Fripounette orbite dans le vide intersidéral. Toujours aussi épris de son petit homme vert, le polichinelle français a décidé de l’épater avec un numéro de montreur d’ours. Mais pour ça, il faudrait qu’il commence par mettre en cage le plantigrade. Et Vladimir n’y met pas beaucoup du sien. Malgré les efforts de Karim Abdul Ahmed Khan, le Tarzan de la Mecque.
Un freluquet, ça a de la gueule, mais de loin
« J’exige que la Russie prouve qu’elle veut vraiment la paix. » Décodé ça donne : On va rouler encore ces moujiks dans la farine ! Ils feront comme les Gaulois grégaires et stupides. Ils ramperont, marcheront au sifflet, à quatre pattes la croupe relevée, et se taperont la tête contre les murs quand on le leur ordonnera. Un peu de mise en scène suffira. Et ça, c’est la spécialité des histrions. Avec les papouilles entre lilliputiens.
« Zelensky a eu le courage d’accepter un cessez-le-feu de trente jours » assène le turlupin de l’Élysée. Décodé, ça donne : Acculé dans les cordes, sauvé in extremis par le gong, le perdant la gueule en sang et le râtelier explosé propose généreusement à son adversaire de s’avouer vaincu. Dans la réalité, si Vladimir accepte d’épargner provisoirement les centrales électriques de l’ennemi, sous réserve de réciprocité, c’est sous la condition de mettre fin au réarmement de l’Ukraine.
S’il n’était pas aussi couard et chétif, on suggérerait au bateleur-dictateur francarabien de s’entraîner sur un ring de MMA, Mixed Martial Arts, en francistanais Arts martiaux mixtes. Une discipline où presque tous les coups sont permis, pied, poing, coude, genou, manchettes, coups de boule, l’objectif étant d’obtenir la reddition de l’adversaire. J’ignorais que ça s’appelait comme ça quand je voulais être catcheur dans ma jeunesse.
On verrait bien Jean-Brichelle lui servir de sparring partner. Contre un octogénaire maigrelet, les risques qu’on nous abîme le cabotin seraient limités. Mais au moins, il goûterait un échantillon du combat total auquel il défie Poutine. Juste pour rire. Parce qu’il vaudrait mieux ne pas se frotter à l’ex- colonel du KGB qui avait la réputation de pouvoir neutraliser définitivement, à mains nues, deux ennemis en même temps, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
L’incroyable Kaja Kallas qui a remplacé le bouffon Borell à la grosse commission de Pustula voudrait arbitrer le match, en trichant à peine un petit peu
Kaja Poule, vous ne connaissiez pas cette grognasse ? Moi non plus. Jusqu’à ce qu’elle élucubre : « Puisque les Russes ne veulent pas de la paix, trente pays vont fournir des troupes de soutien à l’Ukraine. Vous allez voir ce que vous allez voir. À l’attaque ! »
Intraitable avec les Russes, la dame a de qui tenir. Son grand-père le sbire Eduard Alver fut, dans les années 1920, le directeur de la police de la sécurité et du renseignement d’une Estonie bordélique. Un patchwork de Vikings et de Boches, saupoudrés de Slaves, où s’affrontaient en vase clos les communistes locaux, les soviets voisins, des Russes blancs monarchistes et des Germano-Baltes pro-nazis.
Le microcosme idéal pour un manipulateur habile. Qui ne devait pas avoir beaucoup d’amis. En dehors des canailles de sa police politique, des politiciens véreux, des affairistes gloutons et de tous les vautours gravitant autour. Mais à trop jouer avec le feu, Papy s’est retrouvé au frais en Sibérie en 1940. De ce fait Kaja singes a la haine des Soviets. On a oublié de lui dire que l’URSS c’était fini.
Je soupçonne la Kallas d’avoir poussé une fausse note, après avoir abusé du « Vana Tallinn » à 50 degrés, qui est aux Estoniens frigorifiés ce que le rhum est aux gens des îles tropicales. À part que chez nous, ça incite à la fête et à l’amour. Chez eux, ça les pousse aux guerres et aux tueries.
Grâce à cette blonde anémique au teint blafard qui a l’air de somnoler pendant un sermon de la sœur qui quête au couvent des oiseaux, Macronescu a enrichi ses connaissances en géographie. Il est vrai que peu de gens sauraient situer ce micro pays ridicule qui prétend faire la guerre à la Russie.
Si Fripounette aimait les femmes, il la trouverait sûrement à son goût.
Comme lui, elle vend la peau de l’ours avant de l’avoir chassé. Et comme lui, c’est une européiste prétentieuse et fanatique, embarquée dans des affaires malodorantes. Entre trahisons, corruption, et double jeu.
