C’est en soixante quatre que l’autre ben brella
A su qu’il lui fallait retenir sa smalah…
Le grand Charles a été très clair
Mais pas besoin d’être un grand clerc
Pour comprendre qu’iceux, la loi leur vient d’alla…
PACO. Vous m’avez incompris...
26/05/2024.
http://echelledejacob.blogspot.com/2024/05/blog-post_454.html
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Il a peut-être dit tout ça, mais il a fait le contraire.
Alors, toujours pareils les droite-molle ?
Bonjour,
Merci Paco pour ce rappel !
Dans les faits, de Gaulle a laissé entrer, chez nous, une bonne partie de l’état-major des monstres du FLN, dès l’été 62.
C’est le professeur Yves Lacoste qui a expliqué cela, à la radio …
Merci Paco de cet article court (ce qui ne signifie pas qu’il ait demandé moins de travail !), mais percutant, comme toujours.
De Gaulle : un intrigant diabolique à l’ambition démesurée, prêt à sacrifier des dizaines de milliers de Francais pour un combat déjà perdu (le reduit breton en 1940) ; prêt à donner l’ordre de tirer sur d’autres Francais (Liban Syrie 1941) ; prêt aux comprimmisions avec les communistes pour’prendre le pouvoir (1944) ; prêt à mentir à l’armée pour revenir au pouvoir (1958) ; prêt à sacrifier des centaines de milliers de harkis ayant choisi la France pour se coucher devant un FLN qui avait perdu la guerre 1958-61)…Ce Talleyrand des temps modernes n’a cesse de diviser les Francais pour regner…
Je ne crois pas une seconde que de Gaulle ait dit cela. En tout cas il n’a rien mis en œuvre pour bloquer l’immigration algérienne , il avait trop besoin du gaz et du pétrole saharien.
Croire ou pas, une seconde ou deux, c’est une chose. Mais Alain Peyrefitte m’apparait comme un personnage digne de toute confiance. Alors s’il a écrit cela…Je le crois !
Je le crois aussi.
Alain Peyrefitte est sérieux dans ses mémoires.
Il a fait aussi une comparaison avec l’huile et le vinaigre. Assez judicieuse car aujourd’hui encore le mélange n’a pas pris. Sauf pour LFI et compagnie. Les Algériens ? Des chacals avec des dents de loups.
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Discours du Général De Gaule à l’Elysée le 5 mars 1959, rapportée par Alain Peyrefitte dans « C’était de Gaulle », t.1, Paris , Editions de Fallois/ Fayard, 1994.
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Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées. »
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Discours du Général De Gaule à l’Elysée le 5 mars 1959, rapportée par Alain Peyrefitte dans « C’était de Gaulle », t.1, Paris , Editions de Fallois/ Fayard, 1994.
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« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants.