Réformer les institutions européennes ? Reconquête prend ses électeurs pour des cons

Ces européistes ne peuvent que convenir que l’UE est une dictature, un piège à cons et la mort pour toute démocratie. Impossible de démontrer le contraire. Et pourtant, ces chiasseux, dans la ligne des LR, continuent de militer pour encore plus d’UE et toujours plus d’UE ! 

Et ils prennent ceux qui les trouvent sympas parce qu’ils luttent contre l’islam (ce qui est effectivement positif) pour des cons en ajoutant sans rire “on va réformer de l’intérieur les institutions européennes”. Cette blague !

Et c’est ainsi que, de la gourdasse Marion (je sais que mon ami Jean-Paul Saint-Marc est choqué que je l’appelle ainsi mais j’y tiens, eu égard au nombre de sottises qu’elle sort à chaque discours) à Nicolas Bay, la campagne pour les Européennes s’enfonce dans le vaudeville.

Le paradoxe est qu’ils savent que militer pour l’UE est indéfendable, mais comme ils veulent avoir leur place au soleil à 15 000 euros mensuels ils nous font un numéro de prestidigitateur : l’UE c’est pas beau, c’est  moche, c’est liberticide, c’est toujours plus de migrants, toujours plus d’islam, toujours plus d’endettement, toujours plus de vaxxins Covid, toujours plus d’interdits, toujours plus de Meilleur des mondes, c’est vrai… mais nous, la petite poignée de Reconquête, on va jouer David contre Goliath et on va terrasser la bête immonde !

Et voilà qu’ils ont demandé à Nicolas Bay de se ridiculiser en nous vendant une poudre de perlimpinpin. C’est pas bien de se moquer ainsi des Français. 

Cerise sur le gâteau, ils demandent ça à Nicolas Bay, député européen sortant qui est la preuve vivante que, de l’intérieur, on ne peut rien faire. Depuis 2014, depuis 10 ans, pendant 2 mandatures, Nicolas Bay a vécu sur la bête… dont il n’a même pas avalé une puce. C’est pas bien de prendre les Français pour des cons.

Parmi les grands axes de notre projet pour les élections européennes, nous portons la volonté de réformer profondément les institutions européennes.

Vous le savez et nous le déplorons chaque jour : la Commission de Bruxelles détient des pouvoirs exorbitants et prive ainsi les États membres de leurs souverainetés.

Chez Reconquête, nous sommes attachés au principe de subsidiarité et nous défendons les pouvoirs des nations et des peuples face à la Commission !

J’explique dans cette vidéo les grands axes de notre programme en matière de réforme des institutions européennes. Nous vous présenterons prochainement notre projet européen complet.

Il s’agit ici d’une première vidéo thématique réalisée dans le cadre de ces élections européennes. D’autres suivront. Si vous souhaitez que j’aborde une question en particulier, n’hésitez pas à me le signaler par retour de mail.

Bon visionnage !

Nicolas Bay
Député européen (Groupe des conservateurs et réformistes européens)
Vice-président exécutif de Reconquête

Quelques extraits en passant de l’oeuvre majeure d’Alain Falento, Frexit tout va bien de passer pour prouver ce que j’avance

Les décisions prises pour assouvir l’appétit vorace des marchés et des grands consortiums privés ont fait plonger les économies dans l’abîme et les peuples dans une paupérisation fulgurante.

[…]

D’autres, plus raisonnables, s’imaginent que le salut viendra d’une alliance avec les pays du Groupe de Visegrad, et son leader Viktor Orban, supposés être le dernier rempart contre une Union européenne de plus en plus dictatoriale.

