Voici le 3ème extrait du livre de Hermann H. Mitterer
Remplacement de population en Europe
Comment une élite mondialiste utilise la migration de masse pour remplacer la population de souche
Les 2 premiers extraits ici :
Pages 7 – 11
Préface
Premières réflexions
Dès avant Donald the President et Fake News, c’est sans doute Immigration de masse qui est le thème public par excellence. Du moins depuis l’automne 2015, quand la Chancelière d’Allemagne fédérale, Dr. Angela Merkel, en concertation avec le Chancelier fédéral autrichien de l’époque, Werner Faymann, a seulement rendu possible le 4 septembre 2015 – en vertu de son propre arbitraire et au prix de violations éclatantes du droit en vigueur – l’immigration de masse vers l’Europe occidentale ou le milieu de l’Europe.
Depuis, nous avons l’immigration de masse et toutes ses conséquences – de la violation du droit d’asile jusqu’aux crimes manifestes quotidiens, tels que les viols, les coups et blessures, les meurtres etc. – avec une ampleur inconnue jusqu’à présent. Ces phénomènes peuvent être considérés sans la moindre exagération comme phase préparatoire d’une guerre d’occupation qui s’annonce. Les attentats terroristes de plus en plus fréquents ainsi que les troubles militants répétés et les graves actes de violence, par exemple en France et en Suède, […] en sont des exemples frappants. Mais il ne s’agit là que des conséquences manifestes et perceptibles par tous de la politique migratoire des politiciens de l’UE et de leurs commis dans les différents gouvernements « nationaux ». La transformation insidieuse mais massive de la composition de la population avec toutes ses conséquences pour l’évolution sociale, comme par exemple la dégradation de la sécurité intérieure jusqu’à la destruction des bases de la constitution de droit public et démocratique de nos États européens, n’est soit pas perçue, soit repoussée ou contestée pour des raisons politico-idéologiques et/ou psychologico-manipulatrices par beaucoup de gens.
Par ailleurs, on déplore toutefois de manière très pérenne le manque de polarisation sur ces personnes, organismes et institutions qui ont rendu possible tout cela et ont donc à en répondre. Car une immigration de masse sur des distances géographiquement très longues n’est pas possible sans soutien correspondant, aussi bien organisationnel que matériel, financier et avant tout médiatique, dans les pays cibles de la migration.
Au regard de ces faits et de l’activité absolument inopérante des élites de l’UE se pose la question : ces personnes sont-elles toutes des imbéciles et autres ratés, ou bien ont-elles d’autres plans ? Servent-elles d’autres maîtres ?
Pour pouvoir répondre à ces questions, il faut comparer à présent l’évolution effective – les faits et les chiffres – avec les plans et actions véritables des instances de l’UE et autres acteurs à affinité migratoire. De façon aussi limitée et exemplaire que cela soit naturellement réalisable, aussi édifiant en est pourtant le résultat.
Dans ce contexte, la campagne d’information « Familie Deutschland » de l’année 2001 (!) du gouvernement de la RFA est elle aussi un possible indicateur. Dans le cours de cette campagne, le gouvernement de la RFA faisait la promotion de la « Famille Allemagne » multiethnique à l’aide d’images sur papier glacé. Cette « promotion » de la part de l’État de familles multiethniques, manifeste dans ces images, soulève des questions telles que les suivantes en rapport avec l’immigration de masse ayant lieu depuis des années :
▪ Pourquoi un gouvernement de la RFA voit-il l’avenir du pays dans une famille mixte ethnoculturelle ?
▪ Pourquoi fait-on la promotion de manière politique tout à fait manifeste du choix
individuel d’un partenaire extérieur à son propre cercle culturel ?
▪ Comment l’Europe est-elle en fait incapable de protéger ses frontières ?
▪ Existe-t-il ici un rapport entre la promotion pilotée politiquement d’une famille
multiethnique et une incapacité manifeste et totale des mêmes acteurs politiques à
empêcher l’immigration de masse ?
Il est mis en évidence ci-après que le développement de l’immigration de masse avec son pic intermédiaire en 2015 et la transformation massive de la composition de la population qui s’y rattache n’est pas le fait du hasard. Au contraire : en arrière-plan, il y a de complètes constructions d’idées et des concepts concrets, en liaison avec des objectifs clairs – et cela pas seulement depuis 2015 !
Il s’agit manifestement d’une guerre d’anéantissement contre les peuples d’Europe et au bout du compte contre les peuples de la Terre entière. L’immigration de masse, comme manifestation du mondialisme, de l’internationalisme et du multiculturalisme, est probablement la plus grande menace de la paix mondiale et par là-même de l’humanité.
Pour employer les mots de Václav Klaus, l’ancien Président de la République Tchèque (2003-2013) : Il s’agit dans le cas de cette immigration de masse tolérée et, comme nous allons le voir, largement favorisée, d’une « gigantesque expérience sociale » dans le cadre de « l’habituelle utopie sociale de la Gauche » et de « l’idéologie suicidaire du multiculturalisme ».
