«  Selon que vous soyez, en votre âme, blanc ou noir… Les jugements de la presse vous rendront puissant ou misérable »

Deux affaires de « refus d’obtempérer » : l’une passée sous silence et l’autre mise à la une des organes de presse ! Ces deux affaires traitées si différemment par les journalistes m’ont fait penser à notre cher Jean de la Fontaine et ses célèbres vers :
« Selon que vous serez puissant ou misérable

Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »

Avant de développer cette idée, permettez une explication : après les traitements diamétralement opposés -à trois jours à peine d’écart- choisis par certains de mes confrères journalistes pour informer les Français sur les deux derniers drames découlant tous les deux d’un refus d’obtempérer, j’ai relevé que le premier, dimanche, n’avait quasiment pas été traité et surtout pas parmi les informations principales, parfois une simple brève soit dans le corps des JT -les journaux télévisés tant de 13 heures que de 20 heures- ou carrément « oubliés » -c’est-à-dire tus volontairement et complètement par les responsables des rédactions. À ce sujet, voyez RR du 5 septembre 2023 :
Le meurtre d’un piéton à Paris suite à un refus d’obtempérer ne tracasse pas la « grande » presse !
https://resistancerepublicaine.com/2023/09/05/le-meurtre-dun-pieton-a-paris-suite-a-un-refus-dobtemperer-ne-tracasse-pas-la-grande-presse/

Et le second « refus d’obtempérer », mercredi, lui, a aussitôt fait la une ! Tant sur les chaînes d’informations télévisées que nombre de journaux de la presse écrite.

Quelle est la différence entre les deux ? Pourquoi le quasi silence pour la première et « la une » pour la seconde ?

La première, celle à l’info minorée, discrète, parce que volontairement étouffée par des journalistes -ils sont nombreux dans les rédactions- qui ont été endoctrinés dès leur plus jeune âge par des parents ou grands-parents ayant gagné leurs « galons » voire leur « Légion d’Bonheur » en un certain mai 68 sur de pseudo barricades en jetant pavés et slogans alors à la mode en des lieux si parisiens dont le boulevard Saint-Germain, applaudis par le monde du… spectacle et les « zintellos » reprenant avec ferveur leurs slogans aussi fumeux que « la plage sous les pavés » !
Le piéton tué par le « refus d’obtempérer » n’a été considéré par mes confrères de gauche que comme un « simple fait divers » car le responsable de cet homicide est celui qui a refusé d’obtempérer – « Et ce n’est qu’un banal « homicide par imprudence », nous objecteront ces journalistes !-
Et l’info, elle, largement traitée voire fortement développée l’a été parce que la victime est celui-là même qui est l’auteur du… « refus d’obtempérer » ! Sans oublier ce « petit plus » : des policiers étaient, au début de l’enquête, « soupçonnés » d’avoir volontairement percuté le jeune motard. Hypothèse, dans la soirée, semble-t-il écartée au grand désespoir des journalistes qui auraient préféré pouvoir les accuser de la mort du gamin…
D’où mon souvenir de ces vers :
« Selon que vous serez puissant ou misérable
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »
Cette remarque -courageuse- de Jean de la Fontaine dans « les Animaux malades de la peste » pourrait souvent être reprise par les journalistes du clan prétendument de la « bien-pensance », pensance plus à gauche qu’à droite…
Pour eux, je me permets d’égratigner les vers de notre cher fabuliste. En inversant deux séquences…
Au lieu de :
« Selon que vous serez puissant ou misérable
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »
je pense que ce qui irait bien à mes confrères serait :
« Selon que vous soyez blanc ou noir
Les jugements de la presse vous rendront puissant ou misérable. »
En m’empressant de préciser que, bien évidemment, le duo « blanc ou noir » est pris, comme l’a fait Jean de La Fontaine, dans le sens moral et non, dans le sens d’une couleur de… disons de cheveux pour, par exemple, évoquer une différence entre les personnes âgées aux cheveux déjà blancs et les jeunes à la tignasse encore de jais.