Créé en 1991, juste après la dislocation de l’URSS, le Groupe de Visegrad est une organisation politique regroupant quatre pays d’Europe centrale (Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie). L’objectif de la création de ce groupe était de permettre à ces pays d’intégrer l’OTAN et l’Union européenne dans les plus brefs délais, puis de plonger la tête la première dans le capitalisme. Très rapidement, ce groupe de pays s’est transformé en ce qui s’apparente purement et simplement à un lobby, dont l’objectif n’est ni plus ni moins que de s’organiser afin de soutirer un maximum de subvention à l’Union européenne, c’est-à-dire principalement aux contribuables allemands et français, tout en accordant le moins de contreparties possibles. A titre d’exemple, la Pologne a reçu 83 milliards d’euros de la part de l’Union européenne entre 2014 et 2020, faisant d’elle le plus grand récipiendaire de fonds européens, pour un PIB de seulement 688 milliards d’euros. Elle est également parvenue à soutirer 35.4 milliards d’euros en provenance du Plan de relance européen, avec comme seule contrepartie, la réforme de sa justice disciplinaire.

[…]

Certains, dans notre pays, s’imaginent que ce groupe de pays, et particulièrement la Pologne et la Hongrie, forment une base sur laquelle il serait permis de s’appuyer, dans l’objectif de proposer une alternative à l’Union européenne telle qu’elle est actuellement, sous le prétexte qu’ils sont les seuls à refuser l’immigration de masse, ainsi que tout projet de répartition des migrants au sein de l’Union européenne.

En réalité, il n’en est rien. Le fait que nous ayons une convergence de vue quant à la question migratoire ne signifie en rien que ces pays puissent être considérés comme des partenaires fiables.

Les membres du Groupe de Visegrad ne sont nullement menacés par l’immigration de masse, car leur population est extrêmement homogène. Ils ont de plus la réputation d’être peu accueillants envers les populations d’origine africaine, si bien que les immigrés ne veulent tout simplement pas y rester.

[…]

Ces pays ne peuvent en aucun cas être considérés comme des alliés potentiels pour la France, car l’Union européenne telle qu’elle est actuellement leur convient parfaitement.

[…]

[

 

En matière d’Union européenne, à défaut d’être capables de peser sur les décisions, nombreux sont les politiciens français qui préconisent une refondation.
Que cela signifie-t-il ? Ils n’en n’ont pas la moindre idée, et n’ont d’ailleurs jamais vraiment réfléchi à la question.
Les fondations de l’Union européenne ont été exprimées on ne peut plus clairement par Jean Monnet dès le début de sa construction : la neutralisation, et si possible la disparition des États nations européens au profit d’une entité supranationale.
L’Union européenne est un véritable bunker juridique, protégé par une muraille de centaines de milliers de pages de traités, de normes et de directives. C’est une citadelle imprenable, jalousement gardée par soixante milles fonctionnaires européens, et autant de lobbyistes, qui n’ont aucune envie de la refonder.