Ou bien, comme le nomme Friederike Beck : C’est la voie vers le « monde sans frontières » de la « totale société migratoire », sans États nationaux, sans frontières et avec le « free flow » des êtres humains et des prestations de services.
Les réseaux et les acteurs dans ce « jeu » autodestructeur sont multiples, innombrables et très puissants. Traiter chacun de ces aspects partiels remplirait des livres entiers ! Ici ne pourront être mis en lumière que certaines personnes, organisations, plans etc. importants. Du fait de la complexité, on ne revendique pas non plus l’exhaustivité. L’objectif est plutôt de prendre conscience de la portée de la thématique en soi. Seule une analyse claire peut montrer où se terre l’ennemi véritable des peuples matures d’Europe et du Monde. Sinon, il peut facilement arriver qu’on accuse et cible les mauvaises personnes, par exemple les migrants, qui ne constituent au bout du compte eux aussi qu’une masse manipulée dans ce cynique jeu de force.
La problématique du remplacement de population est arrivée au plus tard en 2016 dans le courant dominant. Cela est mis en évidence par une citation émanant de Martina Salomon du journal autrichien Kurier du 30 janvier 2016 :
Les chiffres du chômage se rapprochent à une vitesse effrayante du demi-million. Par conséquent, nous ne sommes plus depuis longtemps un pays modèle, bien que les dépenses sociales soient plus élevées qu’en Suède et en tout cas largement au-dessus de la moyenne de l’OCDE. […] Il n’est même plus sûr que nous soyons encore un pays d’obédience chrétienne dans lequel on parle allemand. Il suffit d’un voyage en métro à Vienne, pour être persuadé du contraire. »
Ici, Salomon rencontre sans doute la politologue américaine, Kelly M. Greenhill, quand celle-là estime :
Un réfugié est quelque chose de particulier.
Dix réfugiés sont ennuyeux.
Cent réfugiés sont une menace.
Concernant la thématique qui est l’objet ici, cela devrait être sans doute une pensée d’avant-garde. Comme autre pensée d’avant-garde au regard de la possible planification d’un remplacement de population par la (haute) politique, il convient sans doute de mentionner une citation connue attribuée au Président US F.D. Roosevelt :
En politique, rien ne se passe par hasard. Quand quelque chose se passe, on peut être certain que cela était également prévu de cette manière.
Ces deux spécifications sont tellement importantes également parce qu’en ce qui concerne en particulier la « vague de réfugiés », du côté des milieux économiques jusqu’aux représentants de l’Église catholique et des communautés religieuses protestantes, en passant par les médias et les sociologues, on faisait et on fait semblant de croire que tout cela « nous est tombé dessus de façon tout à fait surprenante » et ne constitue absolument pas un problème, mais au mieux un « défi » (VO Merkel : « Nous y arriverons ! »). Mais tout cela était-il vraiment surprenant ? Tout cela n’est-il véritablement pas un problème ?
Immigration de masse : une évolution surprenante ?
Pour le président de l’association fédérale de l’industrie allemande Bundesverband der Deutschen Industrie e.V., le « chef des chefs » allemand, Ulrich Grillo, il était clair dès 2014 – donc encore avant la vague migratoire de masse en 2015 – que la RFA a besoin de « réfugiés ». C’est ainsi qu’il a déclaré en décembre 2014 à l’agence de presse dpa :
Nous sommes depuis longtemps un pays d’immigration. […] En tant que pays riche… notre État doit accepter d’accueillir plus de réfugiés.
Et plus loin :
Je prends très nettement mes distances par rapport aux néonazis et aux racistes qui se rassemblent à Dresde et ailleurs.
Et pour finir, tout à fait dans le style de l’argumentaire habituel :
Au regard du développement démographique, nous assurons la croissance et la prospérité grâce à l’immigration.
Traduction par Jean Schoving pour Résistance républicaine
1,393 total views, 1 views today
Merci pour cette traduction.
Une remarque cependant, il ne s’agit pas de détruire les peuples du monde, non.
Cette idéologie autodestructrice ne s’attaque qu’à la race blanche.
L’Afrique restera l’Afrique, quel que soit le niveau de son émigration vers l’Europe.
Tout le continent indien restera indien et indo-musulman.
Quant aux Chinois et aux Japonais, ils seront à l’abri du métissage obligatoire que nous subissons.
il faut peut etre se debarasser des allemans blancs responsables de la shoah
apres il faut se debarasser des blancs responsables du colonianisme puis des blancs responsables de l’esclavage et alors le monde vivra dans la serenite totale inter ethnique sans les epouvantables blancs meme si leur genie inventif va manquer ,ainsi que la beaute physique de leurs femmes
Un réfugié, une intrusion, dix réfugiés , un bataillon, cent réfugiés, une invasion.