J’ai lu le dernier livre d’Alain Falento « Frexit tout va bien se passer » et ça vaut le coup !

Impossible ? Pas français !

Dans l’histoire de notre monde occidental, à chaque fois qu’apparaissait un incroyable défi qui semblait tout bonnement impossible à relever, un Français finissait toujours par pointer le bout de son nez en s’exclamant : « Moi je vais le tenter ! j’ai une idée et je sais comment faire. »

Que cela soit le fait de creuser le canal de Suez avec Ferdinand de Lesseps, de construire la plus haute tour du monde en métal avec Eiffel, de déposer 170 brevets dans la photographie et le cinéma avec les frères Lumière, d’inventer le scaphandre autonome à détendeur de plongée avec Cousteau et Gagnan, etc.

De par leur audace et leur créativité, souvent démultipliées par un petit grain de folie, les Français ont souvent marqué le monde entier ! Les exemples sont innombrables.

Indéniablement je place Alain Falento dans cette lignée de Français un peu fous, prêts à relever tous les défis parce qu’on leur a justement dit que c’était impossible.

Et ce défi-là est de taille ! Ce défi semble irréalisable lui aussi. Et celui-là aussi bouleversera notre vie et notre monde : le FREXIT.

Alain Falento, c’est le genre à vous dire : « Ah bon, on ne peut pas faire le frexit ? Eh bien ! puisque c’est impossible, on va le faire ! Et je vais vous expliquer comment on va s’y prendre. »

Et lui, c’est pas le genre à faire les choses à moitié. Ah ça non. On ne peut pas dire le contraire…

 Alors dans son livre il nous explique tout. Point par point. Étape par étape. Pour réussir notre coup !

Mais juste avant il fait (et règle) ses comptes en faisant un bilan catastrophique de la France dans l’UE.

Extrait apocalyptique p.21 « En puisant dans l’imaginaire cinématographique, l’Union européenne s’apparenterait à un zombie, au sens littéral du terme, un cadavre animé qui se nourrit de la chair des vivants, la nôtre dans ce cas précis. Un zombie ne veut rien, n’a pas de projet, pas d’avenir, pas de conscience.»

Et vous comme moi savons tous que face à un zombie il n’y a qu’une chose à faire : le buter ! Alors, tel un serial killer s’apprêtant à buter sa victime (l’UE et sa monnaie l’euro) Alain Falento l’a observé méthodiquement pour en connaître tous les rouages, toutes ses habitudes, tous ses défauts ; afin de trouver les points faibles par lesquels il nous conseille de l’attaquer.

Aussi, pour faire de l’humour noir, je pourrais dire qu’Alain Falento est un homme dangereux, pour ne pas dire un meurtrier en puissance, voire un futur assassin sans scrupules qui prendrait du plaisir à faire du décimage en règle façon tontons flingueurs.

Pour preuve, ce Gaulois réfractaire parle sans arrêt de flinguer l’UE, de buter l’euro, de zigouiller la CEDH, de dessouder la CJUE, et j’en passe…

Mais avant ça, rien que pour le plaisir, il balancerait à tour de bras des avoinées de torgnoles et de souveraineté dans la gueule de tout le monde : les Macron, von der Leyen, Merkel, Juncker, Draghi et compagnie.

Avec lui tout le monde y passerait et personne n’en réchapperait. Aucune pitié, le gars.

Pour redevenir sérieux, tout comme son bouquin, le fait de se retrouver avec un mode d’emploi du frexit dans les mains commence à nous faire rêver, car en lisant chapitre après chapitre, on comprend que c’est finalement réalisable. Et Alain Falento n’est pas un illuminé prêt à foncer dans le tas n’importe comment. Il a vraiment réfléchi à tout. Avec méthode, mesure et pragmatisme.

Oui, il connaît son sujet sur le bout des doigts. Il n’est pas diplômé de troisième cycle en mathématique et également diplômé en finance pour rien aussi. Contrairement à vous et moi, lui sait de quoi il parle !

Et il parle bien, parce que même moi qui suis nul en économie, en lisant son livre j’ai tout compris, et j’ai trouvé ça passionnant, on y apprend plein de choses. Didactique, il nous explique tout. En trouvant toujours les bons mots. Ce qui est appréciable. Le seul truc emmerdant avec son bouquin, c’est que comme j’ai l’habitude de toujours encadrer ou souligner des phrases intéressantes et percutantes, mon exemplaire est tout salopé partout ! Il y a des passages surlignés à toutes les pages !!