LES IMPASSES PSEUDO-SOUVERAINISTES
Et que dire des millions d’Allemands, de Hollandais, de Polonais ou de Hongrois qui, pour des raisons différentes, ne manifestent également aucun désir pour une quelconque refondation, tant le système actuel leur est favorable.
Quand bien même les vingt-sept pays européens se mettraient d’accord pour refonder l’Union européenne, les partisans de cette solution savent pertinemment que rien de concret ne verrait le jour avant plusieurs décennies.
Les refondateurs me rappellent ce juge antimafia italien qu’on surnommait « l’ensableur », dont la spécialité consistait à faire durer les procédures judiciaires jusqu’à ce que tout le monde en ait oublié jusqu’à l’existence même.
A chaque crise causée par une nouvelle absurdité européenne, on voit les refondateurs ressortir leur vieille marotte sans conviction, puis on passe à autre chose, tellement personne n’y croit. À commencer par eux-mêmes.
LES RENÉGOCIATEURS
Les renégociateurs, ceux qui pensent qu’il est possible de renégocier tout ou partie des traités européens, sont pour la majorité d’entre eux d’une naïveté touchante.
Chez un individu peu au fait des arcanes de l’Union européenne, ce serait une attitude tout à fait normale.
Il faut toujours privilégier la négociation au détriment du conflit, quand c’est possible.
En revanche, nous sommes en droit d’attendre autre chose de la part de nos responsables politiques, qui sont supposés avoir étudié la question en détail sous son aspect politique et juridique.
Bien évidemment, si la France exige de renégocier les normes européennes sur la contenance des réservoirs de chasse d’eau ou le diamètre des roues de vélo, elle pourrait éventuellement obtenir gain de cause, après des mois de négociation. Et encore, rien n’est acquis.
Par contre, toute volonté de renégociation des sujets qui sont vraiment importants pour notre économie, et notre société, se heurterait immédiatement à la Commission européenne et aux intérêts des autres États membres.
Les traités européens ne sont pour l’instant renégociables qu’à l’unanimité, et cette unanimité vous ne l’obtiendrez jamais, tant les États membres ont des intérêts divergents.
Toutes les tentatives françaises d’infléchir la politique européenne (défense, mutualisation de la dette) se sont soldées par des échecs et des humiliations, infligées par les chanceliers allemands à nos présidents inconséquents.
N.Sarkozy pensait profiter de la crise financière de 2008 pour révolutionner l’Europe de la finance, et faire disparaître les paradis fiscaux ? On a pu constater le succès de l’opération.
E.Macron veut le développement d’une défense européenne autonome ? Il n’essuiera que refus, et fin de non-recevoir.
Les européistes ne manqueront pas de se targuer de cette « victoire française » quant à la renégociation du marché européen de l’électricité, supposée nous permettre de nous déconnecter du prix du gaz.
C’est malheureusement une victoire à la Pyrrhus, dans le meilleur des cas.
J’invite le lecteur à regarder le détail de ce qui a été négocié, et il constatera de lui-même un petit détail extrêmement gênant : la France pourra faire ce qu’elle veut avec son électricité nucléaire…à condition de soumettre ses mesures à l’approbation de la Commission européenne.
De plus, l’Allemagne obtiendra sa vengeance à travers le Pacte de stabilité et de croissance adopté par l’Union européenne, qui empêchera la France de procéder aux investissements nécessaires.
Les renégociateurs se sont engagés dans une stratégie vouée à l’échec qui, si elle était appliquée, n’aurait pour effet que de nous faire perdre un temps précieux.
LES MESSIANIQUES
Le messianisme est un mal relativement répandu au sein du courant national. Il consiste à attendre la venue d’un hypothétique messie extérieur, à espérer que le salut vienne d’autres pays, et de leurs dirigeants…

[…]

L’unique issue pour défendre notre intérêt national, et recouvrer notre souveraineté, passe par la sortie pure et simple de l’Union européenne.

Comme nous le verrons, cette sortie ne pourra avoir lieu sans qu’un certain nombre de conditions ne soient remplies.

L’Union européenne n’est qu’un amas de traités, de directives et de règlements, qui se fait appeler « État de droit ».

L’Union européenne se résume à du droit, dont l’unique objectif est la préservation de ce droit, à l’instar de cet objet insolite qu’on appelle boîte inutile, dont l’unique fonction est de se refermer automatiquement lorsqu’on l’ouvre.

C’est par le droit qu’elle nous tient, et c’est par le démantèlement de ce corpus juridique qu’il sera impératif de commencer.

La souveraineté d’un pays est avant tout une souveraineté juridique, et c’est précisément de cette souveraineté juridique dont nous sommes dépourvus.

Un pays vivant sous la coupe juridique d’une autre entité politique n’est plus un pays, c’est une colonie, une province ou un protectorat.

[…]

Jean Monnet ne s’en est jamais caché, il fallait détruire, ou pour le moins affaiblir les États nations européens.

À cet effet, il fut décidé de les entraver dans un maquis juridique inextricable, qui allait se ramifier jusqu’aux entrailles de notre corpus juridique, le but ultime étant d’imposer un droit supranational, le droit européen, qui prévaudrait sur les droits nationaux.

Jusqu’au traité de Maastricht de 1992, la construction européenne ne procédait que par délégation de souveraineté ; or, une délégation est un processus réversible.

Jusqu’à la ratification de ce traité, notre constitution était donc encore en mesure de nous protéger de la folie normative de ces fonctionnaires européens non élus.

Ces derniers avaient bien conscience de cet état de fait, c’est la raison pour laquelle ils ont trouvé un chemin pour accéder au cœur de notre système juridique, et remédier à la situation.

