En 2006 sortait le film ‘Apocalypto’ ;  en 2025 en Syrie,  des terroristes arrachent un cœur et le dévorent…

La violence rituelle d’ ‘Apocalypto’ (2006) et la barbarie des terroristes en Syrie, qui dévorent le cœur des infidèles…

‘Apocalypto’ est un film d’aventure historique épique réalisé et coécrit par Mel Gibson, avec Farhad Safinia, sorti en 2006.

Dans ‘Apocalypto’, il y a des scènes graphiques de sacrifices humains où un grand prêtre maya arrache le cœur de victimes vivantes.  Le film met en scène des actes de violence ritualisée et spectaculaire, utilisés comme démonstration de pouvoir et pour inspirer la terreur. 

Le film se déroule dans le Yucatán vers 1502, pendant le déclin de la civilisation maya. Il suit l’histoire de Jaguar Paw, un jeune chasseur d’une petite tribu, capturé par des guerriers mayas et emmené dans une ville pour être sacrifié.

🔹Éléments clés du film

L’histoire commence par l’attaque du village de Jaguar Paw par des guerriers mayas. Il cache sa femme enceinte, Seven, et leur fils, Turtles Run, dans un puits avant d’être capturé. Les prisonniers sont emmenés dans une ville maya, où ils subissent des conditions brutales et des sacrifices humains. Jaguar Paw parvient à s’échapper et doit utiliser ses connaissances de la jungle pour survivre tout en étant traqué par ses ravisseurs. Le film se passe juste avant l’arrivée des conquistadors espagnols.

🔹Bande-annonce : 

Lien streaming film entier  (pas de pub avec Ublock, extension gratuite) :

https://filmoflix.ad/film/action/5944-apocalypto.html

🔹Distribution : le film met en vedette Rudy Youngblood dans le rôle de Jaguar Paw, Raoul Trujillo dans celui de Zero Wolf, et Dalia Hernández dans celui de Seven. Tous les dialogues sont en yucatèque maya moderne, avec des sous-titres.

Le tournage principal a eu lieu entièrement au Mexique, notamment dans les forêts denses près de Catemaco. ‘Apocalypto’ a été salué pour sa photographie visuellement époustouflante par Dean Semler et les performances de son casting.

🔹Thèmes : le film explore les thèmes de la survie, de la famille et du déclin des civilisations. Il commence par une citation de Will Durant soulignant la décadence interne de la civilisation maya : 

« Une grande civilisation n’est conquise de l’extérieur que si elle s’est détruite de l’intérieur. »

Les Aztèques, les Mayas et les soldats d’Allah vénèrent tous le même démon, le « serpent originel », Satan le diable. C’est pourquoi ils commettent tous les mêmes actes maléfiques et infligent autant de souffrance  que possible à leurs semblables. Ils sont comme le « dieu » qu’ils vénèrent.

▶’Apocalypto’ syrien : des terroristes arrachent un cœur et le mangent…

Le philosophe juif allemand Leo Strauss a déclaré, en dénonçant le relativisme progressiste, que « si tout est pareil, alors le cannibalisme n’est qu’une question de goût ».

Article écrit par Giulio Meotti, paru le 18 mars 2025

Giulio Meotti est l’un des quatre lauréats 2025 du prix suisse « Stop islamisation »

Opinion.

Dans « Apocalypto », le film de Mel Gibson sur les Mayas qui a suscité une vague de controverses pour les scènes de violence horribles dépeintes par le réalisateur, il existe une civilisation où la barbarie domine, où l’homme ne vaut rien et où l’on pratique le sacrifice humain.

Comme l’a dit le philosophe juif allemand Leo Strauss, s’en prenant au relativisme, « si tout est pareil, alors le cannibalisme n’est qu’une question de goût ».

J’ai vu une vidéo d’un terroriste syrien qui découpe la poitrine d’un homme encore vivant pendant que d’autres le maintiennent au sol, extrait son cœur et le mange devant les caméras.

https://x.com/search?q=Syrian%20eats%20heart&src=typed_query&f=top

La BBC avait déjà interviewé un terroriste syrien qui arrachait un cœur et le mangeait.

Le Spectator l’a qualifié de « massacre des innocents » dans la seule couverture européenne consacrée à cette barbarie.

