Il vaut cher sur le marché, le chéri de Macron. On comprend que celui-ci ait du mal à s’en séparer… s’il s’en est vraiment séparé. Un bijou, ce Benalla. Un as… payé des sommes indécentes, à l’heure où son mentor prétend nous saigner à blanc.
Corruption à tous les étages elle est belle la Macronie…
Trop de privilèges, trop de corruption, trop d’inégalités, trop de pression sur les plus petits… ça a un petit air de révolution, et l’affaire Benalla y joue un rôle certain.
Que n’ont-ils embauché Benalla pour protéger Charb et les autres, à Charlie Hebdo ?
Pourtant, à l’époque, Benalla était déjà dans le circuit des socialauds puisqu’on le voit avec Martine Aubry, avec Hollande…
Formé à la sécurité politique par Éric Plumer, responsable national du service d’ordre du Parti socialiste13, il est, à partir de 2010, membre du Mouvement des jeunes socialistes, puis il travaille à partir de 2011 pour le service d’ordre du parti. Alexandre Benalla est chargé de la protection de Martine Aubry pendant la primaire socialiste de 201114,15. Alexandre Benalla fait partie l’année suivante de l’équipe de sécurité de la campagne de François Hollande, entre mars et juin 201216,17
Mais la vie des journalistes de Charlie Hebdo ne semble pas préoccuper outre mesure les socialauds au pouvoir bien plus préoccupés de leur petite personne, pourtant aucunement menacée.
En tout cas Benalla a une réputation incroyable, si incroyable que, récupéré par Macron (l’un et l’autre diront que Benalla n’était pas garde du corps….. ) alors que Benalla est encore payé par l’Elysée, il aurait perçu près d’un million d’euros pour veiller à la sécurité d’un Russe.
Il faut naturellement se méfier des assertions de Mediapart, qui ne porte pas les Russes dans son coeur… mais il y a beaucoup d’éléments factuels qui donnent à penser que le sieur Benalla, avec la complicité et les réseaux macroniens, a gagné une vraie fortune, et ça continue.
De nouveaux éléments publiés lundi 11 février tendent à éclairer le rôle présumé joué par Alexandre Benalla dans la conclusion de contrats de sécurité avec deux oligarques russes proches de Vladimir Poutine.
Si l’on savait déjà qu’un premier contrat avait été conclu en juin 2018 – alors qu’Alexandre Benalla était encore officiellement employé de l’Elysée –, l’existence d’un deuxième contrat, noué en décembre 2018, vient d’être révélée – il avait toutefois déjà quitté ses fonctions à ce moment-là. Selon le site d’informations Mediapart,qui cite notamment le dirigeant du groupe Velours choisi comme prestataire, ces deux contrats « s’élèvent à 2,2 millions d’euros ».
- Le premier contrat prévoyait la protection d’Iskander Makhmudov, un homme à la réputation sulfureuse, que l’on dit proche de Vladimir Poutine et de la mafia moscovite. Il a été signé avec Mars, la société de Vincent Crase, gendarme réserviste ami d’Alexandre Benalla, laquelle a ensuite sous-traité à Velours. Plusieurs éléments montrent que M. Benalla s’est impliqué personnellement dans la négociation, alors qu’il travaillait encore à l’Elysée.
- Un deuxième contrat a été noué en décembre 2018 avec Farkhad Akhmedov par une société montée par un proche d’Alexandre Benalla, qui lui a reversé une partie des bénéfices par l’intermédiaire d’une société au Maroc.
« M. Benalla connaissait les noms »
Le Parquet national financier (PNF) a confirmé vendredi l’ouverture d’une enquête pour corruption sur un contrat de sécurité signé avec Iskander Makhmudov, dans lequel serait en outre impliqué Chokri Wakrim, ex-membre des services spéciaux et compagnon de la commissaire de police alors responsable de la sécurité du premier ministre.
Vincent Crase a déclaré lors de son audition devant le Sénat qu’il s’agissait de prestations pour que les trois enfants de M. Makhmudov bénéficient d’un accompagnement journalier, et pour « que lui-même dispose d’une équipe comprenant un chauffeur et deux personnes, durant ses villégiatures en France ». « Alexandre Benalla a assisté à deux trois rendez-vous sur ce contrat avec M. Crase et nous-mêmes, a déclaré Jean-Maurice Bernard, directeur de Velours, lundi sur BFM TV. M. Benalla a soufflé ou en tout cas connaissait les noms des cinq personnes qui nous ont été imposées par Vincent Crase. »
Comme l’avait révélé Le Monde le 8 février, la première réunion d’organisation du contrat, réunissant Velours, Alexandre Benalla et Vincent Crase, s’est déroulée à la mi-mars 2018 dans un bar à chicha, dont l’adresse est proche de la présidence de la République, où le collaborateur de l’Elysée avait ses habitudes.
Après la signature de l’accord de sous-traitance entre Mars et Velours en juin 2018, le paiement de la première tranche du contrat (294 000 euros par trimestre) arrive le 28 juin sur le compte de Mars à la Société générale, dont une partie (172 200 euros) est reversée le 6 juillet à Velours, détaille Mediapart.
La société Velours a ensuite rompu son contrat en juillet 2018, après les révélations du Monde sur les événements du 1er-Mai place de la Contrescarpe, à Paris, pour lesquels Alexandre Benalla est mis en examen.
Licencié le 23 juillet par l’Elysée, Alexandre Benalla aurait récupéré en octobre le premier contrat, signé avec Iskander Makhmudov. Un nouvel accord est alors établi pour 980 000 euros, par le biais d’une société baptisée France Close Protection.
Selon Mediapart, il aurait ensuite « contracté en décembre 2018 un second contrat de sécurité avec un autre oligarque russe proche de Poutine, Fahkad Akhmedov, d’un montant total de 980 000 euros », ce qui porte à plus de deux millions le montant total des accords passés.
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Arrêtez de parles de « russe », c’est un ousbeck de confession musulmane et mafieux.
A propos de l’affaire benalla, castaner a parlé d’une histoire de corne-culs ….
Avec le chérubin, ils ont l’air d’en savoir quelque chose, car depuis cette histoire, je trouve qu’ils ont pris une curieuse démarche…
ça sent la merde
essayez de vous y retrouver :
https://www.minurne.org/billets/19911
» L’affaire Benallah » ferait tomber n’importe quel pouvoir …..
ailleurs qu’en France !
( ou dans une république islamique ).
Dans une république bananiere avec toutes les accusations et les preuves on attend qu’il soit enfin jugé . A qui profite le crime des mois que çà traîne …
Cette affaire malgré les preuves accablantes traîne en longueur ce qui a permis à AB d’accumuler les délits graves et les faux passeports depuis juillet date à laquelle il a été licencié de l’Elysée .
Pour x fois moins que cela et alors qu’il n’y a aucune incidence financière , des Identitaires et d’autres résistants à l’islamisation se retrouvent , tiens comme c’est etrange , vite fait dans un tribunal .
Les GJ doivent ajouter aux contestations le jugement de celui qui se gave quand le Gvt méprise les demandes JUSTIFIÉES des GJ .
Ce scandale d’Etat est d’une obscénité sans nom .
Je laisse à Castaner son cornemachin .