Vivre et combattre ensemble ou mourir seul, préparez-vous ! (3ème partie)

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Parties précédentes :

https://resistancerepublicaine.com/2019/10/29/vivre-et-combattre-ensemble-ou-mourir-seul-preparez-vous-premiere-partie/

https://resistancerepublicaine.com/2019/10/30/vivre-et-combattre-ensemble-ou-mourir-seul-preparez-vous-2eme-partie/

 

Bonjour à toutes et à tous !

 

D’emblée, je tiens à remercier les nombreux commentateurs avec qui j’ai eu le plaisir d’échanger depuis deux jours.

Certains sont d’anciens militaires. Il est toujours agréable de retrouver des idées proches et un langage commun qui rappellent « le bon vieux temps ». Mais comme je l’ai dit, il n’y a pas d’exclusive, et tout le monde peut et doit se sentir concerné et pouvoir coopérer : hommes, femmes, enfants, quel qu’en soit l’âge, les convictions – ou absence de convictions – politiques, philosophiques, ou religieuses, nous sommes et serons tous dans le même bateau.

Chacun a sa place, et son rôle à jouer.

Charge à nous de saisir les bonnes rames et d’utiliser la bonne boussole.

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J’ai été quelque peu – même beaucoup – retardé dans la rédaction de cette troisième partie par les réponses que je me suis attaché à apporter aux très nombreux commentaires de nos amis.

Puisque nous allons parler de peur, il y a nécessité pour moi de rassurer celles et ceux qui pourraient nous prendre pour un groupe subversif. Il n’en est rien, absolument.

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Et là, avant de publier, à la lecture des derniers commentaires lus ce matin, j’aimerais dire et répéter qu’il est lassant, malgré ce que Christine et moi-même avons affirmé à plusieurs reprises, que certains restent ancrés dans leurs fantasmes :

NON ! Nous ne sommes pas des comploteurs, nous ne sommes pas des activistes, nous ne fomentons aucun trouble, nous n’appelons personne à prendre les armes pour lutter contre quiconque !

Nous sommes et demeurons dans l’absolue légalité, nous tentons simplement d’apporter notre éclairage sur l’actualité et sur ce que l’on nous en cache.

Nous ne cherchons pas à faire peur à ceux qui nous lisent pour tenter de les monter contre ceux qui nous gouvernent, ni contre ceux qui ne nous ressemblent pas, que ce soit par leur couleur, leurs habitudes, leur philosophie, leur religion.

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Nous pensons que ceux qui nous prodiguent de « bons conseils », ou qui écrivent que « délivrer un tel message, de fait, quasi publiquement, fait courir un risque réel à Dharma et à son groupe », nous ont bien mal lus.

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A la limite, nous nous demandons s’ils ne nous souhaiteraient pas nous voir pris en défaut et embastillés ?

Nous espérons bien nous tromper, et faisons confiance à leur sagacité.

Et de quel « message » s’agirait-il donc d’ailleurs ? Absurde ! Chez nous, aucun appel à la haine ni à la violence, aucun appel à l’insurrection, les conseils que nous donnons, et que nous allons continuer à donner, sont semblables à ceux que vous pourrez trouver par ailleurs un peu partout sur la toile, et même, ainsi que je l’ai signalé hier dans l’une de mes nombreuses réponses aux commentaires, sur l’un des sites gouvernementaux comme le portail interministériel de prévention des risques majeurs :

http://www.risques.gouv.fr

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Ne souhaitant pas renouer avec le Mythe de Sisyphe, je m’arrête là, et ne répondrai plus aux commentaires de ce type si d’aventure il y en avait de nouveaux, beaucoup trop chronophages.

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Cela dit …

A la fin de la deuxième partie de cet article, j’ai fait allusion à la peur, inévitable, qui risque bien de saisir nombre de nos concitoyens. Ce phénomène de peur est peut-être encore aujourd’hui diffus dans l’esprit de la plupart, puisque pour l’instant, aucune confrontation majeure n’a encore été constatée.

En tout état de cause, selon la vieille expression : « la peur n’évite pas le danger ».

Mais cette peur, dont se moquent les islamo-collabos au pouvoir, n’est-elle pas justifiée lorsqu’on se souvient des propos tenus par Dalil Boubakeur, Recteur de la Grande Mosquée de Paris qui affirmait :

« L’islam n’est plus une simple religion mais un phénomène politique majeur. C’est une idéologie de lutte, d’agression ».