Donc, selon la nouvelle version de ces vers, effectivement, si l’on prend les deux dernières affaires de « refus d’obtempérer » s’étant terminées par un drame, à savoir celle de mercredi soir à Élancourt (Yvelines) et celle tôt dimanche matin à Paris, à savoir une victime « noire » car pleinement responsable dans le cadre du « refus d’obtempérer » et une victime « blanche », c’est-à-dire sans aucun doute « parfaitement innocente » puisqu’elle n’était en rien dans un « refus d’obtempérer » !

Mais, voilà, mes confrères -du moins un grand nombre- réagissent immédiatement quand la victime est la personne « noire », celle qui a volontairement, en pleine conscience commis la faute ! Ils ne cherchent même pas à savoir si elle était alcoolisée ou droguée -pour ma part, c’est tant pis pour elle car sa responsabilité doit être considérée comme « pleine et entière » !-

Ces journalistes cherchent surtout à savoir si les policiers peuvent être, ne serait-ce qu’une fraction de seconde, concernés dans ce drame !
Mais, lorsque la victime à laquelle rien ne peut être reproché, est tuée par celui qui a refusé d’obtempérer , là, cela ne les intéresse plus !

Cela ne les concerne pas de dénoncer le fait que « le tueur du piéton » a choisi -là aussi, volontairement et en pleine conscience !- de rouler à une vitesse plus qu’excessive et donc dangereuse en plein Paris. Et non sur une route de campagne complètement déserte et à la visibilité lointaine où il aurait pu avoir une sortie de route et s’éclater, seul contre un arbre, ce qui aurait été une fin d’affaire parfaite et préférable pour tout le monde, tant pis pour lui et, ainsi, le malheureux piéton n’aurait même pas su que cet accident lui avait sauvé la vie ! Non, ce chauffard a choisi de rentrer dans une ville où les excès de vitesse sont des plus dangereux : Paris n’est pas un circuit de F1 ! Un choix qui, malheureusement, pas pour lui mais pour un jeune trentenaire traversant tranquillement une rue !

Et cet abruti de CRO -« Chauffard Refusant d’Obtempérer » comme CROque-mort !- ne s’est même pas arrêté pour tenter de secourir sa victime. Non, il a fui, le lâche !

Mais il a dû laisser son véhicule non loin de là. Ce qui a permis de l’identifier et de le retrouver. Mais, dans quelques années, il ressortira de taule et pourra renouveler son exploit car l’ajustice le remettra, certainement dans moins de 20 ans, en liberté… Et cet aspect de ce « simple fait divers » n’intéresse pas du tout ces journalistes. Ils pourraient rappeler les paroles d’un ténor du barreau qui ne défendait que des meurtriers voire des assassins et qui, un jour, alors qu’on lui proposait de laisser à la famille d’une victime de prendre la parole, il a eu un petit sourire moqueur : « Ah, si maintenant ont doit tenir compte de la peine des familles de vicdimes, où va-t-on… »

ENCADRÉ :
Raisons de l’idéologie de gauche qui a envahi le monde des « bien pensants » dont font partie ces journalistes.
Ces journalistes à l’idéologie de gauche ne se sont toujours pas aperçus que les Français ont fini par ne plus adhérer à leur propagande qui leur a été inculquée par leurs aînés suite à deux événements qui ont marqué la France et les Français :
-> 1/ Juillet 1962, l’indépendance de l’Algérie : ce pays, s’appauvrissant suite au départ des Pieds-Noirs et de leurs amis Harkis, a contraint des Algériens à « retrouver » le pays que certains ont haï : ils ont commencé -et ce n’est pas fini !- le Grand Remplacement en envahissant l’Hexagone donnant l’envie à tous les Africains de les imiter durant ces 60 dernières années !
-> 2/ Mai 68 dont le slogan qui a fait fureur à l’époque parmi les étudiants (donc ces actuels « anciens étudiants » sont devenus les parents voire les grands-parents des responsables de nombre de rédactions… actuelles qui, elles, n’ont pas su dispenser beaucoup de grandes… valeurs !), célèbre slogan que ces Papas et Mamans puis Papys et Mamies n’ont dû cesser de répéter lorsqu’ils jouaient avec leurs enfants puis petits-enfants, slogan que ces cerveaux malléables ont enregistré, slogan bien évidemment contre la… police ! Qui ne le connaît ? C’est… Oui, bravo, vous l’avez deviné ! « CRS… SS ! » Voilà le fruit qui a germé en ces cerveaux suite à ce « merveilleux » slogan…
-que, personnellement, je me vante de N’AVOIR JAMAIS PRONONCÉ, ni lors de ces manif’ estudiantines puisque je n’y ai -bien qu’étudiant et à Paris- jamais participé sinon en tant que journaliste stagiaire.-
… Ainsi ce slogan a fait son chemin en des millions de jeunes cerveaux tout comme, d’ailleurs pour d’autres « fruits merveilleux » ayant cru en ces cerveaux : la drogue et l’amour libre, pratiques applaudies à l’époque mettant à mal le respect mutuel nécessaire au sein d’un couple et, donc, de la famille… où il était bien vu de tuer le… Père !