En effet, la ratification du traité de Maastricht au Parlement s’est accompagnée, au préalable, d’une modification de notre constitution.

À cet effet, la loi constitutionnelle du 25 juin 1992 ajoute à notre constitution un titre XIV intitulé « Des Communautés européennes et de l’Union européenne ».

A l’époque, personne ou presque ne s’en était soucié ; personne ne sait exactement ce qu’est la Constitution, et nous nous sentons plus naturellement enclins à nous intéresser au droit administratif relatif au stationnement qu’à la structure de notre corpus constitutionnel.

Pourtant, ce titre XIV allait graver dans le marbre la primauté du droit européen sur le droit national, en constitutionnalisant certains transferts de compétence, les mettant ainsi à l’abri d’éventuelles velléités souverainistes de la plèbe.

Philippe Séguin, dans un discours limpide de plus de deux heures du 5 mai 1992, explique très clairement l’aspect funeste de cette révision constitutionnelle, et le précédent qu’elle crée en termes de souveraineté nationale.

Dans une indifférence quasi générale, la loi fut votée à une très grande majorité par nos députés, qui n’hésitèrent donc pas à utiliser la délégation de pouvoir que le peuple leur avait confiée, dans le but de s’en dessaisir au profit d’une entité supranationale non élue.

Au total, entre 1992 et 2008, six révisions constitutionnelles ont été appliquées, la dernière étant relative au traité de Lisbonne, ayant pour effet de placer officiellement le droit européen au-dessus de la constitution nationale dans la pyramide des normes.

Depuis plus de 30 ans, le droit européen s’est donc ramifié, fractalisé, greffé dans les moindres recoins de notre corpus juridique.

Le droit européen est à l’État ce que le gui est à l’arbre ; cette plante parasite, qui n’a pas de racine, se greffe sur son hôte et lui suce sa sève, jusqu’à l’affaiblir considérablement.

Bien loin de se contenter de se substituer au droit national, le droit européen agit en fait comme un pousse au crime pour nos parlementaires.

Ces derniers, ne souhaitant pas apparaître comme une simple chambre d’enregistrement de la législation européenne, sont bien souvent contraints de produire des lois encore plus coercitives que les lois européennes.

Les pauvres citoyens sont donc devenus au final les victimes expiatoires de la confluence de deux folies normatives, l’européenne et la nationale, qui sont entrainées dans une course malsaine à qui sera la plus répressive.

C’est ainsi que les réglementations environnementales ou énergétiques françaises sont toujours plus sévères que les européennes, ou le contrôle technique des véhicules de plus en plus pointilleux.

Nos parlementaires et nos fonctionnaires ressentent le besoin de justifier leur existence, et ils le font à nos dépens.

Pour commander le livre :

https://resistancerepublicaine.com/2024/03/21/frexit-tout-va-bien-se-passer-le-dernier-livre-de-resistance-republicaine-vous-redonnera-le-moral/

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40 Commentaires

  1. Les partis populistes sont en train de monter dans toute l’Europe.
    Il en faudrait de peu que la droite prenne le pouvoir en acquérant la majorité au Parlement européen.
    A ce moment là, exit la hyène et ses séides.
    La politique changera du tout au tout, adieu les socialopes et les escrolos.
    Marion propose un blocus maritime pour stopper les bateaux de négriers.
    Ce n’est pas le moment de baisser les bras.

  2. Merci pour ce gros travail et les informations claires ;
    J’ai regardé une vidéo datant du 16/4/2024 sur LIGNE DROITE , : au sujet de l’Europe et partant de la réflexion de Arnaud de Montebourg :” un ancien ministre alerte sur le saccage de notre souveraineté nationale ” ; Philippot s’est exprimé en 1ere partie, et en 2eme l’avocat Ghislain Benhassa, auteur de “le référendum impossible ” ! l’un répondant à l’autre, avec respect, sans débat, le 2eme intervenant n’était pas tout à fait du même avis que Philippot et ne semble pas être pour le frexit..à voir . mais il semble qu’il y ait beaucoup de possibilité . Il faut peu de chose pour que ces deux là s’entendent .