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Que l’on n’aille pas tenter de nous faire croire qu’il s’agissait d’une figure de style, de l’humour, même au second degré !

 

Non, tout ce qui se passe depuis plusieurs dizaines d’années en Europe, et en particulier en France, ne peut qu’être alarmant, nous en sommes tous conscients.

Or, lorsque la peur gagne, notre réflexe premier, primaire, consiste à se rapprocher des autres, de ceux en qui on a confiance, de ses proches, des siens.

Alors, la peur, c’est un sentiment, généré par un événement la plupart du temps extérieur.

Le danger, c’est ce qui nous menace, mais que l’on ne peut pas toujours discerner, même définir.

Eviter, c’est faire en sorte que la chose que l’on estime dangereuse n’arrive pas.

Fuir, en quelque sorte.

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Le soldat, le militaire, connaît la peur quasiment chaque fois qu’il part dans l’inconnu, « sur la piste », garce et cruelle. Nous avons tous peur lorsqu’on s’avance, les mains crispées sur le flingue, et chaque pas coûte.

A chaque instant, nous apprenons à identifier nos peurs, à les maîtriser, en identifiant les dangers successifs.

C’est ce qui permet d’avancer. D’autant plus facilement que nous avons nos camarades qui avancent à nos côtés, en même temps que nous.

Nous partageons.

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Je n’aurais pas pris dans mon équipe, dans mon Stick, dans ma Section, un gars qui m’aurait déclaré ne pas avoir peur. Car ce gars-là n’aurait pas pris les précautions suffisantes, il n’aurait pas été réceptif aux signaux d’alerte qui nous parviennent inévitablement car dans les cas de danger, nos sens deviennent beaucoup plus réceptifs.

Et aujourd’hui encore, si j’avais à partir au feu – et je ne le souhaite aucunement – je ne prendrais pas avec moi un fanfaron, car nous sommes tous co-responsables les uns des autres.

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Aujourd’hui, nous en sommes tous au même point. Nos peurs, plus ou moins larvées, s’appellent crainte de manquer du nécessaire, inquiétudes pour la santé, pour la vie, pour nous-mêmes, pour nos proches, pour notre famille ; inquiétudes pour la survie de notre pays, de nos traditions, de notre civilisation.

Porte fracassée, réserves pillées, violence, violence, violence …

Et c’est sur notre propension à avoir peur que comptent les aliens, car ils savent qu’une peur non maîtrisée paralyse.

Croyez-vous que les djihadistes soient exempts de peur ? Non, beaucoup, quoiqu’il paraisse, sont morts de trouille avant de passer à l’action ! Et leur fameux cri :

« Ah la la ! Où est l’bar !? »

n’est qu’une sorte de mantra pour exorciser leur peur, pour se donner du courage. Et en même temps terroriser.

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Alors, se regrouper, c’est fondamental. Cette démarche est facilitée par nos réunions organisées par RR, comme celle du 23 novembre prochain.

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Se regrouper, aujourd’hui, c’est se connaître, se reconnaître, créer des liens pour demain. C’est savoir que dans notre quartier, dans notre ville, dans notre région, il y a des femmes et des hommes ayant la même grande préoccupation, les mêmes craintes, mais dont on connaît les qualités et les compétences, qui pourront être utiles un jour ou l’autre. C’est s’entendre pour établir des moyens de communication lorsque téléphone, radio, télévision, se seront tus.

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S’être regroupés, demain, c’est profiter des liens d’amitié créés aujourd’hui, c’est pouvoir se réunir, participer à une œuvre de construction ou de reconstruction, d’un abri, d’un bâtiment, c’est pouvoir échanger des informations cruciales, mais aussi des services, c’est passer des messages d’alerte, c’est profiter des compétences de chacun.

Mais ce sera aussi, peut-être, se retrancher dans un îlot sécurisé, préparé à l’avance, pour résister ENSEMBLE à une déferlante de la peste verte.

Si déferlante il y a !

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La communication entre îlots constitue naturellement un réseau.

Cela peut commencer par le voisinage immédiat, sans doute avec circonspection, car connaît-on toujours vraiment son voisinage ?

Et gagner d’autres voisins et amis. Il ne faut pas s’imaginer transformer tout à coup toute une région en un bastion inexpugnable, suréquipé et surentraîné. Ce n’est pas non plus ce qui est recherché. J’en reviens à ce que j’ai déjà dit : informer, s’informer, former, échanger, s’entraider lorsque les pénuries vont se faire jour et s’amplifier. En un mot : reconstruire et consolider un tissu social qui s’était considérablement effiloché.

 

 

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51 Comments

  1. @Dharma-Christine; pour des raisons d’éloignement il ne me sera pas possible d’assister (à regret) à cette première réunion. Je pense que d’autres camarades se sont manifestés auprès de vous deux et que vous en possédez les coordonnées postales. Ainsi ne pourriez-vous pas, au regard des situations géographiques, envisager d’autres réunions centralisées.
    Il me parait urgent, très urgent, que nous puissions assurer la pérennité de demain. Vous avez mes coordonnées vous pouvez me contacter à votre guise et suis prêt à vous épauler dans cette tâche.

  2. Lorsque l’on évoque des sujets sérieux, on évite ce genre de remarques, notamment lorsque l’on ignore totalement à quel régiment appartient cette compagnie. Mais sans doute que l’ironie dont vous faites preuve n’est faite que pour vous donner une certaine importance. J’aimerai bien vous voir en situation dont prodigue de ses vœux Dharma.

  3. n’y aurait-il pas possibilité de rendre plus intelligent le Zantafio ou de le virer tout simplement. Jamais je ne m’engagerais avec un pareil gugus.

  4. pensez à sécuriser votre connexion quand vous venez consulter ce site (ou d’autres offrant le même intérêt).

  5. Bonsoir à tous,
    Une règle qui prévaut à toutes nos actions (dans mon secteur) et qui rejoint le principe de précaution énnoncé ici pour ne pas être désigné comme complotiste ou autre.
    Quoique je fasse, que peut-on me reprocher ?
    La réponse à cette question doit être « rien ».
    Et pensez à laisser vos portables à la maison quand vous êtes en déplacement ou en réunion. Ou vous invitez juda à votre soirée.
    Soyez forts.

  6. La police a la consigne gouvernementale de laisser-faire leurs trafics de stupéfiants et d’armes qu’ils combinent aux allocs pour vivre , comme dans les quartiers nord ( du bled ) de Marseille ou de la Seine Saint-Denis .
    Ils ont des armes dans leurs caves pour tenir un siège et il prendront des otages pour garder leurs califats !

  7. On fait une révolution avec des ventres vides , pas avec des têtes pleines (STALINE ) . tant que les supermarchés sont pleins et que les subventions des contribuables dhimmis tombent pour acheter la paix sociale et financer le grand remplacement dans le Quatre-vingt-treizistant pas de risque que ça pète ! sauf si les aliens atteignent la supériorité démographique , pour l’instant les Français tiennent trop à leurs petits conforts , la propagande tv s’occupe d’anesthésier les bobos de + la police a la consigne de fermer les yeux sur l’économie parallèle des ZAD halal .

    • Bonsoir Cadoudal les muzzs n’ont plus besoin des collabos et maintenant ils vont commencer à leur faire la chasse comme on traque du gibier
      mais pour les dhimmis ou collabos je leur dis que leur fête COMMENCE HA HA HA HA

  8. Ceux qui participeront au banquet du 23 novembre prochain pourront peut-être commencer à jeter les premières bases du regroupement tant attendu ?

    • Non, pas LES premières bases, mais un embryon breton seulement, il faut jeter les premières bases d’embryons partout en France

  9. Louis Jouvet disait à un acteur débutant, qui lui affirmait, bravache, ne pas avoir le trac:
    Pas de souci, le trac, ça viendra avec le talent.
    Les ignorants peuvent ne pas avoir peur, … nous, pas.

