Au secours, le monde est devenu fou !

Le comble est que ce mal n’a plus de frontières…

A-t-il quelque relation avec les vaccinations en masse contre le coronavirus ? Le mondialisme ? Ou alors, serait-ce la destruction de la nature et sa manipulation dans le domaine de la génétique, pour des productions excessives qui apparemment auraient un effet désastreux sur notre système immunitaire, nerveux, et sur notre équilibre psychique… Ou vraisemblablement, c’est la rencontre de beaucoup d’éléments à la fois.

La mondialisation cherchait en principe la création d’une équivalence entre les peuples… mais était-elle sincère ? C’est le côté noble qu’on aime bien exposer. Sur l’arrière-plan, c’est surtout un moyen de s’enrichir sur le dos des plus faibles. Cette soif va coûter cher aux Occidentaux, qui vont remettre tous leurs brevets à la Chine, au Japon et ses voisins, et tant pis si l’ouvrier local se voit contraint de s’accommoder avec les miettes qui restent.

Il semble, de façon incompréhensible, que la réflexion, le bon sens des êtres humains ait subi des déviations perturbantes qui mènent les peuples à agir de façon tout à fait incompréhensible et illogique. Plus rien n’est logique…

Prenons par exemple les chefs d’État européens qui se mesurent à une invasion islamique désastreuse mais ne font rien pour l’empêcher ou au moins, la restreindre. C’est le suicide qui se profile, en l’espace de quelques décennies seulement, pour ces pays.

En Israël, c’est le même mal qui frappe les générations antécédentes de chefs d’État et de hauts gradés militaires et les incite à œuvrer pour l’anéantissement de l’État juif d’Israël. Ils n’en veulent plus et le dernier rempart face à cette chute vertigineuse, c’est Bibi Netanyahu et sa clique de droite qui endurent une chasse aux sorcières implacable.

Ce mal vient principalement de la Gauche politique. Elle aspire à un monde différent, progressiste, et à la création d’un nouveau spécimen de genre selon ses propres critères. Homme ou femme dont ni la couleur ni la race ne peuvent être définies. Les nations, les peuples, les cultures que nous connaissons disparaîtront, du moins pour un laps de temps limité, puisqu’aux aguets c’est un islam assoiffé de victoires qui n’attend que de faire une bouchée de cette masse de dégénérés se ruant vers leur perte.

La question que nous devons nous peser serait : Est-il trop tard pour faire marche arrière ? Avons-nous raté l’occasion de redresser le gouvernail avant la descente imminente aux abîmes ? Donald Trump, nouvellement élu président, pense qu’il pourra le faire… mais se heurte à une situation irréversible.

Les Occidentaux ont vendu leurs permis de production aux Chinois et aux pays du tiers monde, qui se sont enrichis pendant que les généreux insouciants, s’appauvrissaient sous l’appât d’un gain dont le revers de la médaille est la destruction totale de tous les systèmes de production et de travail. On fabrique en Chine, en Inde, en Thaïlande dans tout cet hémisphère qui aujourd’hui nous remplace… Made in China est devenu international, même dans tous nos menus détails. Ils sont compétitifs, producteurs zélés et surtout moins chers.

Pendant que la Chine tient les Occidentaux en otage, nous nous rendons compte que ces derniers sont devenus des fainéants, des paresseux et des oisifs. Au lieu de se mesurer au problème en pleine croissance, ils lui tournent le dos… Ce qui ne le fera pas disparaître et… gare au boomerang.

https://www.techniques-ingenieur.fr/

La concurrence chinoise dans le secteur industriel représente un défi majeur pour l’Europe. Alors que l’UE élabore ses stratégies pour une industrie « Net-Zéro », la Chine maintient sa détermination à défendre sa compétitivité sur la scène mondiale.

En 2019, la Chine est devenue le « premier déposant mondial de brevets », dépassant les États-Unis et le Japon. Les initiatives stratégiques lancées par le gouvernement chinois telles que « Made in China 2025 » ou son plan de développement de l’intelligence artificielle pour 2030 démontrent l’engagement continu de la Chine pour l’innovation et la croissance technologique. De plus, les « Nouvelles routes de la soie », visant à relier économiquement la Chine à l’Europe, en intégrant les espaces d’Asie Centrale par un vaste réseau de corridors routiers, ferroviaires et maritimes, faciliteront les exportations du pays et l’aideront à trouver de nouveaux marchés.

Et c’est là que Donald Trump se heurte à un premier obstacle et a du mal à redresser le gouvernail. Après avoir lancé sa liste de menaces sur les douanes, il se rend compte que la Chine est capable de lui tordre le bras.

La fuite vers l’Asie de la production et de l’industrialisation européenne et américaine est géante…

Face à cette concurrence accrue, l’Europe se trouve confrontée à plusieurs défis. À court terme, la baisse des prix des biens manufacturés en provenance de Chine, alimentée par des surcapacités industrielles et des investissements massifs, exerce une pression sur ses entreprises. En particulier, le secteur du solaire demande des mesures d’urgence face à l’importation de panneaux chinois à prix cassés. Plus largement, la montée en gamme de l’industrie chinoise menace de réduire la part de marché des produits européens, notamment dans des secteurs clés tels que les véhicules électriques et les énergies renouvelables, l’intelligence artificielle et les biotechnologies.

La mondialisation a son revers et la façon peu intelligente de se destituer de ses atouts pour un bénéfice de courte durée réclame son prix.

Mais c’est un peu ainsi dans tous les domaines que les Occidentaux se sont trompés et se voient aujourd’hui au bord de la faillite.

Israël n’en sera pas épargné… ses guerres l’ont aidé à maintenir son industrialisation en équilibre, surtout dans sa gamme d’armes de pointe…. Mais est-ce suffisant ?  Le ver est dans le fruit et une guerre civile est à craindre… et pourtant, je ne doute pas de ses capacités à se relever titubant, mais… vivant.

 199 total views,  199 views today

image_pdf

Répondre à Argo Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


1 Commentaire

  1. Merci Thérèse pour cet article éclairant. Le problème est que la Chine est une économie de type capitaliste au service d’une idéologie communiste, ce qui ne s’est jamais vu au cours de l’histoire de l’humanité. Nul doute que si la Chine devenait une démocratie, les cartes seraient rebattues. Bonne journée, prenez soin de vous.