  3. j’en ai marre des crétins….. qu’ils soient de chez Reconquête ou d’ailleurs….. s’ils s’imaginent transformer l’UE depuis l’intérieur ,alors qu’ils sont incapables de faire simplement bouger l’éducation nationale….qu’ils cessent de nous prendre pour des cons…..

  4. les ‘institutions’ européennes c’est d’abord sa ‘constitution’ clairement et fermement rejetée par référendum chez nous puis imposée par la signature d’un obscur fonctionnaire avec la bénédiction des usurpateurs au pouvoir… Dans ce cas on sait très bien quoi faire et qui punir !!!

  5. Et les frexiteurs ne prennent pas les électeurs pour des cons ?

    La Grande Bretagne est-elle mieux depuis le Brexit ?
    Pourtant, elle avait gardé sa monnaie, elle était dispensée de verser au pot comme les autres… Elle avait gardé une certaine souveraineté que n’a pas gardé la France aujourd’hui, sans oublier que les USA ne voyaient aucun inconvénient à ce que la GB fasse sécession.
    Mais depuis le Brexit a-t-elle réglé ses problèmes avec l’immigration et l’islam ?
    D’ailleurs elle aussi écrasée par la charge, son économie n’est guère mieux que celle de la France, elle était au Brexit surtout moins en difficulté que la France…

    Nigel Farage se prépare ainsi à un nouveau combat, faire des prochaines élections britanniques un vote sur l’immigration. En partie la raison de sa présence à Bruxelles…
    Il s’était pourtant mis en retrait, refusant de se fondre aux Tories (en difficulté actuellement dans les sondages).
    A suivre.

    • Suite :
      D’autre part, quand on voit Orban à la tête de la Hongrie qui n’a pas 10 millions d’habitants résister à l’UE, qu’en serait-il s’il était à la tête d’un pays de 67 millions d’habitants ?
      Ce qui compte, c’est la volonté politique… Ce que n’ont AUCUN des politiques hors Reconquête! en France.
      Que dire du vadrouilleur Philippot qui a cru mettre en place un parti hors du RN, qui plus est après avoir contribué à vider le RN d’une partie de son substrat politique (ce que poursuit MLP) ?

      Alors, on peut discuter sur les instances européennes.
      A noter que sous de Gaulle elles étaient différentes, c’était l’Europe des Nations fort positive qui a vu la réalisation de grands projets, à tel point que d’autres ont voulu leur part du gâteau alors qu’ils n’y étaient pas à leur création, on peut y revenir…

      Les frexiteurs omettent un gros caillou, la dette de la France, situation qui la met à la merci des banques -en particulier US. Avant tout la France doit retrouver une double souveraineté, celle face à l’immigration et celle financière (dette et Euro), les deux étant liées.
      Si la France décide de le faire, il serait bien étonnant que Berlin envoie ses Panzer et les ricains leurs Abrams à Paris !
      Eventuellement après et seulement après, la discussion sur un Frexit pourrait avoir lieu… ceci en d’autres termes plus réalistes !

      • Reconquéte le mot meme tout comme renaissance est pompeux , vous avez oublié comment zemmour a réagi durant la crise covid une vraie carpette et pourtant il ne siégeait pas et vous pensez qu’un tel serviteur de la macronie ne continuera pas a se coucher devant les décisions de l’UE . L ue c’est pieds et poings liés la dette et l’immigration augmenteront , retrouver une souveraineté ne peut se faire qu”en claquant la porte

      • Que non, Alain Falento répond brillamment à cela dans le livre. Au contraire, le Frexit est la seule façon de nous en sortir. Les prêteurs accourront très vite !

        • Les préteurs accourront lorsque la France aura réduit drastiquement son déficit économique, en premier en réduisant l’immigration massive et l’islamisation, en gérant autrement le social, voire et plus encore, en modifiant le fonctionnement des recettes pour alimenter le social.
          Pour cela il faut des politiques qui ont une vue sur au moins une décennie, ce qui n’est pas le cas de Philippot qui court après les déceptions des français pour se constituer un électorat…
          Je rigole franchement lorsque Falento va jusqu’à évoquer les Hongrois… à croire qu’il n’a jamais entendu parler d’Orban ! Au moins les Hongrois, même intéressés par les aides de l’UE, ne veulent pas vendre leur âme !

