L’uniforme à l’école parce que Macron-Ndiaye ne veulent pas interdire l’abaya ? Pas question !

C’est reparti. C’est l’ère des contournements, des hésitations, de la peur. Peur de l’islam. Peur des musulmans.

L’ère de la dhimmitude complète se rapproche chaque jour davantage.

Je disais il y a peu que Ndiaye recommençait exactement ce que Jospin avait fait pour le voile entre 1989 et 2015, abandonnant profs et chefs d’établissement à la chienlit. Par peur de froisser ces messieurs-dames musulmans… qui veulent vivre en France,  qui, pour cela,  sont prêts à faire semblant de risquer leur vie sur un bateau destiné à être secouru par SOS Méditerranée mais ne veulent à aucun prix vivre comme les Français.

https://resistancerepublicaine.com/2022/11/10/atteintes-a-la-laicite-reponse-de-ndiaye-cause-toujours/

C’est reparti..

J’étais déjà en pétard contre Eric Zemmour avec son programme suranné du retour de la blouse à l’école. On ne sait pas gérer les vols, les jalousies, les rackets ?  Alors tous avec une blouse. C’est beau la poudre de perlimpinpin.  Mais c’est parfaitement dégueulasse et lâche.

Dégueulasse parce que, par incapacité/refus de faire marcher droit les racailles, on punit tout le monde... Je n’ai pas la vocation de devenir mouton , ni moi ni nos enfants et petits-enfants. En sachant que la blouse n’a jamais empêché les différences/vols de baskets, cartables/ trousses… Bref, une école d’apparence totalitaire parce qu’on n’est pas capable d’obliger les salopards à respecter la loi, hors de question !

Et voilà le summum ! Parce que politiques (et nombre d’enseignants/dhimmis) sont incapables d’interdire l’abaya, cet uniforme musulman des petites soldates de l’islam, il faudrait que les nôtres mettent à leur tour des uniformes  ? 

Je sais ce que c’est que de porter une blouse, c’était obligatoire en primaire pour ma génération. Je trouvais ça révoltant moche, humiliant. J’avais l’impression de vivre il y a  un siècle…  blouse = troupeau.

Alors que, en sus, on oblige nos jeunes à porter cet uniforme parce qu’on est incapable d’interdire aux autres leur propre uniforme de soldate de l’islam, mais c’est à crier, à tout casser !

Ils sont beaux les dhimmis, les péteux, comme Madeleine Bazin de Jessey, professeur agrégé en classe préparatoire (ça ne lui donne pas la qualité de nous soumettre à l’islam, que je sache !). Et voilà la donzelle qui écrit une tribune dans le Figaro pour vanter cette fois non pas la blouse mais l’uniforme (voir le début ci-dessous).

Elle pose clairement le sujet tout en se gardant bien de réserver à l’islam la responsabilité de l’affaire, y  mêlant les adeptes du short court, des crop-tops ou jeans troués … Alors que ça n’a rien à voir !

TRIBUNE – Face à la multiplication des modes et des revendications vestimentaires controversées – notamment le port de l’abaya -, l’uniforme contribuerait à refaire de l’école un sanctuaire, argumente la professeur agrégée de lettres en classes préparatoires Madeleine Bazin de Jessey.

Il est tout à fait singulier de voir les acteurs de l’Éducation nationale se laisser à ce point déborder, chaque année, par des modes ou des revendications vestimentaires controversées, qu’il s’agisse des tenues religieuses musulmanes attentatoires au principe de laïcité ou, à l’autre extrême, des vêtements qui exhibent l’élève plus qu’ils ne l’habillent – pensons aux jeans taille basse qui révélaient la raie des fesses il y a quelques années, aux shorts version couches Pampers, aux crop tops toujours plus économes en tissu, aux jeans troués façon gruyère ou encore aux claquettes-chaussettes, si confondantes de grâce et de subtilité.C. TASIN : cela n’a rien à voir ; partout en France, les règlements intérieurs interdisent shorts, top-crops etc, les gosses qui s’y essaient se retrouvent interdits de dcours et doivent demander à leurs parents d’apporter illico presto une  autre tenue. Fin de l’histoire.

