Scandale ! Nos radios d’État,
 « ne les appelez plus jamais… France » !!!


Michel Sardou pourrait adapter son succès  Ne m’appelez plus jamais France ! à nos radios d’État qui, grâce à leur directrice, Céline Pigalle (1) (qui avait exclu de I-Télé un certain Zemmour)  perdent le nom de notre pays, de notre France… En  effet, « France » disparaît complètement pour être remplacé par -tenez-vous bien- un adverbe ! Mais lequel ? Tout simplement ou plutôt tout curieusement… « ici » !
Mme Pigalle est la responsable de la phase finale de cette disparition, de cette destruction commencée en mai 68 ! Eh oui !

Le nom « France » disparaît en effet des sigles des radios que nous, contribuables, finançons ! Mais ces fonctionnaires-journalistes, dont Mme Pigalle, se soucient peu de ce que peuvent penser leurs auditeurs, donc ceux  qui les payent.
Cette descente aux enfers de notre « Radio-France », l’aviez-vous remarquée ? Ce que pratiquement aucun organe de presse n’a fait peut-être par crainte que vous ne le remarquiez ? Mais je suis mauvaise langue !

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Pour les sigles de nos radios d’État et celles-ci sont nombreuses, pas moins de 71 dont « radio Maghreb » installée à Paris et qui deviendra « Ici Maghreb » en pleine capitale de la France !  Toutes les régions en ont une ! 
Le nom « France », avec -incroyable !- une majuscule, a, dans un premier temps, été rapetissé jusqu’à devenir rikiki pour se faire plus discret… Et passer à l’étape suivante : faire disparaître le « F » -oui, la majuscule !- pour la passer à l’état inférieur de « f » mi-nus-cu-le ! Vous, vous ne pouvez pas comprendre mais ce nom « France » est si Franchouillard  pardon si franchouillard !

Ainsi  le mot « France »est  passé de nom propre  à nom commun, c’est suffisant pour les responsables de Radio france ! Oui, ces responsables à savoir « celles Zet ceux » qui se sont « succédé(e)s » depuis 1975 à l’occupation -douillette- des sièges directoriaux -si moelleux- car, auparavant, depuis la Libération, les sigles avaient gardé une majuscule non seulement au nom mais aussi à l’adjectif « Française » : (RR2, 3, 4)
-1944-1949 : la RDF ou Radiodiffusion Française,
-1949-1964 : la RTF ou Radiodiffusion Télévision Française,
-1964-1974 : l’ORTF ou Office de Radiodiffusion-Télévision Française.
C’est ensuite -mai 68 étant passé par là et, donc, surtout par l’ORTF !- que le climat s’est gâté ! 
Après huit années de réunions et de calculs plus ou moins ésotériques, ce fut l’aboutissement avec tout simplement, tout banalement, pardon, tout bêtement, le démantèlement de l’ORTF !
Et c’est là qu’a été programmée la mort, la disparition corps et âme, de ce nom « France », nom insupportable à prononcer plusieurs fois par jour à l’antenne par certains de mes confrères journalistes « soixantes-huitards-attardés » :
« Ne m’appelez plus jamais France mais… france » ! Et c’est ainsi qu’a commencé la disparition du nom de notre pays sur le nouveau sigle « Radio france » ! Avec, encore, des lettres de grandeurs identiques. 
Mais l’agonie n’a pas duré trop longtemps : quand les responsables passent au Bleu -soyons heureux, ils auraient pu passer au rouge ! Cela aurait été plus… dangereux !-, le mot devenu commun « france » commence non seulement à se rapetisser par rapport au mot « bleu » mais, en outre, perd sa « féminité » -et les associations féministes n’ont pas protesté !– puisque « Bleu » est écrit au… masculin ! Tant que c’était « radio », c’était « bleue » mais avec « france », curieusement, c’est devenu « bleu » ! Donc notre Marianne, en devenant « france » sans majuscule -et donc sans aucune majesté !- a peut-être tout simplement choisi d’être masculinisé(e)… (RR6)
Et, ainsi, au fil des décennies, grâce à des destructeurs de l’image de la France, de NOTRE FRANCE, nous en sommes arrivés à ne plus savoir que telle ou telle personnalité est passée par une station de radio française mais… « C’est fou ! Elle est passée à BLEU ! »
Et ce n’est pas fini car, le hic, c’est que les dernières sommités de nos radios d’État dont Cécile Pigalle jouissent même… ici ! Oui, ici même puisqu’ils sont arrivés au plaisir suprême avec… « ICI » ! Mais où… « ici » ? À vous de deviner si « ici », c’est en Alsace ou en Bretagne ? Sera-ce au moins en… France ? Pour quelle raison voulez-vous le savoir ?
La France, elle a laissé tomber ses radios et télés d’État ! Elle a préféré effacer ce nom « France » de tous ses sigles…

Ok, vous allez me faire remarquer que RTL, c’est-à-dire RadioTéléLuxembourg est maintenant hébergé à Monte Carlo chez RMC ! Et donc plus dans le Grand Duché de Luxembourg ! Alors que Radio-France devienne Radio Ici. Quelle importante… Sauf que, pour la capitale, cela devient« Ici Paris » !

Or, il existe un magazine de la presse écrite portant ce titre ! Et cette semaine, son titre principal n’est pas très heureux pour un ponte de la gauche François Hollande, actuellement plus heureux en méninges avec LFI qu’en ménage avec Julie ! La Gayet ne peut plus le voir ici à Paris !!!

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

(1) Quand il était sur I-Télé, Éric Zemmour avait des points de vue qui ne plaisaient pas à Céline Pigalle, alors directrice de la rédaction de cette chaîne. Avec Cécilia Ragueneau, directrice générale, elles ont tout simplement mis à la porte le journaliste suite à une interview accordée au Corriere della Serra.
Nouvelle alors bien accueillie à gauche par Jean-Louis Gagnaire, Anne-Yvonne Le Dain, Alexis Bachelay et Philippe Doucet, députés PS, et Éric Coquerel, Parti de gauche.
Mais pas tout à droite -et même par des gens très à gauche !- : Marine Le Pen et Louis Aliot du RN, Philippe de Villiers MFP, Éric Ciotti et Jean-Jacques Guillet UMP, Nicolas Dupont-Aignan DLF, Yves Pozzo di Borgo UDI.
Même Jean-Luc Mélenchon (PG) et… Daniel Cohn-Bendit désapprouvèrent cette éviction !
Autres soutiens : le journaliste Nicolas Domenach, le philosophe Michel Onfray, Jean-François Kahn…
Résultat : gifle de la justice à Céline Pigalle en novembre 2016 qui voit I-Télé devoir verser 50 000 euros à Éric Zemmour. La raison ?
« rupture brutale et abusive du contrat, sans préavis et sans invoquer aucun manquement contractuel. »
Et c’est cette dame qui participe à la décapitation de Marianne (en tant que -symboliquement- Radio-FRANCE) pour poser sa tête… « ici », c’est-à-dire n’importe où ou plutôt nulle part !!!

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