          • Apparemment tu ne suis pas de près ce qui se passe en Hongrie, Orban a le discours qui fait croire que… la réalité est qu’il se couche sur pratiquement tout.

        • D’autant que la dette de 3.000M€ est couverte par les 6.000 M€ d’épargne des français. Il n’est pas insensé de penser à un emprunt d’état sous l’égide de la banque de France.

          • Déjà occupée par d’autres usages…
            Elle n’est pas inutilisée…
            D’autant que la dette n’est pas uniquement nationale. Les régions (elles pas trop problèmes, elles ont relativement su se tenir), les départements là c’est un peu plus lourd mais pas trop grave a priori, par contre des villes endettées jusqu’à un siècle surtout suite aux emprunts toxiques.
            Il y a aussi les entreprises nationales comme la SNCF, EDF. Ne pas les oublier…
            Mais ce qui n’est pas comptabilisé dans la dette purement financière, le coût des infrastructures en déshérence depuis des années : ponts, routes, chemin de fer, etc.
            Cela concernant aussi bien l’Etat que les régions, départements, les communes qui subissent le contre coup du désengagement de l’Etat de beaucoup de choses…

    • Sortir de l’UE en votant encore pour les mêmes mondialistes pro immigration ne change quasiment rien et la G-B va mieux que la France économiquement

    • Alain Falento montre très bien que Brexit et Frexit sont différents car la Grande Bretagne a une situation très différente.

      • Je ne vois pas beaucoup de différences fondamentales et elles ne lui servent à rien, mais la même naïveté face à l’immigration et à l’islamisation, croire que discuter résoudra les problèmes…
        Pire même, la France est dans un état de désindustrialisation supérieur à celui de la GB !
        Le premier ministre britannique qui n’est pas de souche, qui a tenté d’user de la méthode Méloni en triant les immigrés hors GB, qui tente de les renvoyer en Afrique est en pleine déconfiture lui-aussi (les logements prévus pour les renvoyés sont utilisés par les locaux, je dis normal, la naïveté se paie).

        • Le problème de la GB c’est son histoire, les liens qu’elle a conservés/tissés avec son ancien empire colonial et ses difficultés à limiter l’immigration de pays qu’elle gérait autrefois, d’où le nombre d’Hindous partout en GB. C’est la même chose que nous en Algérie sauf que nous on a eu une guerre fratricide, des égorgements, des meurtres… qui ne nous ont pas empêché de laisser les Algériens débarquer chez nous mais c’est plus récent et ils sont arrivés bille en tête avec la haine de la France. Ce qui n’est pas le cas des Hindous venus peu à peu en douceur en GB et en adoptant extérieurement au moins les moeurs anglaises. Rien à voir.

      • Et surtout Saint Marc donne le chiffre qui l’arrange de fin 2023 et ne contredit pas que la G-B va mieux que la France
        L’économie britannique devrait croître de 0,8% cette année après être entrée en récession au deuxième semestre 2023 Pour 2024, Paris et Berlin afficheront respectivement 0,7 % et 0,2 % de croissance, https://www.usinenouvelle.com/article/l-economie-britannique-devrait-croitre-de-0-8-en-2024-dit-hunt.N2209530 https://www.letelegramme.fr/economie/croissance-francaise-en-2024-et-2025-le-fmi-plus-pessimiste-dans-ses-projections-6566337.php

  6. Même si l’UE est devenue mammouthesque, vérolée et déjà podagre, il est clair qu’elle est devenue ultra puissante et suffisamment vicieuse pour qu’elle mette définitivement au pas tous les pays d’Europe. Comment ne pas comprendre qu’elle a déjà gagné puisque toutes les nations européennes lui ont délégué leur souveraineté.

    Donc le pari de Zemmour est perdu d’avance !

