Crise de l’Occident… Les mondialistes n’auraient-ils plus la cote ?

Macron baisse, baisse, baisse… dans les sondages. Il se promène déguisé en bibendum, avec gilets pare-balle et doublement de sa garde.

https://resistancerepublicaine.com/2024/03/25/macron-a-les-chocottes-panique-a-lelysee/

On remarque d’ailleurs qu’il préfère aller se balader en Amazonie plutôt que de rester en France.

https://www.huffingtonpost.fr/international/article/au-bresil-la-bromance-entre-lula-et-macron-en-amazonie-fait-jaser-sur-les-reseaux-sociaux_231809.html

 

 

Lui et Lula s’amusent comme des petits fous pendant que le même Macron s’ingénie à faire revenir le bruit des bottes sur la France et le reste de l’Europe.

D’ailleurs il semble bien que la folie guerrière de Macron ne fasse pas  tout à  fait l’unanimité en Europe. Scholz n’a pas envie d’offrir à l’Ukraine les fameux missiles Taurus… 

https://www.arte.tv/fr/videos/119663-000-A/ukraine-macron-et-scholz-poursuivent-ils-les-memes-objectifs/

 

A Londres, l’ex très charismatique Premier Ministre hindou Rishi Sunak se fait des cheveux blancs pour les législatives de début mai repoussées à octobre. La peur n’évite pas le danger… Les conservateurs pas bien partis. Par contre si c’est les dégénérés qui l’emportent, ça sera encore pire pour cette Grande Bretagne déjà tellement islamisée, avec des musulmans à la tête de tous les pays qui la composent…

Si le pari d’une amélioration de la situation économique semble être validé, alors que le recul de l’inflation et la fin de la récession se confirment, rien ne garantit que ce calcul préservera les conservateurs d’une déroute dans les urnes. Dernier incident en date, Rishi Sunak a affronté mardi soir deux démissions de secrétaires d’Etat au sein de son gouvernement, Robert Halfon et James Heappey. Motif : ils ne se représenteront pas aux prochaines élections, comme d’ailleurs une soixantaine de députés sur les bancs des Tories.

Ce n’est pas la première défection à laquelle le Premier ministre doit faire face. En novembre déjà, sa remuante ministre de l’Intérieur avait claqué la porte sur fond de désaccord au sujet de la loi sur l’immigration. Plus récemment, Lee Anderson, ex-numéro deux du parti, exclu pour des propos islamophobes, a rejoint les rangs de Reform UK, le parti d’extrême droite.

Rejeté en grande partie par la Chambre des lords , le texte n’a pu être adopté avant la trêve parlementaire de Pâques. Ce report repousse encore le décollage des premiers vols vers Kigali, sur lequel Rishi Sunak s’était engagé auprès des électeurs avec son slogan « stop the boats », en référence aux embarcations de migrants qui traversent la Manche.

Dans ce contexte, le Parti conservateur aborde les prochaines élections locales en position de grande fragilité. Les Tories pourraient perdre 500 sièges dans les conseils municipaux s’ils reproduisent leur contre-performance de l’an dernier. Deux grandes métropoles, celle des West Midlands (Birmingham, Coventry) et de Tees Valley (Hartlepool, Middlesbrough), pourraient basculer à gauche. Le même jour, une élection partielle pour un siège de député à Blackpool, dans le nord du pays, doit également se tenir, avec le risque de voir un nouveau siège échapper aux conservateurs.

Risque de coup

En tout état de cause, une défaite cinglante lors de ces élections locales pourrait relancer les appels à une élection à la tête des Tories, si la base du parti en vient à considérer qu’un autre leader serait mieux à même de les mener lors des élections. Le « Daily Mail », un tabloïd conservateur, a récemment évoqué une tentative de « putsch » de la part de Penny Mordaunt. Actuellement leader des conservateurs à la Chambre des communes, elle avait affronté Rishi Sunak dans l’élection à la tête du parti à l’été 2022. Mais l’intéressée a fermement démenti ces rumeurs.

Et changer de leader avant les élections pourrait plonger encore davantage les conservateurs dans la crise. C’est ce que pense le chroniqueur du « Times », Daniel Finkelstein : « Aussi sinistre soit la position des Tories dans les sondages, l’idée d’installer un autre Premier ministre est totalement absurde. Rien que le fait d’en parler est extrêmement préjudiciable », écrit-il.

https://www.lesechos.fr/monde/europe/royaume-uni-rishi-sunak-ne-parvient-pas-a-redresser-le-camp-des-conservateurs-a-lapproche-des-elections-2085594

Et tout ça sur fond de guerre… Rien ne va plus, faites vos jeux !

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2 Commentaires

  1. Reviendront-ils et dans quel état ?

    Les voilà les martyrs du mondialisme, contraints d’aller mourir sur le terrain pour l’UK, les USA, l’OTAN, l’U€ ; les bagnards de l’UK-reine … ils y sont partis sur ce maudit terrain de guerre, laissant à leur mère, dans un dernier baiser, l’odeur de leur enfance qu’ils portent encore.
    https://t.me/boriskarpovrussie/133828

    Et Zelensky fait de l’argent et le beau un peu partout ; grand prêtre de la Patrie ; acceptant d’offrir en sacrifice aux vrais envahissseurs, cette jeunesse nationale. L’Ukraine devra garder à l’esprit et au coeur que ces gouvernants, depuis les années 2000, n’ont pas lutté pour leur Patrie ; mais qu’ils ont vendu, détruit et tué, territoire et personnes ; tout ce qui était leur Nation.

  2. -“Macron et Sholz pousuivent-ils les mêmes objectifs ?”

    Oui ! et ont le même double langage “en-même-tempstiste”.
    Des gens très fiables en qui compter …. sur leurs trahisons.

    Ils ont aussi écoeurants l’un comme l’autre.
    J’espère et souhaite que leurs hontes, devenues publiques les couvrira à jamais.
    Mais au-delà de cette insignifiante satisfaction pour nous, ce qui importe c’est qu’ils soient découverts à la face du monde et que leurs manigances leur pètent à la gue.le avant que d’affecter le monde.

    Sholz, porte sa félonie sur la tronche
    Macron, c’est dans tout. Et c’était même dans la voix qui trahissait ses réelles motivations. Pour occulter celles-ci, dans le but de nous endormir ; il a décaissé du budget national pour les prestations d’un professionnel qui ne lui a pas remis les idées en place mais la voix accompagnant ses propos trompeurs. Encore un coup pour lequel nous avons financé notre mauvais sort politique ; en permettant la comédie de l’abus présidentiel de confiance.

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