Les millionnaires William Henry Vanderbilt, Jay Gould, Cyrus Field et Russell Sage se partagent le gâteau américain avec leurs monopoles (Puck, vers 1885)

« Si Israël cesse d’être juif, nous n’avons plus rien à foutre ici », déclarait sans ambages mon voisin ce matin. « Nous avons tant d’ennemis, nous avons été dispersés pendant plus de deux millénaires, nous avons prié, rêvé, vécu sur nos valises pour l’unique raison ou espoir de revenir un jour à nos terres promises. Nous avons combattu des guerres qui nous ont été imposées… Nous avons merveilleusement réussi à créer un État digne de ce nom, fruit du sang versé de nos enfants, de nos pères et nos mères ».

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Aucun de tous les pays qui nous ont hébergés n’a pu être pour nous une patrie… Ils nous ont plus ou moins tolérés en leur sein, nous ont parqués dans des quartiers, des ghettos, pour bien nous signifier leur dédain – se définissant de refuge temporaire – même lorsque nous avions cessé d’être juifs, avions renié notre nom, nos ancêtres, notre passé… pour ressembler aux autres, les singer, rire aux étoiles, s’oublier ou se vautrer dans l’aisance… Pourtant, nous n’avons jamais réussi à franchir le cap de notre promesse faite aux pieds du mont Sinaï promesse que nous luttons à effacer, à faire disparaître complètement de notre quotidien mais qui nous poursuit comme si elle est partie intégrante de notre corps.

Simone Veil, née Simone Jacob… après le ghetto, s’était détachée de sa judéité, elle ne l’a reprise que vers sa mort en déclarant qu’on dise sur elle le Kaddish. Elle n’a été juive que de nom… un peu trop tard pour comprendre son erreur.

Ami Ayalon,  contre-amiral et homme politique israélien né le 27 juin 1945  est un ancien commandant de la flotte militaire et directeur du Shin Beth, les services de renseignement israéliens. S’étant accoquiné au philosophe palestinien Sari Nusseibeh, elle lui propose deux États, Jérusalem capitale des deux États, le retrait israélien des Territoires occupés, et le retour des réfugiés limité aux territoires occupés. La pétition soutenant ce projet est signée par 400 000 Israéliens et Palestiniens.
Ami, grand défenseur des palestiniens s’affiche sur les écrans de télévision pour nous révéler les racines profondes des palestiniens en Israël – Eh oui, le ridicule ne tue pas… Il a simplement omis de mentionner que les seuls palestiniens qui se trouvaient en Palestine étaient des juifs. Les Arabes de Palestine n’ont jamais voulu être nommés palestiniens. Certains Israéliens s’aventurent dans la voie rocailleuse de la conversion des juifs de Palestine à l’islam.
En somme, Ami aussi veut d’un État laïque et la disparition d’un État juif. Le ver est dans le fruit.

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Mais tout fonctionne lorsque l’enjeu principal contraint certains officiers de l’armée à changer de cap ou tourner leur veste pour destituer Netanyahu – tout sauf Netanyahu – même pour le prix de la perte d’un État juif.
Ces mêmes juifs qui tentent d’imposer le « progressisme » à Israël, sont ceux qui dénoncent les véritables patriotes, qu’ils traitent d’extrémistes de droite… Quelle horreur ! Même Biden s’est permis de ridiculiser Ben Gvir et  Smotrich qu’il qualifie d’être des éléments nocifs dans le gouvernement israélien.

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Vouloir protéger sa patrie fait de vous un « extrémiste de droite ».
Mais est-ce vrai ? C’est tout le contraire. Ils cherchent à protéger Israël contre l’imposition du progressisme qui, lui, est sans nul doute nocif comme à tout autre État qui aspire à demeurer sur la carte du monde. Doit-on avoir honte de vouloir rester en vie ?
Si nous observons les effets que ce PROGRESSISME inflige aux démocraties, nous sommes contraints d’admettre que c’est un danger existentiel.
Ces mêmes individus sont pour le cessez le feu à Gaza, le rétablissement du Hamas ou de l’OLP à la Bande de Gaza et l’abandon total du passage de Philadelphie aux Arabes, qu’ils soient Egyptiens ou autres, se contentant de censeurs électroniques comme moyens de prévention contre l’afflux des terroristes et la restitution des tunnels entre l’Égypte et Gaza. Toute cette panoplie jouit de la bénédiction du président américain Joe Biden. Il faut croire qu’il est son principal architecte.

L’aspect ridicule de toute cette affaire est  que tous les pays arabes qui protègent leur frontières, refusent les demandes d’asile, refusent d’être laïques et s’appellent républiques islamiques ne sont pas traités comme extrémistes de droite…

Oui, bien sûr, ils ne sont pas démocratiques et s’en balancent carrément. Ils veulent protéger leur pays contre les opportunistes mais s’amusent à jouer aux opportunistes face aux démocratiques : ces pauvres fous qui se font rouler, berner, manipuler et ne tarderont pas à se voir refuser leurs propres terres qui bientôt deviendront islamiques… Mais évidemment, la France est déjà une terre d’islam et les USA aussi… Un petit coup de pouce aux annales de l’histoire et tout est remis en place, comme l’a bien orchestré l’islam conquérant.

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C’est dans ces eaux troubles que le monde libre patauge… L’Iran ne se gêne même plus d’infiltrer le gouvernement américain afin de le contraindre à accepter ses ambitions nucléaires. N’oubliez pas que Biden a été le premier à s’inquiéter du sort du Hamas et s’est attelé à lui offrir un État palestinien sur le dos d’Israël –  le baudet des animaux malades de la peste.

Qui survivra d’après vous ?

Israël doit demeurer sur ses gardes et empêcher ces faux prêcheurs de paix de lui saper ses assises. Netanyahu doit absolument cesser d’osciller entre la droite et la gauche et ne plus être intimidé par les puissances vacillantes de l’Occident.
Un réveil hésitant anime une Europe endormie et les USA – Il faut se défaire de tous ces dirigeants qui paralysent leurs populations avant de les voir disparaître complètement.

 par Thérèse Zrihen-Dvir

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