    J’ai bien connu Nicolas Bay, il y a environ trente ans quand il était responsable de FN Jeunesse Ile de France. Un gars bien et honnête ! Mais peut-être toujours en quête de la recherche de son « bon port » ?

    Je l’ai suivi il y a deux ans quand il a rejoint Zemmour ! Maintenant je n’y crois plus !

    Le pari de Reconquête de réformer à 180 degrés l’UE de l’intérieur est une gageure !

    Seul le Frexit ou une révolution populaire à l’échelle du continent, pourraient changer radicalement la donne.

    L’Armée ? émasculée par de Gaulle ! A la ramasse !

  7. Les promesses électorales n’engagent que ceux qui les écoutent. « Il faut refonder de l’intérieur » est une promesse électorale.
    Il faut donner une chance à ceux qui n’ont jadis été au pouvoir … L’UE est irréformable, c’est un autre sujet.

    • Attendons de voir quels sont ses colistiers .Ne crachons pas dessus, regardons , écoutons , et faisons-nous notre opinion sur ce monsieur. Nous choisirons au moment opportun.

  8. En fait rien ne changera vraiment sans une révolution ou une guerre civile. Comment neutraliser le conseil constitutionnel,la CDEH,La commission qui s’opposent à la volonté du peuple. Peut-être en leur demandant gentiment mais j’en doute fortement. On ne peuyt probablement pas changer l’U.E. De l’intérieur mais on peut la changer de l’extérieur. Peut-être.

  9. Par ailleurs la France est en position de force pour faire ce qu’elle veut de l’Europe pour la mettre à sa pogne du fait qu’elle reste la seule puissance de dissuasion nucléaire, par tels temps troubles qui courent c’est le maxi plus. il suffit de trouver quelqu’un qui en a capable de mettre toute l’UE à genoux en exigeant qu’elle piaille France live matter plus que les autres. Bref il faudrait de séparer de toutes les lopettes actuelles et se trouver un nouveau Bonaparte. Perso j’en vois pas, c’est ça le problème numéro 1 du pays.

    • Jean bien d’accord, avec un nouveau Bonaparte on défierait Der Leyen, on ne paierait plus, on ferait le Frexit sans avoir besoin de Frexit mais comme on a des lopettes qui sont nos ennemis…

      • En effet, on pourrait faire le FREXIT sans avoir à passer par toutes les contraintes juridiques.
        De toute façon, cette Constitution est illégale car rejetée par le référendum de 2005.
        Alors, à quoi bon se gêner ?

  10. Appliquer au rasoir le Traité Européen suffirait déjà à interdire le coran et raser toutes les mosquées comme je l’ai démontré surabondamment sur RL:
    https://ripostelaique.com/un-musulman-ne-peut-pas-avoir-la-nationalite-indienne-amnesty-proteste.html
    L’incompatibilité de valeurs entre le monde musulman et l’occident a été clairement soulignée par la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme européenne dont voici le lien :
    https://assembly.coe.int/nw/xml/XRef/Xref-XML2HTML-fr.asp?fileid=25246&lang=fr

  11. Nicolas Bay, tu n’as pas encore compris que nous ne voulons pas de l’Europe ? Si tu ne l’as pas compris cela signifie que tu n’es pas assez intéressant pour être élu. A propos, nous ne voulons pas plus de l’OTAN. Capito ? Alors souviens-toi: FREXIT !!!

  12. En 2027, vous aurez le RN de Jacques Chirac. Et vous mettrez trente ans à vous rendre compte qu’on vous a b****. D’ici -là, le système aura mis en place le prochain tartufe, afin de repartir pour un cycle. Peu importe la pseudo diversité politique que le système nous propose, le véritable problème, c’est la république des fm; plus de deux siècles d’une dictature qui ne dit pas son nom, après le coup d’état de 93. Alors, monarchie ou pouvoir militaire, mais surtout plus de démocratie, qui n’a d’ailleurs jamais existé dans les faits. Redevenons aussi officiellement “catholiques”, mais sans les contraintes du passé, juste sur une base identitaire. Ainsi l’islam saura où est sa place; mais surtout que le migrant et l’autochtone, ça ne sera jamais la même chose. Abolissons aussi la loi sur la laïcité, qui par son égalitarisme, est le creuset de tous les communautarismes. En somme, des “cathos” et des dhimmis, c’est ainsi qu’un pays doit se construire, sur la base de l’assimilation et rien d’autre.