[…]

 Alors qu’ils ont déjà fort à faire, les chefs d’établissement se trouvent ainsi régulièrement mêlés à des polémiques vestimentaires qui viennent s’ajouter à leur lot de tracas quotidiens.  Rendez-vous, signalements, déplacements, conseils de discipline, exclusions… Mais que de temps et d’énergie perdus !  On est bien d’accord sur le diagnostic mais pas sur le remède.

La donzelle, ensuite dit la même chose que moi  sur la solution NDiaye, discuter jusqu’à plus soif avec les élèves, permettre le bras de fer permanent que veulent les islamos… et demerden sie sich.

[…]

Quoi de plus propice à l’égalité qu’un uniforme qui gommerait du même coup une grande partie des différences économiques et sociologiques que les élèves révèlent par leur tenue vestimentaire, quand ils ne les exhibent pas franchement ? Et nous y revoilà, cette fois c’est le côté gaucho qui arrive. Il y a des différences sociales faut pas que ça se voie ! Parce qu’avec l’uniforme les gosses sont identiques, la même trousse, les mêmes coiffures, les mêmes coupes de cheveux, les mêmes chaussures, les mêmes sacs, sans marques ??? Allons donc ! Elle vit où ?

Elle continue par une attaque sur les revendications religieuses qui est déjà réglée normalement par la loi de 2004 ! Reste plus qu’à ajouter à la liste des tenues et objets interdits

Quoi de plus favorable à la laïcité, enfin, qu’une tenue scolaire qui contribuerait à évacuer toute revendication religieuse et à sanctuariser l’école pour en faire le lieu de l’apprentissage et du savoir, et non la caisse de résonance des derniers clivages sociétaux, politiques ou communautaristes qui divisent notre société?

Enfin, l’argument des vêtements de sport n’est pas valable, on peut déjà deviner que les gugusses de banlieue ne mettront jamais veste, cravate… et se présenteront en jogging. Et le Ndiaye de faire une circulaire pour inciter les chefs d’établissement et profs à discuter longuement avec Zozo pour le convaincre de se désaper…

L’uniforme aurait aussi ceci de profitable qu’il permettrait de préparer les élèves à la vie adulte en leur apprenant notamment à enfiler autre chose que des vêtements de sport. Car, pour un grand nombre d’entre eux, il existe déjà un uniforme, le survêtement, noir le plus souvent, floqué de marques diverses, et qu’ils revêtent dans presque toutes les circonstances de la vie.

Tout ça pour ça !!! Tout ça pour des abayas dont on ne parlait nulle part avant l’arrivée de Ndiaye à l’Education Nationale !

Alors qu’un Poutine, un Orban ou un Ron de Santis sont capables de régler ça d’un coup de poing sur la table…

https://resistancerepublicaine.com/2022/03/04/ron-de-santis-lexcellent-gouverneur-republicain-de-floride-ne-veut-pas-du-masque-enlevez-ca-ca-ne-sert-a-rien/

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14 Comments

  1. ça se discute, question de goûts et de couleurs.
    Mais si c’est uniquement parce qu’on n’arrive pas à prendre des mesures contre les envahisseurs, c’est encore une preuve de lâcheté qui ne règlera rien.
    C’est comme la proposition de Marine, à une époque qui voulait s’attaquer aux croix et kipas pour pouvoir atteindre les tenues islamiques.
    Ce n’est pas en noyant le poisson qu’on parviendra à l’attraper.
    Il faut cibler directement ce qu’on veut atteindre.

  2. Tout à fait d’accord avec Christine. L’uniforme s’il était adopté, ne garantirait pas pour autant l’absence de rackets et autres violences.
    Par ailleurs, en français « CROP TOP » c’est un « HAUT COURT » (comme dans enlever le haut). Les anglicismes, les Français patriotes n’en veulent pas. Défendre son pays c’est aussi défendre sa culture et sa langue.