    Agir, c’est prévoir, qu’attendons-nous pour nous regrouper fermement?
    Gérard

  10. @Dharma – Alex; effectivement j’ai un jugement plus nuancé sur les appelés (pas sur les rappelés) notamment ceux des 14 et 18ème RCP, ceux du CPA 40 qui se singularisèrent de façon admirable à l’instar des « branleurs » planqués qui ont propagé d’infâmes mensonges et dont le seul cri de guerre était « la quille bordel ». J’ai vécu et vu ce que les uns et les autres étaient capables de faire; les uns ont sacrifié leur carrière, d’autres – vu de mes yeux de gamin de 15 ans – se planquer sous des fauteuils lorsque ça rafalait à l’extérieur en se pissant dessus; d’ailleurs dans bien des cas ce sont ces poltrons qui ont véhiculé des légendes et qui, aujourd’hui, réclament à cor et à cri la carte du combattant. Bon j’arrête car je sens que je dérape.

  11. @Alexcendre; c’est une évidence tout ce que vous indiquez. Il y aurait (conditionnel) la solution de la « bataille d’Alger » mais c’est plus compliqué car à Alger il n’ay avait que la Casbah à encercler; ici en France il y a la totalité des quartiers qu’il faudrait encercler et ce en même temps. Et cela est matériellement impossible. La solution donc est la résistance interne avec appui des militaires pour la logistique mais surtout pas pour la mise en œuvre; leurs mentalités ne s’adapte pas à ce genre de scénario. Dans ce genre de conflits les vainqueurs sont ceux qui ne reculent devant rien. Pour un œil les deux yeux; pour une dent toute la gue….Cela étant c’est cette étincelle qui devrait vite venir et j’ai comme l’impression que les pourritures d’en face l’ont compris, se méfient, et agissent toujours en actes isolés. Une satisfaction c’est de constater que nombre de nos compatriotes rejoignent notre point de vue; en revanche un regret c’est l’absence de notre jeunesse.

    • Et la cinquième colonne dans l’armée ? il y a des rations halal !
      Un conseil il faudra se méfier des militaires et de l’ONU .

  12. Bonjour à tous. Patriote, je le suis, ancien militaire au béret rouge je le suis également. Quelque peu visionnaire et prévisionniste, depuis longtemps. Au lendemain du débat en 20017 des deux candidats à la présidentielle, j’ai compris que c’était « foutu » pour nous. Donc depuis cette date, je me suis préparé doucettement (j’évite de donner des détails), mais tout ce qu’il faut pour agir, survivre, protéger mes proches, etc…Lorsque ça « pétera », j’en serai vous pouvez me croire. Amitié à tous les Patriotes.

  13. prendre soin de sa santé , faire de l’exercice , manger sainement … puis entretenir aussi sont cerveau , avoir un esprit vif …. ne pas se laisser aller , surtout vous allez rires , mais ses dents (je sais de quoi je parle) il faut y faire attention , parce que si un jours ça bascule dans le chaos , il y’auras plus de dentistes … donc se retrouver sur le front avec une rage de dents et les problèmes que cela inclus : infection , fièvre ….
    il y’a pleins de choses a prendre en comptes !

    • La dentisterie en cas de guerre est très simple, la tenaille ou la pince bécro.

  14. Merci Dharma
    Je reviens ici après un certains temps d absence , aléa de la vie … ancien boxeur amateur heureux élu au bataillon de joinville de l époque (1980 ) mon regret ne pas avoir persiste pour introduire les rangs … mais suis tjrs aussi déterminé å aider mon pays et mes compatriotes
    Le temps devient critique j ai ma vie, celui de ma famille, de mes amis, des compatriotes et de mon pays à sauver, protéger alors aujourd hui je suis prêt à sacrifier mes ambitions personnelles pour cela… dommage je n ai plus 20 ans mais tellement encore de courage pour participer à une résistance intelligente …
    À très bientôt. ..

  15. Je lis ces divers commentaires avec plaisir pour le seul fait que ceux qui s’expriment ont la même préoccupation. Je vais me permettre de donner mon point de vue quant à la situation actuelle que vit la France, les pays occidentaux.
    S’il y a confrontation ce ne sera pas une guerre telle qu’on peut le concevoir. L’armée ou les anciens militaires (j’en fais partie) n’a pas l’expérience pour cette confrontation qui s’annonce. Pourquoi? La guerre qui se profile n’est en aucun cas une guerre ouverte et ne sera pas une guerre ouverte elle sera quelque peu similaire avec la « guerre » d’Algérie se déroulant dans les villes. Aussi le seul moyen d’y faire face est d’utiliser les mêmes méthodes que les adversaires. Frapper où il s’y attend le moins; il n’est nul besoin d’avoir toutes ces nouvelles armes sophistiquées que du reste je n’ai jamais maniées; mes armes de prédilection étant la Mat 49, le 11.43 voire le P.38. Nous sommes face à du terrorisme, donc en utilisant les mêmes méthodes on arrive au contre-terrorisme. Et en cela nul n’est besoin d’avoir des compagnies, régiments qui investissent les villes; des petits groupes d’hommes décidés et capables d’utiliser les mêmes méthodes. Je garantis le résultat. Je conclue: ma réflexion n’est en aucun cas une offense aux militaires mais peut-être due à une petite expérience du combat de rues.

    • Oui Moktar je rejoint votre approche , la prochaine confrontation sera plus proche des couteaux que de la mitrailleuse jumelée et ce sera l’instinct contre l’instinct , finesse contre finesse ,intox contre intox , posture sanguinaires contre posture sanguinaires comme au Kosovo rien ne sera beau .Je ne pense pas que les cadres militaires nous soient d’une grande utilité , des gens ayant l’esprit résistants dans une démarche d’invisibilité seront certainement plus sécurisants .Je rappelle que l’angoisse n°1 des jeunes appelé en Algérie c’était de partir crapahuter sous les ordre d’un jeune diplômé sous lieutenant fraichement sorti des EOR , je m’arrête là chacun aura compris qu’il valait mieux avoir a faire aux anciens d’Indochine si nous voulions rester en vie .

      • Exact Alexcendre, encore que les jeunes mûrissaient vite au feu.
        Voir et revoir la 317ème Section.

  16. J’ai été membre actif du secours en montagne pendant 15 ans. Chaque année nous recommencions les mêmes exercices « bêtes » et entrainements « idiots » ; même « faire des nœuds les yeux fermés » ; chacun était RESPONSABLE de tous les autres : un nœud mal fait peut causer la mort ; notre chef à l’entrainement était un militaire et pendant l’entrainement la discipline était militaire ; le but : tout doit être tellement intégré que, au moment d’une alerte, chaque geste sort automatiquement ; ce n’est pas quand « ça y est » qu’il faut se demander par où commencer ; nous avions un protocole : s’arrêter, regarder la situation, l’évaluer, décider de l’action, etc.… à mes dépens j’ai appris que quand on a un chef, c’est lui qui décide de la stratégie et qu’on obéit sans discuter… D’où l’importance d’avoir des chefs compétents ; il y a d’autres automatismes « individuels » : quand on entre dans un supermarché repérer les sorties de secours ; quand on sort la nuit avoir une lampe torche aveuglante dans sa poche ; quand on habite en montagne on a toujours des réserves non périssables car à tout moment on peut être isolés par un éboulement ; quelle est ma compétence à mettre au service de la communauté en cas de coup dur, ma « trousse d’outils » est-elle toujours à jour ? Mais tout cela n’est pas efficace aussi longtemps que cela reste « dans le désordre » Bref, je suis certaine que nous tous avons besoin d’un protocole, d’un « manuel du parfait petit résistant »…

  17. Dalil Boubakeur, Rectum de la Grande Mosquée de Paris qui evacuait par la gueule cette dejection:

    « L’islam n’est plus une simple religion mais un phénomène politique majeur. C’est une idéologie de lutte, d’agression ».

    éloquent le gros tas………….

  18. Là ou l’islam passe, la civilisation trépasse…
    Entièrement d’accord avec vous.

  19. Très Cher Dharma,

    Magnifique composition de la réalité.
    Effectivement, tout le monde doit participer à l’effort, c’est indispensable.

    Avoir peur, est totalement légitime et c’est surtout un garde fou pour éviter au maximum la folie de certains.

    Le commandement s’apprend, mais il est vrai que l’expérience fait la différence, mais aussi ses propres capacités.

    Oui, et je le répète souvent, nous allons vers le combat, c’est inévitable !!! Il faut l’intégrer dans notre esprit et agir en fonction de cet élément. Resté seul dans son coin, c’est la meilleure solution de disparaitre pour plusieurs raisons.

    Dharma à énormément d’expérience dans le combat réel et connais parfaitement la structure d’une chaîne de commandement, cela se voit par ses écrits et son esprit.

    Merci beaucoup pour votre participation à RR, j’espère qu’il y aura d’autres articles d’informations.