JACQUES MARTINEZ, journaliste, 
ancien de RTL (1967-2001, Chef d’informations), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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12 Commentaires

  1. “Blanc ou noir”, la préférence gauchiasse va directement au noir.
    La gauche a toujours encensé la racaille, la mafia, les mauvais garçons.
    Mettant dans la même enveloppe les voyous, les dealers, las assassins, et les rebelles, les marginaux, les intolérants à la dictature.

    On mélange tout.
    Mais si les rebelles à l’autorité, ont un parfum de romantisme, les nouvelles racailles égorgeuses, un peu moins.
    Seulement voilà : la gauche ne voit pas la différence.
    La gauche française, un ramassis de beaufs , bas du front, pas capables de distinguer les torchons des serviettes.

  2. Et je ne sais pas pourquoi, mais votre très bon texte me fait penser à une dictature, un état totalitaire doublé d’une république bananière ou, peut-être à venir, une théocratie.

  3. les journaleux sont bien le bras armé de la racaille islamisée, de la gauchosphère collabo : ces deux engeances peuvent toujours compter sur eux en relais de leur haine, mensonges, racisme anti français – il est temps de rouvrir les bagnes pour que les racailles aillent casser du caillou à partir de 4h du matin

    • Les journaleux ET les juges qui n’en sont plus car Ultra-Méga-incommensurablement indulgents avec les parasites !

  4. remettre en service ce bon vieux bagne, donnerait un peu plus de piment (de Cayenne) a ces refus d obtemperer

  5. La peine de mort n’existe que pour les victimes dans notre beau pays. Pour les délinquants, leur mort est considérée comme une bavure policière, voire un assassinat le plus souvent. Pour les victimes des chances pour la France, aucune compassion, et même un reproche : que faisaient-elles dans la rue à cette heure? Hummmm, c’est louche… Nahel a eu droit à tous les honneurs. Il devrait bientôt entrer au Panthéon.

  6. L’affaire de cette policière tuée par son ex conjoint a, me semble t’il, été curieusement mise en avant par les médias. Peut-être perce que l’immigration n’est pas concernée ?

  7. Vous qui êtes journaliste, devez connaître la devise de votre profession: pas de catastrophisme, pas d’alarmisme, pas de sinistrose. On peut ajouter à cette devise: pas d’amalgame. Ce qui signifie qu’il faut traiter, comme vous l’écrivez, la victime en fonction de sa biologie. Quant à la fable de La Fontaine, elle est plus que jamais d’actualité. Il faudrait demander aux “enseignants” d lycée de Stains (voir le trombinoscope du conseil municipal de cette ville encoranisée jusqu’à la moelle, et vous ne serez pas déçu du voyage) s’ils connaissent ladite fable…

  8. Ces affaires de refus d’obtempérer se multiplie en France et les médias d’extrême gauche pratiquent le deux poids deux mesures en refusant de parler de la mort de Tristan par un chauffard à Paris 20e mais ils parlent de la Racaille étrangère d’Elancourt dans les Yvelines Sefa qui s’est tuer à Moto après avoir commis un refus d’obtempérer et ils se permettent d’insulter les policiers en voulant faire de Sefa la Racaille étrangère une nouvelle victime des méchants policiers dans leur délire Gauchiasse. Les Gauchiasses commencent à se rendrent compte que les Français n’adhèrent à leur idéologie d’extrême gauche de Mai 68 où la haine de l’autorité est très diffuser mais les choses changent et s’est retourner contre les Gauchiasses du monde Politico Médiatique !

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