  13. Si un pays décide de quitter ce m..er et ne participe plus au budget en disant simplement : »bon ça suffit, ça marche pas votre machin , on se barre « . Elle va faire quoi l’UE ? Déclarer la guerre ? Si la France quitte l’UE, celle-ci s’écroule c’est cela qu’il faut expliquer aux français, pas leur raconter des salades du genre on va la réformer de l’intérieur.

  14. Il est possible que je me trompe;mais il semble,que econquête,est un parti,servant à faire échouer,toute la droite. C’est un parti qui n’a aucune chance de gagner une élection;mais qui,au travers de son discours très ferme,envers l’islam,absorbera un grand nombre de voix des électeurs de droite. Ceci afin qu’aucun parti de droite ne puisse remporter une élection.

  15. Tous ceux qui ont quitté le RN pour rejoindre Zemmour étaient pleins d’illusions, et s’aperçoivent qu’ils ont fait fausse route. Ils n’on rien gagné dans cette démarche. Marion n’avait pas supporté l’ascension de sa tante car elle s’estimait supérieure à elle. Dupont Aignan n’avait pas supporté l’ascension de MLP et l’avait quittée en vitesse et ne manque pas de la critiquer bassement à l’instar de EZ qui l’a qualifiée d’inculte, etc. Ils ont tous des egos surdimensionnés et comme vous le dites, ne visent que les salaires de députés. Bardella devrait se cultiver en histoire. Dupont Moretti l’a qualifié de “baudruche”. MLP aurait dû désigner Thierry Mariani beaucoup plus cultivé que Bardella.

  16. Dans un même pays les personnes ont des intérêts très différents.Il est d’autant plus impossible de s’entendre avec tous. les citoyens des différents pays.Chaque pays a ses lois.Ils voulaient singer les Etats -Unis,mais chaque état a ses propres lois.Et malré la réconciliation,nos voisins allemands ne sont pas complètement nos amis…….

  17. En attendant, l’U€ s’élargit presque quotidiennement faisant le plein de musulmans et d’islam.
    Manque la Turquie, peut-être que ça ne saurait tarder, mais ce pays à présent s’en fout probablement puisque l’U€ est en train e bosser pour elle mine e rien et à l’insu du plein gré de l’U€.

    Je vois comme une petite jubilation de la part de l’état Tuc dans cette élargissement de l’U€ avec des pays peuplés de musulmans.

    Tranquille, pépère le Turc, le grand califat snif sa reconquête globale en U€ et en Occident.

    Oui le monde sera multipolaire, sauf qu’à l’Ouest ce sera la Turquie qui aura la main.

    Mais je me trompe probablement et je le souhaite. C’est simplement une impression toute personnelle.

  18. Ah! En voilà un titre qui sonne bien ! Et clair ! En plus venant d’une littéraire ! Bien sûr que l’UE, CETTE UE, cette machine à recaser les cancres, doit disparaître !

  19. Vouloir sortir de l’UE, aujourd’hui, c’est devenu presque aussi indéfendable que rétablir la royauté. La participation à l’UE est dans la Constitution. Il faudrait 3/4 du parlement français pour revenir dessus. On n’y sera jamais. Si le Royaume-uni a pu faire son brexit, c’est dû à sa situation insulaire qui lui a toujours permis de faire autrement que les autres. Je pense que c’est la raison pour laquelle Reconquête a cette position. Dans un discours, le destinataire du propos est toujours à prendre en compte : l’électorat français ne vaut pas grand-chose de ce point de vue, il est très conservateur de ce qu’on lui impose, 2 électeurs sur 3 étant des abrutis qui reconduisent au pouvoir les mêmes saltimbanques depuis des décennies.

  20. L’UE n’ayant absolument rien de démocratique, c’est illusoire de croire que l’UE va améliorer les conditions de vie des peuples de l’Europe.