puisqu’une femme pourrait bénéficier également d’un coeur de porc… Euh, pardon, Madame Rousseau, oui, veuillez m’en excuser, je reprends : Plaisanterie qui tombe à plat puisqu’une femme pourrait bénéficier également d’un coeur de truie !

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Dans l’histoire de ces xénogreffes, le site presse.inserm.fr , de l’institut de renommée mondiale qu’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale), note que « la première xénotransplantation de cornée (du porc à l’Homme) aurait été réalisée chez un patient en 1838, bien avant la première allotransplantation de cornée en 1905. »

Les Français ont d’ailleurs été parmi les pionniers des xénogreffes il y a plus de 50 ans ! Oui, dans les années 1970, comme le rappelle Midi Libre le 15 janvier 2022 :
« Si mon père voyait ce qui se passe aujourd’hui, il serait fier ! » Joël Marchal, fils de Georges Marchal, premier chirurgien français à avoir réalisé une greffe de foie chez l’homme en 1972, n’a pas de doute. Décédé en 2013, son père, patron du service de chirurgie digestive du CHU de Montpellier de 1960 à 1988 a une autre prouesse à son actif, moins connue : en 1977 et 1978, il a réalisé les cinq premières xénogreffes du foie en France, transplantation d’un organe d’une espèce à une autre (à la différence de l’allogreffe, chez une même espèce), une technique qui a fait l’objet d’une actualité fracassante mardi dernier (ndlr : 15 janvier 2022) lorsque l’université du Maryland, aux Etats-Unis, a annoncé la première greffe d’un cœur de porc génétiquement modifié à un humain, David Benett, 57 ans. »
Mais, comme le rappelait le 9 décembre 2018, maxisciences.com , avant que l’homme ne soit le receveur, les expériences ont eu lieu entre d’autres espèces animales, en particulier du porc vers le babouin, l’un de nos « cousins » : « Une équipe scientifique allemande est parvenue à transplanter à des babouins des cœurs issus de donneurs d’une toute autre espèce : le porc. Une série d’opérations couronnées de succès, qui ouvre la voie à de possibles applications chez l’Homme. »

Des greffes dont ne bénéficieront jamais les pratiquants d’une certaine religion qui bannit la consommation de viande de porc. Mais des xénogreffes, ce n’est pas le quotidien des services hospitaliers quel que soit le pays… En revanche, les transfusions sanguines ou transplantation de cellules du sang, c’est du quotidien, en particulier lors des secours d’urgence… Or il est fort possible que, dans un avenir proche, soient pratiquées des transfusions sanguines avec du sang de porc !

En effet, les premières xénogreffes remontent au XVIIe siècle ! Et elles ne concernaient pas des organes mais uniquement des cellules, des cellules du sang et, plus précisément, du sang d’agneau ! Et qui ont été les premiers au monde à pratiquer de telles xénotransfusions ? Eh bien, des scientifiques français ! Et quand ? Sous le plus long règne des Rois de France, celui de Louis XIV, le célèbre Roi Soleil, (1638-1715). En effet, ces premières xénotransfusions avec des cellules de sang d’agneau vers l’homme ont été réalisées en 1667, à Paris, banlieue, à l’époque, de Versailles !

Évènement que relate également le site presse.inserm.fr , de l’institut de renommée mondiale qu’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) : « Le concept de xénogreffe n’est pas nouveau, de nombreuses tentatives cliniques de transfert de l’animal à l’Homme ont eu lieu depuis trois siècles. C’est d’ailleurs ainsi qu’aurait débuté l’histoire de la transfusion sanguine : le premier patient transfusé, en 1667, l’aurait été avec du sang d’agneau. » Et l’INSERM ajoute : « la première xénotransplantation de cornée (du porc à l’Homme) aurait été réalisée chez un patient en 1838, bien avant la première allotransplantation (ndlr : d’homme à l’homme) de cornée en 1905. »

En ce qui concerne les xénogreffes d’un animal à l’homme, cela ne peut qu’aller en se développant en raison :
-d’une part, de la difficulté de plus en plus grande de trouver des donneurs ;
-et d’autre part, des progrès réalisés par les équipes de recherches médicales à travers le monde, avec en tête, celles en France et en particulier celles réalisées à l’INSERM qui précise :
« Depuis quelques années, les travaux de recherche autour de la xénogreffe se fondent de plus en plus sur une approche génétique pour surmonter les questions relatives au rejet immédiat du greffon (ou hyper aigu). C’est d’ailleurs grâce à cette approche génétique que les médecins américains ont pu faciliter l’adaptation du cœur de porc à l’organisme du patient. En effet, ils ont réussi à supprimer l’expression de certains antigènes à la surface des cellules porcines, qui étaient jusqu’alors reconnues comme étrangères par le corps humain, empêchant ainsi la destruction immédiate de l’organe animal par le système immunitaire du patient greffé. »