Exemple de ce que j’ai surligné en ouvrant le livre au hasard,  p.27: « La Pologne a reçu 83 milliards d’euros de la part de l’Union européenne entre 2014 et 2020, faisant d’elle le plus grand récipiendaire de fonds européens, pour un PIB de seulement 688 milliards d’euros. » Vous le saviez ? Moi pas. Juste avant il nous explique ce qu’est le Groupe de Visegrad, dont fait partie la Pologne, et les conséquences pour la France. Etc. À toutes les pages on découvre plein de nouvelles choses, même certaines qu’on croyait parfois déjà connaître, mais visiblement pas autant que lui !

Il a choisi un format court. 160 pages. Aussi expéditif et efficace qu’une baffe gauloise dans la gueule de l’UE. Aussi il ne perd jamais de temps en bla-bla inutile ; et fonce toujours vers l’objectif à atteindre : nous donner la bonne stratégie pour réussir le frexit.

C’est en lisant p.48 : « Un pays vivant sous la coupe juridique d’une autre entité politique n’est plus un pays, c’est une colonie, une province ou un protectorat. » que je me suis dit qu’avec l’UE, la France vivait comme la Gaule sous l’occupation romaine. Ou pour faire plus provoc, comme sous l’occupation allemande 1940-1944 ! Ce n’est plus la France qui décide, mais l’UE, donc l’Allemagne. Et Alain Falento nous montre dans son livre, avec plein d’exemples détaillés, que l’Allemagne ne veut pas forcément le bien de notre pays ! Oh ça non…

En le lisant, on découvre que même des « Français » du plus haut rang ont aidé notre voisin d’outre-Rhin à nous dominer. P.52 : « Fasciné par l’Allemagne, V. Giscard d’Estaing avait renoncé à toute volonté de puissance pour la France. [.] C’est pour cette raison qu’il a œuvré pendant son septennat à la vassalisation volontaire du pays, au profit de l’Allemagne, et de la Communauté européenne. »

C’est donc avec lucidité qu’il nous met aussi en garde sur le fait de ne surtout pas confier le frexit à nos dirigeants actuels. Traîtres à la France pour bon nombre d’entre eux. P.35 : « De même qu’il ne viendrait à l’idée de personne de confier au dictateur Kim Jong-Un le soin de mettre en place l’éventuelle future démocratie Nord-coréenne, il n’est pas non plus concevable de confier la conduite de notre retour à la souveraineté à des gens qui ont consacré leur vie à la détruire. »

Dans son livre il traite tous les sujets. Des trahisons de nos élites aux articles européens liberticides, de l’État de droit dévoyé à une justice ne répondant plus aux volontés du peuple, du pacte de Marrakech à l’immigration de masse que subit la France ; tout en nous alertant sur des compromis à éviter avec des souverainistes faisant preuve non pas d’islamophobie, mais au contraire d’islamofolie ! Islamofolie amoureuse s’entend. P.39 : « Il n’y a pas d’intérêt à ce que la France devienne une république islamique souveraine, dans laquelle nous pourrions payer notre viande halal en francs. » Et vu que l’UE exige actuellement que la France accueille 10 millions de migrants de plus d’ici 2050… Il nous rappelle l’urgence de faire le frexit !

 

Bon, je ne vais pas être faux-cul, il y a des passages où je suis en total désaccord avec lui.

Exemple : lorsque, au sujet des fonctionnaires français qui pourraient délibérément saboter et saborder le frexit, il nous explique avec sa retenue et son tact habituels, p.65 : « Il sera donc certainement nécessaire de faire des exemples, en mutant par exemple les plus nuisibles d’entre eux dans certains de nos territoires ultra-marins, comme l’archipel des Kerguelen, où 300 îles et des milliers de manchots royaux les attendent les bras ouverts afin, eux aussi, d’être administrés dignement. »

Non Alain !! Avec ces salopards envoyés là-bas, déçus après quelques jours sur place, car ne trouvant pas la faune locale de ces îles suffisamment diversifiée, ils organiseraient aussitôt la venue de millions de léopards des mers (phoques prédateurs et redoutables tueurs) pour obtenir plus de mixité. Résultats : tous les jours des meurtres de manchots, dévorés au nom de la diversité heureuse !! Je ne souhaite pas faire subir aux pauvres animaux innocents de ces îles ce que les Français subissent quotidiennement en France. Non, je crois pour ma part que du goudron et des plumes seraient plus adaptés à leur trahison délibérée. Ou, plus raisonnablement, un licenciement pour faute grave, sans indemnités de chômage, pour désobéir aux volontés démocratiques du peuple. Mais pas nos pauvres manchots, Monsieur Falento !

