A Londres, le  portrait de l’ayatollah Khomeini  accroché dans  la mosquée…

►Le  portrait de l’ayatollah Khomeini  accroché dans  la mosquée du  « Centre islamique d’Angleterre », à Londres

« Deux semaines de visites de mosquées en Angleterre » par Dexter Van Zile

Dexter Van Zile (photo), analyste, entre autres, de la propagande palestinienne visant les chrétiens en Occident, vient de rentrer d’une visite de mosquées en Angleterre.

Il espère par son récit  contribuer à réveiller les non-musulmans autochtones de Grande-Bretagne, au milieu desquels ces soldats d’Allah ont été autorisés à s’installer par millions.

Pendant deux semaines, à la mi-décembre(…),  je n’ai pas pris les transports publics en Angleterre pour visiter des marchés de Noël, mais pour visiter des mosquées qui ont fait la preuve de leur capacité à saper ce que les Britanniques appellent la « cohésion sociale ». Le problème n’a pas disparu.

Le 7 décembre, mon deuxième jour en Angleterre, j’ai assisté à la prière de midi au Centre islamique de Londres, une mosquée qui a une longue histoire de propagande pro-iranienne.

J’ai regardé avec  incrédulité  un imam chiite conduire ses fidèles dans une prière diffusée par hauts parleurs sous l’œil attentif de l’ayatollah Ruhollah Khomeini, le fondateur de la République islamique d’Iran. Son visage sinistre était tourné vers le côté du portrait, comme pour avoir un aperçu de la mort et de la destruction que le régime qu’il avait fondé allait infliger au Moyen-Orient dans les années qui suivraient sa mort.

Les responsables de la mosquée n’ont pas tenté de m’arrêter alors que je prenais des photos pour documenter la présence du portrait de Khomeini sur le mur. J’espérais demander aux responsables de la mosquée pourquoi ils vénèrent un homme responsable de la fondation d’un régime oppressif et meurtrier, mais ils n’ont pas répondu à mes questions, même après que l’imam de la mosquée – dont j’ai serré la main – a dit qu’ils le feraient.

Je suis peut-être naïf, mais j’aurais pensé qu’une mosquée qui a fait parler d’elle en 2020 pour avoir fait l’éloge de Qassam Soleimani, un général iranien responsable de la mort de soldats britanniques, aurait retiré l’image de Khomeini, mais ce n’est pas le cas. Apparemment, les dirigeants du  « Centre islamique d’Angleterre » n’ont rien appris de la mise sous séquestre de leur institution par la Charity Commission britannique en 2022.

(…)

Focus sur l’islamisme occidental

►En  Malaisie « modérée », un homme reçoit des coups de canne dans une mosquée  pour « proximité physique »

 Mohd Affendi Awang, 42 ans, père de cinq enfants, est escorté par un gardien de prison pour subir une bastonnade publique dans une mosquée, après avoir été condamné à plusieurs reprises pour le crime islamique de « khalwat », ou proximité entre couples non mariés, à Kuala Terengganu, Malaisie, le 27 décembre 2024.

 Un Malaisien reçoit des coups de bâton en public pour avoir commis le crime islamique de « proximité »…

La Malaisie, à majorité musulmane, pratique un système juridique à double voie, les lois pénales et familiales islamiques s’appliquant aux musulmans au même titre que les lois laïques.

 Un Malaisien a reçu des coups de canne vendredi dans une mosquée de l’État de Terengganu, dans le nord-est du pays, pour avoir commis le crime islamique de proximité avec un membre du sexe opposé ne faisant pas partie de sa famille.

La Malaisie, à majorité musulmane, pratique un système juridique à double voie, les lois pénales et familiales islamiques s’appliquant aux musulmans parallèlement aux lois laïques.

Mohd Affendi Awang, 42 ans, a été reconnu coupable du crime islamique de « khalwat » et condamné à six coups de bâton et à une amende après avoir plaidé coupable de ce délit le mois dernier. C’est la troisième fois que Mohd Affendi, un ouvrier du bâtiment, est reconnu coupable de ce délit.

Mohd Affendi, qui est également père de cinq enfants, a subi un examen médical avant d’être frappé dans une mosquée de Terengganu, devant 90 personnes et sous une forte présence policière, après les prières du vendredi, a indiqué le quotidien en langue malaise Utusan Malaysia.

L’État de Terengganu est gouverné par le Parti Islam Se-Malaysia (PAS), qui prône une interprétation  stricte de la loi islamique.

Après la bastonnade, le vice-président du PAS, Tuan Ibrahim Tuan Man, a déclaré que cela démontrait l’engagement du gouvernement de l’État de Terengganu à renforcer la loi islamique.

« La mise en œuvre de la bastonnade publique pour les récidivistes du khalwat sert à éduquer le public conformément aux commandements d’Allah », a-t-il déclaré.

Decan Herald

►Nigeria : des musulmans assassinent un prêtre catholique le lendemain de Noël et enlèvent un archevêque anglican de 75 ans

Des hommes armés non encore identifiés ont tué un prêtre de l’Eglise catholique, le Révérend Père Tobias Chukwujekwu Okonkwo, dans l’Etat d’Anambra.

Le diocèse catholique de Nnewi, qui a annoncé l’affaire vendredi, a déclaré que le révérend père Okonkwo, qui était également pharmacien de formation, a été mortellement abattu par les assaillants jeudi, le lendemain de Noël, dans la région d’Ihiala de l’État.

Sa mort suit de près l’enlèvement d’un archevêque anglican à la retraite de 75 ans, le révérend Godwin Okpala, dont on ne sait toujours pas où il se trouve.

Sahara Reporters

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