Voici les sanctions qu’encourent les Algériens touchant le RSA qui ne feraient pas leurs 15 h…

La presse algérienne informe ses ressortissants en France des sanctions à venir encourues pour ceux qui abusent du RSA !
Tiens, tiens cette suspicion ne serait-elle pas suspectée de racisme si la presse française osait suspecter de telles fraudes les honnêtes citoyens algériens de notre pays ?
Suspicion, suspicion, ai-je une tête de suspicion ? (Arletty)
Juvénal 

La réforme du Revenu de Solidarité Active (RSA) en France suscite de vives réactions depuis sa mise en place progressive. Elle est désormais appliquée à l’échelle nationale depuis le 1er janvier 2025. Cette réforme impose aux bénéficiaires du RSA, y compris les Algériens de France, d’effectuer au moins 15 heures d’activité par semaine pour continuer à percevoir leur allocation. Un changement majeur qui concerne environ 1,8 million de personnes, y compris les ressortissants algériens vivant en France.

Le gouvernement justifie cette mesure par la volonté de favoriser l’insertion professionnelle et d’encourager le retour à l’emploi. Les activités exigées incluent des formations, des stages en entreprise, des entretiens d’embauche et des ateliers destinés à améliorer la recherche d’emploi. L’objectif affiché est de permettre aux allocataires de retrouver une dynamique d’emploi et d’éviter une dépendance prolongée aux aides sociales.

Cependant, malgré l’entrée en vigueur de cette réforme, les sanctions prévues en cas de non-respect des obligations ne sont pas encore systématiquement appliquées. En effet, le décret précisant les modalités exactes de ces sanctions n’a pas encore été publié par le gouvernement. Cette situation crée une incertitude chez les bénéficiaires du RSA, y compris les Algériens, qui se demandent à partir de quand ces nouvelles règles seront véritablement contraignantes.
Un document du ministère du Travail récemment transmis aux conseils départementaux donne néanmoins un aperçu des sanctions qui attendent les bénéficiaires ne respectant pas les obligations fixées. D’après ce document, les allocataires du RSA qui ne se conforment pas aux nouvelles règles risquent une suspension progressive de leur allocation, allant de 30% à 100%, pour une durée d’un à deux mois. En cas de récidive, la durée de la suspension pourra être étendue jusqu’à quatre mois.
Il est important de noter qu’un principe de « suspension-mobilisation » est inscrit dans la loi. Cela signifie que les sommes suspendues pourront être versées rétroactivement si l’allocataire se remet en conformité avec ses obligations avant la fin de la période de sanction. Cependant, en cas de manquements répétés ou jugés graves, l’allocataire pourra être radié de la liste des demandeurs d’emploi, ce qui entraînerait une suppression définitive de l’aide.
Les sanctions seront mises en place par les conseils départementaux, qui auront une certaine latitude pour évaluer les situations individuelles. Le gouvernement insiste sur le fait que ces sanctions ne seront pas appliquées de manière systématique et que l’accompagnement des bénéficiaires reste une priorité. Ainsi, un allocataire qui manquerait un rendez-vous pour des raisons justifiées ne sera pas sanctionné immédiatement.

Cette réforme du RSA est perçue différemment selon les parties prenantes. Pour certains, elle est nécessaire pour responsabiliser les bénéficiaires et favoriser leur insertion dans le marché du travail. Pour d’autres, elle risque d’accentuer la précarité et de pénaliser injustement des personnes en situation de grande difficulté, notamment celles qui font face à des obstacles administratifs ou personnels empêchant une participation active aux activités exigées.

En attendant la publication du décret d’application, les conseils départementaux sont actuellement consultés pour donner leur avis sur le barème des sanctions et les modalités précises de leur mise en œuvre. Une fois cette phase de consultation terminée, le gouvernement devrait officialiser le cadre d’application des sanctions, avec une mise en place attendue d’ici l’été 2025.  Source : https://dnalgerie.com/france-voici-les-sanctions-quencourent-des-algeriens-touchant-le-rsa/             

       Juvénal de Lyon                         Liberté pour Boualem Sansal

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17 Commentaires

  1. Pour les autochtones, des sanctions immédiates. Pour les autres, une lettre leur rappelant des sanctions qui ne seront jamais appliquées.

  2. Exactement. Vécu ça dans un bus, réprimande papternaliste donneuse de leçon pour un Ral 9010, laisser faire complet pour un Ral 9005.

  3. Aucune inquiétude, cela se fera au cas par cas et en toute discrétion administrative.
    Les blancs seront sanctionnés, les autres non… mais sans que vous le sachiez. Comme d’habitude… Idem pour le port du masque… Seuls les blancs étaient sanctionnés. Zéro sanctions dans le 93…

  4. S’ils sont Algériens, sans emploi, retour au pays avec femmes, enfants et bagages. Pas de RSA. A moins d’avoir travaillé au-moins 15 ans en France où avoir un sérieux ennui de santé.

  5. Une seule solution : qu’ils/elles mettent tous/Toutes les voiles…Bon vent de la part de la « Marine » !

  6. Il faut cesser de tourner en rond pour trouver la solution de ne pas sanctionner les Algériens chéris de nos Gouvernants qui ne feront pas leurs 15 heures.
    France pourrie ……

  7. rsa : encore une loi aberrante initiée par le gauchisme et votée par la gauche et la droite molle de l’époque : un véritable appel à la paresse, à l’inactivité, et à l’immigration ! le RAS et les avantages qui y sont liés étant largement l’équivalent d’un smic perçu par celui qui se lève tous les matins, prends son véhicule pour aller le gagner – RSA : nid de parasites qui vivent aux crochets des autres : devrait être versé pendant un an seulement le temps qu’ils trouvent du travail dans les « fameux emplois en tension » chers aux immigrationnistes

  8. Ce qui n’est déjà pas normal, c’est que des ressortissants étrangers puissent toucher le RSA, si ils ont travaillés en France et donc cotisés aux allocations chômage, il est juste qu’ils les touchent jusqu’à fin des droits, mais le RSA (solidarité) ne devrait être un droit accessible qu’à ceux qui sont titulaires la nationalité française. La double nationalité de ce fait, devrait être interdite.

  9. Bah je leur fait confiance. Ils n’auront aucun mal à se procurer une attestation chez le pote du kebab d’à côté ou comme femme de ménage à la mosquée.

  10. Après la concertation avec le gouvernement algérien, enfin un peu de fermeté de La France 🤣🤣🤣🤣
    Comme dirait Attal : tu bosses pas,tu dégages!

  11. Merci pour avoir nommé un chat , un chat les ressortissants algériens .Qui ne sont ni Français , qui ne veulent pas l’être et pour ma part je n’ai jamais souhaiter qu’ils le soient .Sachant qu’ils ne peuvent le devenir pour de multiples raisons.

  12. Au bout de 10 fois, un avertissement. Au bout de 10 avertissements, un rappel à l’ordre. Au bout de 10 rappels….etc….
    Un vrai travail d’arabe comme on disait.

  13. Quand on voit le secours catholique et l’abbé pierre , veut poursuivre l’état en justice sous le prétexte que l’état s’insère pas suffisamment les étrangers, comprendre les clandestins