Gouvernement : Le ministère de l’Intérieur cesse d’exister – Fusion avec le ministère de la Justice

Les ministères de l’Intérieur et de la Justice ne feront plus qu’un à partir de ce 1^er avril.

Crée au début de la Révolution, en 1791, le ministère de l’Intérieur cesse d’exister ce 1^er avril de l’an de disgrâce 2025 sous le règne du vénéré sultan Manu.Hamed Ben Macron, roi de France et d’Ukraine.

C’est malheureux, mais avec notre Macron bien-aimé, tout est heureux.

C’est un grand bouleversement dans le paysage politique de la France. Mais on s’en fout.

La fusion entre les deux ministères a été actée lundi par le Premier ministre, le Bayrou, et validée aussitôt par le Macron.

« On n’a plus besoin d’un ministère de l’Intérieur, annonce un communiqué de Les Lisettes. La sécurité prévaut partout. Les Français sont en sécurité chez eux, au travail, dans la rue, dans les transports. Les enfants sont en sécurité. La sécurité règne dans les écoles et dans les cours de récréation. Les femmes sont en sécurité. Qu’elles soient seules ou accompagnées. Donc plus besoin de ce ministère. Plus besoin de police, plus besoin de CR8 ou CR18 ».

La France n’a pas besoin de ministres qui créent des problèmes avec les pays amis, poursuit le communiqué. Surtout les amis « historiques » où la France a commis des crimes d’humanité.

Le nouveau ministère, né de cette fusion, sera inauguré en présence du président algérien Tebboune. C’est juste pour emmerder le Maroc, afin de faire oublier la bourde du Sahara. Tebboune est un mot banni dans le parler marocain. Il veut dire vagin. Imaginez une famille, avec adultes et enfants, en train de dîner et que la télé en face parle de « tebboune »… Les médias marocains préfèrent éviter de dire son nom. Ils se contentent de dire le président algérien ou juste « il » (comme pour Kim Jong-il).

Le nouveau ministère de l’Intérieur et de la Justice est attribué au Darmanin. Le siège des deux ministères restera installé au palais Beauvau, mais sera désormais appelé « Palais Moussa ben Tebboune », ou juste « Palais Moussa ».

Le Macron espère que le Tebboune viendra à l’inauguration de ce ministère accompagné de Boualem Sansal. Vivant, si possible.

C’est ce que notre Macron appelle « la clairvoyance » de Tebboune.

Cette fusion était attendue depuis que le Retailleau avait menacé de démissionner si la France cédait sur le dossier algérien. C’était le 15 mars dernier. La France a cédé et le Retailleau a démissionné. Deux désastres qui font le bonheur du Darmanin et de son maître le Macron.

Le Retailleau est nommé gouverneur de la Polynésie française avec consigne stricte de ne pas embêter les migrants et de ne pas provoquer de conflit avec les pays voisins.

Avec ces 2 départements régaliens à ses ordres, le Darmanin aura un « Matignon bis ». Le Bayrou doit se soumettre. Cela ne doit pas le déranger. Il aime se soumettre.

La route vers l’Élysée est grand-ouverte pour le Darma. L’Élysée s’appellera l’Élysée d’Allah. C’est prévu dans le Coran.

Gloire à Moussa, l’Algérien futur président de la France.

Les Français n’avaient qu’à ne pas chercher noise à l’Algérie en 1830.

Le Darma, expert en dissolutions, sera soutenu par le maréchal Ferrand.

Première mission : Dissoudre le RN. Une dissolution qui sera saluée au sein du Parlement, notamment par LTI, et applaudie à l’extérieur de l’hémicycle, notamment par Mélenchon.

Le Darma, avec les mains franches, va tout dissoudre, les fêtes, les cérémonies religieuses, les traditions.

Il pourrait même interdire le poisson d’avril. Tout ce qui est contraire à la charia islamique.

Il n’y aura certainement plus de poisson d’avril l’année prochaine. C’est bien triste.

Alors, profitez bien, chers lecteurs, du dernier poisson d’avril de la France supposée être libre.

Messin’Issa

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