L’universitaire américain Joshua Landis a publié la liste des morts d’un seul village, Snawbar : 196 personnes. Des familles alaouites entières anéanties.

CNN a également examiné les images et a trouvé 80 corps dans un seul village.

Officiellement, le bilan est de 1 300 morts. Selon de nombreuses organisations humanitaires, le chiffre réel se situe entre 3 000 et 8 000. Exécutions sommaires, coups de barre de fer, mitraillettes, égorgements au couteau, maisons incendiées : même les femmes et les enfants ne sont pas épargnés. Les Alaouites sont traités de khanazir (cochons) et de kilab (chiens) avant d’être massacrés.

Même les alaouites qui étaient prisonniers du régime Assad et qui sont passés par la prison de Sidnaya sont assassinés simplement parce qu’ils ne sont pas sunnites.

En Occident, seuls Marco Rubio et Tulsi Gabbart aux Etats-Unis ont ouvertement dénoncé les massacres, tandis que les capitales européennes ont renvoyé les partisans d’Assad à des djihadistes « isolés ».

L’afflux de « volontaires » est venu de tout le pays après que des appels à l’éradication des « Nosayris » (autre nom des Alaouites) et des « Khanazir » ont été diffusés dans les mosquées. Les factions islamiques affiliées au terroriste Al-Joulani ont allumé des incendies dans la campagne de la côte syrienne, où des milliers de personnes déplacées se sont réfugiées, cachées dans les arbres et les buissons.

Un appel d’intellectuels et d’universitaires français a été publié dans Le Point :

« Plusieurs milliers d’alaouites civils massacrés ces derniers jours en Syrie par les forces de l’actuel régime islamiste. Bébés, enfants, vieillards, femmes, hommes : des centaines de vidéos authentifiées par plusieurs organes de presse et ONG témoignent d’exécutions sommaires systématiques des forces régulières de HTC avec une volonté affichée d’anéantir un peuple considéré comme hérétique ».

Une note manuscrite a été découverte sur le corps d’un terroriste du Hamas, encourageant la décapitation et le démembrement des victimes. La note, révélée par la chaîne de télévision américaine CBS, contient des instructions de la direction du Hamas déclarant l’importance religieuse de tuer des Juifs et s’inspirant de chefs musulmans historiques qui ont massacré des hommes, vendu des femmes et des enfants en esclavage et mis des villes à sac :

« Aiguisez les lames de vos épées et soyez purs devant Allah. Sachez que l’ennemi est une maladie qui n’a d’autre remède que la décapitation et l’ablation des cœurs et des foies. Attaquez-les ! »

Yahiya Sinwar, le chef du Hamas, tel un grand prêtre aztèque, avait demandé à ses hommes de lui apporter les cœurs des Israéliens, littéralement.

Des boucliers humains aux sacrifices humains, il n’y a qu’un pas.

Quiconque connaît un tant soit peu l’histoire, les pogroms d’Hébron et de Bagdad, les massacres d’Arméniens, les bûchers humains des califes, n’est pas surpris par les images en provenance de Damas, jadis magnifique carrefour du monde et des mondes. Ce qui est surprenant, c’est qu’une partie de l’Occident ait choisi les nouveaux sacrifices humains, des enfants juifs de Bibas étranglés et mutilés aux vidéos d’extermination en Syrie.

Le grand anthropologue René Girard a une explication :

« Le rationalisme occidental fonctionne comme un mythe : nous travaillons de plus en plus dur pour éviter de voir la catastrophe. Nous ne pouvons ni ne voulons voir la violence telle qu’elle est ».

Pierre Assouline, biographe de Simenon, vient d’écrire un livre dans lequel il dit :

« Israël résiste parce que, contrairement à d’autres peuples, les Israéliens savent que s’ils perdent une guerre une fois, ils seront tous jetés à la mer. Ils résistent donc, jusqu’à la prochaine guerre ».

Nous savons maintenant qu’ils finiront comme les Alaouites.

Le dictateur islamique de Damas est arrivé à Bruxelles. Ursula von der Leyen promet 2,5 milliards d’euros à la Syrie.

Il semble que nous, dhimmis occidentaux, devions payer pour ce cœur déchiré.

Giulio Meotti

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