Par contre, je suis sur la même longueur d’onde lorsqu’il préconise de quitter la CEDH en premier. C’est ce que j’ai toujours pensé aussi. P.74 : « Les juges de la Cour européenne des droits de l’homme écrivent donc eux-mêmes les lois, en accord avec leur idéologie immigrationniste, et soi-disant progressiste. »

Dans son livre il nous dresse également avec acuité les leçons à tirer du brexit : les choses à copier tout comme les erreurs à ne pas commettre. Il aborde bien évidemment la sortie de l’euro et le retour au franc. Là, c’est l’économiste qui parle et il s’y connaît ! Il nous donne toutes les informations à savoir. Que cela soit sur la loi de la Lex monetae ou la réinstauration des anciens circuits de financement au retour de contrôle des capitaux en passant sur les conséquences au quotidien. Il nous informe sur tout ce qu’il faut savoir.

Je ne peux pas nommer tous les chapitres de son livre ici, mais je peux vous dire qu’en 15 chapitres, il aborde tous les sujets pour réussir un frexit dont la France sortira grandie et surtout… libre et souveraine !

Pour résumer, vous aussi vous prendrez du plaisir à lire Frexit, tout va bien se passer. On y apprend plein de choses. Parfois on se marre. Alain Falento a de l’humour, ce qui est rare chez un financier et encore plus rare chez un mathématicien. Eh puis surtout ça nous galvanise et ça nous rebooste le moral ! Parce que grâce à lui, on sait que maintenant on a enfin le mode d’emploi pour réussir le frexit et qu’au final la France s’en sortira bien. Même si elle vivra aussi des moments difficiles lors de ce frexit. Il a l’honnêteté intellectuelle de ne pas nous le cacher non plus. Contrairement à nos politiques, Alain Falento ne nous prend pas pour des cons, il nous dit tout avec loyauté et franchise, ce qui est appréciable.

En refermant son bouquin après l’avoir fini, je me suis senti plus intelligent. Ce qui est un exploit concernant votre serviteur !

Franchement ça vaut le coup de le lire. Et je ne suis pas un hypocrite, si je n’avais pas aimé je ne vous le conseillerais pas. D’ailleurs je n’aurais pas écrit cet article pour vous en parler. Alors, faites-moi confiance, vous pouvez le lire. Vous apprendrez plein de choses.

Pour découvrir en détail les chapitres abordés ou commander Frexit, tout va bien se passer suivez le lien ci-dessous.

https://resistancerepublicaine.com/2024/03/21/frexit-tout-va-bien-se-passer-le-dernier-livre-de-resistance-republicaine-vous-redonnera-le-moral/

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6 Commentaires

  1. très bien , et je crois que ce que vous faites de parler du contenu de ce livre, comme ce fut le cas il y a deux jours dans un article de Christine, est la meilleure chose ..pour les personnes qui ne lisent pas, ou ils achèteront ou ils apprendront .. Merci à vous

  2. La trahison par le sommet, depuis la grande réconciliation avec l’ennemi héréditaire. Sortir de l’UE, soit, mais le problème la monnaie se posera. Et c’est là la pierre d’achoppement. Je pense qu’il n’aurait jamais fallu adhérer à l’UE.

    • Non Alain répond aussi à la question de la monnaie je ferai encore un ou deux articles avec des extraits

    • Faux problème la monnaie Euro sans la France (même endettée) se cassera la gueule, l’UE contrairement a ce qu’on nous raconte à besoin de l’Allemagne et la France et pas le contraire, les Allemands n’hésiteraient pas à tout plaquer si leurs survie était en jeu

      • Il faut une monnaie solide. Et c’est loin d’être gagné. Nous n’avons plus de réserve pour soutenir le franc s’il était rétabli. Quant à la planche à billets, on sait comment ça finit.