  20. Dharma :Très intéressant mais puis je me permettre une petite interrogation , en temps de guerre le futur vainqueur est celui qui imposera sa stratégie a l’autre , nous l’avons vu dans les guerres que nous avons perdu , ce jour de mémoire de toussaint rouge 1954 nous rappelle le ton qu’a pris la guerre d’ Algérie dès le début .Il ne faut pas être grand clerc pour ressentir que la prochaine grande explication qui aura lieu sur notre sol utilisera les mêmes techniques je pourrais dire les mêmes horreurs . D’ailleurs les premières manifestations qui nous occupent de temps a autres sans pour autant que nos pouvoir de l’état appellent un chat chat . Nous abordons la fin 2019 nos réserves sont en ordre , les bougies et les bouteilles de gaz sont pleines ainsi qu’un système de charge pour nos téléphones ,etc etc , ce chapitre est très compris et chez beaucoup de patriotes et c’est au carré . Alors maintenant que faire ? Dans le doute et vu mon âge c’est la carte de l’invisibilité que je joue partant du principe que si quelqu’un veut me tuer il faudra qu’il chercher après moi et qu’il risque d’être repéré avant .Mais dans le cadre d’une libération de notre pays ou d’un allégement contraint de son emprise par l’adversaire qu’elle posture un patriote peut adopter ?? je crois que c’est la grosse question afin de ne pas revoir des initiatives personnelle plus idiote que censée comme celle de la mosquée et du monsieur de 84 ans , merci de nous éclairer par votre point de vue .

    • Bonsoir Alexcendre,
      Je vous rejoins assez. Le 1er novembre 1954, des attentats ont été perpétrés en même temps en différents points du sol algérien.
      D’après ce que nous pensons savoir et avoir compris, et connaissant leur actuelle répartition sur le sol national, il est très probable qu’un même jour (nous avons une idée du jour de la semaine mais pas de la date), en même temps surgiront de terre une multitude de blattes jusque là en attente du signal de leur chef de meute pour enfin grimper au mât de cocagne.
      D’où l’absolue nécessité de s’organiser dès maintenant, s’il en est encore temps, de constituer des groupes organisés en réseaux.
      Si le travail est déjà fait, ou en cours de l’être, c’est très bien.
      Mais au risque de me répéter, il faut que la structure soit solide, non improvisée par des personnes ayant envie de diriger sans en avoir les compétences, et si possible à leur tête d’anciens militaires ayant assez roulé leur bosse pour ne pas agir dans la précipitation.
      Bien sûr, il faudra avoir sous la main assez d’insecticide pour venir à bout de la colonie.
      Naturellement, on peut dire que tout ceci relève de l’utopie …

  21. Bonjour Dharma,
    Un grand merci pour vos précieux articles afin de nous préparer au mieux.
    Vous évoquez à juste titre la notion de peur, celle qui paralyse ou décuple les forces et fait parfois soulever des montagnes à des gens humbles qui deviennent, ils ne savent souvent pas pourquoi, des héros.
    Il faut le dire et le redire, les militaires ont peur, les gars du RAID ou du GIGN aussi mais, comme vous le dites, ils savent pouvoir compter sur les collègues comme les collègues comptent sur vous.
    La différence avec le pécus lambda est l’entrainement, des gestes mille fois répétés comme l’infirmière qui pose une perfusion ou le sauveteur un garrot !
    Je dirais que dans la perspective que vous évoquez, l’important n’est pas de se transformer en RAMBO mais de venir avec ses compétences qui s’ajouteront à celles des autres et constitueront la cohérence du groupe.
    Comme un corps, un cerveau, une tête, des organes, des membres….
    Cela n’empêche pas d’essayer d’acquérir des compétences plus guerrières mais quelle serait l’utilité de faire commencer le karaté à un homme de 75 ans, aucune.
    Il est préférable pour lui d’aller apprendre dans un stand à manier le 11,43 ou 9 mm.
    Les bricoleurs de géni, les cuisiniers, les infirmiers, les plombiers, tous les talents seront utiles à l’école de l’improvisation et de la démerde!
    Je dis ça, je dis rien !