  3. Enseignant durant plus de 40 ans, j’ai dû voir trois filles voilées, et encore, visiblement très malheureuses et relativement rejetées, mais ça m’a moins dérangé que des générations de gamines habillées en putes, les nichons à l’air, le nombril à l’air, ou avec un anneau dans le nez, des joggings sales, des jupes plus courtes que la ceinture, les règlements intérieurs spécifiaient « tenue correcte exigée » jamais je ne l’ai vu appliquer, pour ne pas fâcher les casse-couilles, heuuuuh, les parents d’élèves !

  4. Un uniforme, j’y suis favorable depuis très longtemps. Les directeurs d’établissements ont autres choses à faire que la police vestimentaire. Beaucoup de pays l’ont adopté et ne s’en portent pas plus mal.

  5. L uniforme ce n est pas une blouse !!!!
    C est chemisier par exemple jaune pour tous er pantalon ou jupe orange avec des pois verts et tout le monde pareil ! En fait ,pensez aux enfants des cours privés (encore en 70) jupe bleu marine chemisier blanc ,et gilet bleu marine
    L essentiel est que tous soient habillés pareil comme en.Angleterre

  6. L’uniforme à l’école est une très bonne chose mais l’abbaya et la djellaba on n’en veut pas parce que ça ne correspond à notre code vestimentaire et que c’est une forme de sécession et de chantage de la par des MUZZ qui veulent imposer leur religion mais Macronor et Papaye Ndiaye ils seront obligés d’interdire les habits islamiques dans les écoles , si Macronor et Papaye Ndiaye s’obstine accepter les Abayas et les Djellabas bonjours les dégâts !

  7. Pour se défendre des islamistes on complique la vie des Français. Si on éliminait les islamistes nous n’aurions plus aucun problème !!!

    • Il faut les prendre dans leur propre piège. Tu mets tes guenilles islamiques à l’école ton année n’est pas validée, tu n’existes même pas en tant qu’élève, suppression des alloc. C’est fou qu’au Qatar ils sont capables de prendre des mesures draconiennes lorsque quelque chose n’est pas conforme à leur m…. d’ islam.

  8. Tous en treillis de camouflage et bérets. Et obligation de chanter la Marseillaise avant chaque cour!

  9. Je propose : sweat à capuche pour les noirs, tenue de CRS pour les arabes et jupe ultra-courte pour les filles. Il devrait y avoir de l’animation dans les cours de récré.

  10. Pour une fois, je ne suis pas d’accord avec vous, chère Christine. Oui L’école doit redevenir un sanctuaire, et je pense que le port de l’uniforme peut y contribuer. Bien sûr, il faut redonner du pouvoir aux professeurs et aux surveillants et faire respecter la discipline. Si l’on veut se distinguer à l’école, que cela soit par le travail et non par le port des vêtements dernier cri.
    J’ai porté la blouse jusqu’à la terminale et n’en ai jamais souffert. Au contraire, j’étais fier d’aller dans un lycée qui,à l’époque avait une bonne réputation.(et où la blouse blanche une semaine, bleue la suivante était obligatoire)

  11. C’est ça le système maternelle, beaucoup pratiqué en entreprises, un qui fout la merde/tout le monde qui morfle !

    • L’uniforme (souvent une blouse) à l’école n’y changera rien. Les connasses continueront de porter leur nappe longue en dessous et les connards leurs pantalon à caca, et ça se verra quand-même alors.

  12. Je comprends votre sentiment sur l’uniforme, je ne l’ai pas connu mais plus jeune, cette idée me rebutait. Aujourd’hui, je pense que ce n’est pas si mal. Ça permet de ne pas se prendre la tête à savoir quoi mettre et, au delà de la vision du troupeau, ça donne le sentiment d’appartenir à un groupe (les clubs sportifs ont leur « uniforme »). Mais bon…

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