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Pour ce qui est des transfusions sanguines à partir de sang d’animaux, cela ne semble pas être pour demain.
Mais il est évident que si les scientifiques trouvaient la solution permettant de prendre du sang d’un animal pour remplir les réserves des hôpitaux, cela serait l’idéal ! D’autant plus « idéal » si ce sang, comme le firent des Français en 1667, était prélevé sur des agneaux, symbole accepté par les religions les plus pratiquées en France… Le problème pour certains Français ou étrangers vivant en France, serait impossible à résoudre avec du sang d’un animal, pourtant si proche de l’organisme humain, à savoir le porc ! Nombre de pratiquants n’accepteraient pas d’être sauvés par l’implantation d’un coeur de porc, alors, encore moins grâce à du sang de ce vil animal…

Si cela arrivait, cela nous priverait de nombreuses personnes arrivant actuellement sur notre sol : elles préféreraient éviter de risquer de se faire transfuser dans un pays abritant, en outre, des habitants au sang si impur ! Et ceux qui ne nous aiment pas ne pourraient même pas nous agresser à l’arme blanche, pour ne pas risquer de recevoir ne serait-ce qu’une goutte de cet infâme sang… Tant pis pour eux… Mais tant mieux pour nous !
En espérant que l’on puisse bénéficier, dans peu de temps, de telles transfusions sanguines en provenance de ces sacrés cochons, si vous avez un moment, allez, je vous invite : on va s’faire une belle petite assiette de charcuterie ! Et je vous le garantis : vos papilles accepteront, sans aucun signe de rejet, cette greffe… stomacale !

LIENS :
—> Midi Libre :
https://www.midilibre.fr/2022/01/14/montpellier-a-la-fin-des-annees-70-on-greffait-des-foies-de-babouins-a-des-humains-pour-les-sauver-10046244.php

—> maxisciences :
https://www.maxisciences.com/greffe/apres-un-succes-sur-le-babouin-les-greffes-d-organes-d-animaux-chez-l-homme-se-rapprochent_art42239.html

—> INSERM :
https://presse.inserm.fr/canal-detox/un-coeur-de-porc-pour-tous-vraiment/

JACQUES MARTINEZ, journaliste, 
ancien de RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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10 Comments

  1. On devrait équiper la porte de la CAF de poignées en os de Cochon , quoique ils mettraient des gants je pense sauf si ceux-ci sont en peau de porc évidemment !

  2. Il faut que tout rejet soit évité !
    Pour cela, des manipulations génétiques…
    Dans le cas du sang, il y a des recherches pour un sang synthétique ce qui a toute chance de supplanter toutes autres transfusions.

  3. Très intéressant comme article. Dans l’immédiat, et je crois que cela a été suggéré, je pense que si un maximum de Français choisissait d’avoir comme animal de compagnie un cochon, un porc ou un sanglier, ça réglerait certains problèmes. Il faudrait surtout songer à favoriser l’élevage de cochons, de porcs et de sangliers; faire en sorte qu’ils se reproduisent et pullulent de plus en plus.

  4. Les greffes de valves aortiques en provenance de cochon, sont déjà largement pratiquées.
    Le cochon nous sauvera-t-il du musulman ?

  5. Chaque Français qui le peut devrait se procurer un cochon de compagnie… Il y aura bien des migrants qui, voyant trop de cochons dans les jardins des Français, se sentiront malades et retourneront en Afrique…?

    Non, on rêve trop…

    Il faudrait être vraiment idiot pour ne pas comprendre que des « réfugiés » constitués majoritairement d’hommes ne sont PAS des réfugiés, mais les soldat d’une invasion programmée…
    Ainsi, nos cochons ne leur feront malheureusement pas peur…!

    Par contre, concernant les greffes d’organes de cochon et tout ça…
    …moi, je reste sceptique sur le moyen et long terme. Même le COURT, d’ailleurs…
    Quand on sait que de l’ADN étranger qui « entre » dans notre corps peut attaquer notre ADN… attention aux maladies, troubles neurologiques, et tout ça, quoi!
    …Ne serait-ce pas PIRE de recevoir de l’ADN étranger ANIMAL que de l’ADN étranger HUMAIN?

    (Il n’y a pas longtemps encore, on nous promettait la Révolution Médicale avec des greffes d’organes artificiels créés de toutes pièces à l’aide de l’imprimante 3D…)

  6. Quel admirable animal que le cochon, il ne lui manque plus que de faire lui-même son boudin. Jules Renard.

  7. Tout les moyens sont bons pour faire dégouté les migrants qui veulent envahir l’Europe y compris en utilisant un coeur de cochon et du sang de cochon parce que c’est la seule arme pour faire fuir ces envahisseurs !

  8. =====
    ■ L’Europe prépare un appel d’offres pour des vaccins à ARNm contre le COVID d’une durée d’un an
    ► Plusieurs pays ont confirmé leur intérêt pour entamer les négociations, mais le timing est désormais primordial pour l’hiver.
    ○ POLITICO.eu : https://tinyurl.com/282c6ckx

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