Le cocréateur du Rassemblement pour la République (RPR) avec Franck Allisio explique le but de sa démarche : « Nous voulons montrer notre opposition à l’importation de conflits extérieurs, aux revendications communautaires et aux gesticulations électoralistes de certains élus de gauche et d’extrême gauche. Surtout, nous voulons réaffirmer que le seul drapeau qui doit flotter sur les bâtiments publics est celui de notre pays : le drapeau français. C’est lui qui garantit l’unité nationale et qui porte notre histoire et nos valeurs. C’est sous ses couleurs que nos ancêtres se sont battus à Valmy, Verdun, Bir Hakeim… Nous devons le respecter et le porter avec fierté. » Source La Provence

Merci à Éric Le Dissès (photo ci-dessous) d’avoir ainsi redonné fierté aux Français. 

Résistance républicaine rend régulièrement hommage à Marignane et à son maire, et il y a de quoi. 

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• Marignane : un rond-point en hommage aux victimes du 5 juillet 1962 à Oran voir ici 

• Jacques Bondel : Résistance républicaine avec Marignane, qui a la chance d’avoir un Maire digne de ce nom voir ici 

Extrait de ce dernier article, datant d’aout 2013

Nous avons appelé nos adhérents et sympathisants à participer physiquement s’ils le peuvent ou symboliquement à la marche blanche de ce jour en hommage à Jacques Blondel et nous avons envoyé un message de soutien au Maire et à la famille en leur nom.

Nous aimerions donner un coup de chapeau en passant à Eric le Dissès, qui fait partie de ces maires qui se battent pour leurs administrés et le respect de la loi. Il avait déjà écrit à Manuel Valls  après l’installation de gens du voyage sur une des pelouses du stade de Marignane et avait notamment écrit cette phrase d’une lucidité absolue : « Nous sommes faibles face à la loi qui protège ces minorités, nous sommes faibles devant des gens prêts à tout ».

Hélas il ne pouvait pas savoir que, un mois et demi plus tard un de ses courageux concitoyens  ferait les frais de cette faiblesse.

Parce que, si les multirécidivistes étaient en prison, si les délinquants étrangers étaient expulsés, si les peines plancher étaient appliquées et non supprimées comme l’ont décidé Valls-Taubira, si l’on s’employait à protéger les victimes au lieu de les flageller sur un « mur des cons », si les medias flagellaient unAskolovitch et le mettaient au rebus au lieu de lui donner la parole, si… Peut-être que Jacques blondel ne serait pas mort. Peut-être que les deuxgendarmes du Var ne seraient pas mortes… Et combien d’autres viesépargnées !

Encore merci et bravo à Eric le Dissès, qui, comme le maire de Lattes, ne s’en laisse pas conter et ne cède rien à la bien pensance.

Je citerai sa réponse aux messages de soutien, digne et clairvoyante, qui est tout un programme de Résistance, lors de la mort de Jacques Blondel, tué à Marignane en août 2013 en essayant de stopper les deux braqueurs d’un bar tabac.