Ainsi on a appris en août 2023 que la société de transport Stark Logistics, appartenant à son mari, poursuivait tranquillement ses activités transfrontalières avec la Russie. Malgré une brochette d’interdictions diverses et avariées que subissaient ses concurrents.
Aggravant son cas, Kaja la caquetteuse aux multiples casquettes a refusé de se présenter devant son Parlement pour répondre aux questions des députés. « Je suis la reine, je fais ce que je veux, et je vous emmerde.» Tandis que son homme, très courageux, rasait les murs. Un vrai mec, quand on attaque sa dulcinée, il ne se défile pas. Enfin, c’est comme ça que ça se passe chez nous, les cannibales d’Océanie.
Bref, pataquès et caisses noires. Tollé. Scandale. Hurlements. Son Parlement n’a pas réussi à la renverser, mais aux élections suivantes, en juin 2024, son parti arrivé en troisième position a été écarté du pouvoir. Mais les tocards ne connaissent pas le chômage. Comme Pustula après son calamiteux passage à la tête de la Wehrmacht, l’Eurocrature a recyclé Kaja serpents dans une juteuse sinécure.
La morale de cette histoire : Malgré son double jeu par mari interposé, Poutine l’a maintenue sur la liste des personnes recherchées en Russie. La frontière aurait été facile à franchir par un commando venu l’appréhender. Mais maintenant qu’elle est planquée à la grosse commission de Bruxelles, ce serait plus ardu. Et tout cas, à la différence du paltoquet de Paris avec les Gilets jaunes, elle ne met pas les Popov au défi de venir la chercher.
Après avoir aboyé, le roquet Manolito a fait semblant de regagner sa niche, en tentant de continuer à mordre en douce
Il a dû se sentir un peu seul, avec ses moulinets et ses ronds de jambes, quand Donald a fait très justement observer que la paix était une affaire d’hommes entre lui et Vladimir. À la rigueur, on pourra donner des strapontins aux eurotocrates à condition qu’ils s’abstiennent de jouer dans la cour des grands. Quant au dérisoire Zygomyr, il subira les décisions russo-américaines. Avant que, par un malencontreux hasard, un regrettable accident débarrasse la planète de ce clown triste.
Le sultan Bin Makroun Bin Abdelaziz Al Faranci qu’on croyait froid, égoïste et insensible aux malheurs d’autrui, s’est fendu d’une larmichette après que la maquilleuse de Jean-Mi a réajusté son fond de teint, ses faux cils, sa moumoute et ses rouflaquettes.
Mais où est passé Zeus, le foudre de guerre ? Le numéro était presque crédible. Comme si, tout d’un coup frappé par la grâce, ou la trouille de se prendre un missile hypersonique rue Saint-Honoré, le despote donnait dans le pathétique. Lui qui voulait la veille aller incendier Moscou pour faire plaisir à son chéri de Kijiji, il semblait revenu à de meilleurs sentiments. Éphémères et factices comme il sied à tout caractériel extrêmement perturbé.
« Assez de morts. Assez de vies détruites. Assez de destructions. Les armes doivent se taire. Les exactions et sabotages doivent cesser.» Sauf quand les Ukronazis les commettent, cela va sans dire.
Suivi du coup de pied de l’âne. Reprenant une antienne de la propagande de Kiev : « Les enfants ukrainiens déportés doivent pouvoir retrouver leurs familles ». Or ces enfants sont des orphelins russophones sauvés et adoptés par des Russes, après que leurs parents ont été assassinés par les tueurs du régiment d’Azov, qui arborent des croix gammées.
Pour Macronescu le génie des carpettes, barricadé dans son autisme et sa schizophrénie, aveuglé par l’amour inconsidéré qu’il porte au nabot barbichu : « Nous devons maintenant avancer avec nos partenaires européens ( ? !) un plan de paix qui fournisse des garanties de sécurité solides à l’Ukraine et qui empêche la Russie d’attaquer de nouveau. ».
Chez les psychopathes, les troubles cognitifs sont incurables.
Christian Navis
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Et si on le satellisait autour de la planète Mars, Mars, dieu de la guerre? Au moins il serait chez lui.
Macron, rien que des mots, toujours des mots, bien à l’abri derrière ses garde du corps. Macron , qui a fait massacrer les GJ, qui a fait maltraiter un catholique qui l’interpellait sur l’esplanade sacrée de la grotte de Lourdes (la honte absolue), deuxième honte (le prêtre n’a même pas protesté), Macron qui voulait que l’armée tire à balles réelles sur les mêmes GJ, Macron qui permet que des allogènes envahissent notre pays pour tuer, piller, violer. Qui dépense sans compter pour les envahisseurs et qui serre la ceinture de ses compatriotes. Macron ira brûler en enfer. Si Satan manque de combustible, j’ai deux sacs de charbon de bois dont je n’ai plus l’utilité et que je tiens à sa disposition.