    • Bonsoir Rodrigue,
      Je sens, vous le sentez aussi, que nous entrons ce soir dans le vif du sujet. Comme si les trois premières parties de mon article ne constituaient qu’une introduction, une entrée en matière.
      Et je sens venir d’autres commentaires proches du vôtre.
      Tout d’abord, vous dites : « les militaires ont peur, les gars du RAID ou du GIGN aussi ».
      Je vais vous faire un aveu : moi aussi j’ai eu peur, et plus d’une fois, depuis le jour de mon premier saut ou de ma première patrouille.
      Peur pour soi, au premier chef. Mais peur également pour le groupe, qui est une nouvelle famille, lorsque, en tête d’une section, vous savez que les gars derrière vous comptent sur vous, que vous ne pouvez hésiter (ou alors il ne faut pas le montrer), et que les décisions que vous allez prendre, là, maintenant, dans l’instant, auront une incidence directe sur leur vie et sur la vôtre. Mais en même temps, vous avez en ces moments la nette sensation qu’eux et vous faites partie d’un même corps. C’est vous qui les guidez, mais eux veillent sur vous.
      Et ce sont les mêmes gestes et surtout les mêmes procédures répétées jusqu’à être parfaitement intégrées qui assureront la réussite de l’opération.
      Donc la réussite du groupe, où les compétences de chacun se complètent et fusionnent.
      Au sujet de votre remarque, il y a un âge pour tout, mais tous concourent au même but.

  22. La , j’ai la gâchette qui me démange , alors je me gratte un p’tit peut …….
    Vivement dimanche que je fasse ma p’tite séance de tir a 100m au club , que choisir , une 44/40 ou une 22 de sniper ? , cruel dilemme . je vais peut être me faire aussi une séance de tir au révolver 45 à 50m pour me détendre les phalanges (lol , le tir ça détend ).
    Salutation au tireurs sportif.
    alf

  23. heureusement qu’il y a des gens comme vous comme Boulevard Voltaire et RL pour nous mettre au courant de ce qui se trame dans notre dos. Vous n’êtes pas dans le déni comme nos politiques et heureusement que vous existez. Vous ne faites que relater la VERITE. Jamais je n’aurais osé penser que des politiques auraient perdu tout bon sens et nous jetteraient dans une guerre civile très probablement. L’immigration folle comme nous la connaissons se terminera imanquablement dans le sang.

  24. Seule devise à mettre en application: celle de la 7ème Compagnie Portée du 2ème R.E.I. : « Croire – Oser – Vaincre ».
    Laissons se produire l’étincelle nous aurons, enfin, la légitime défense.

    • je croyait que la devise de la 7 ème compagnie était : « j’ai glissé chef ».

      • J’espère que les bravados ne seront pas à ton image car si c’est le cas je vous laisse partir en « guerre ».

  25. Bonjour @Dharma et encore merci !

    À propos de la  » part d’humanité qui reste dans le djihadiste  » il y a donc la peur :
    – » et leur fameux cri : « Ah la la ! Où est l’bar !? » n’est qu’une sorte de mantra pour exorciser leur peur, pour se donner du courage. Et en même temps terroriser. »

    Oui ! et j’avais même lu, il y a quelques années que pour tromper leur coeur et leur esprit et les rendre aptes à l’ouvrage barbare et inhumain ; ils avaient recours à des drogues.

    Ceci dit ce « p’tit coup de pouce » était surtout recommandé et la prise organisée par les « pas fous les frelons » qui les envoyaient au turbin. Néanmoins on sait que dès tout petits, les bouchers hallal sont quand même mentalisés et formés au décollage de leurs non-semblables humains, le kouffar.

    • Vous devez allusion à la drogue appelée Captagon, sur laquelle les avis divergent quant à son utilisation par les djihadistes. Certaines autopsies effectuées sur leurs cadavres après une tuerie montreraient sa présence dans leur sang, et d’autres pas.

      • Oh ! @Dharmon ; c’est possible que ce soit le Captagon ; à dire vrai, je ne me souviens pas du nom, seulement du fait que ces hyper-bouchers ha la la ! ont besoin de se shooter pour commettre les horreurs inhumaines ; ils sont pires que des bêtes ; sinon comment expliquer qu’ils soient capables de tels massacres et tout ce qui les accompagne ?

        • Henry v de la Croix il va les détruire et le reste sera RECONVERTI au Christianisme /Catholisme

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