Mendicité, bagarres, drogues… l’insécurité explose dans la France en faillite de Macron

 

Des mendiants plein les rues, peut-être précipités à la rue par la crise économique que génèrent les politiques irresponsables de Macron qui s’en remet au « nouvel ordre mondial » au lieu de privilégier l’intérêt national, peut-être aussi des gens venus d’on ne sait où s’installer chez nous en se disant qu’il suffit de mendier pour gagner sa vie au pays des droitsdelhommistes…

Des bagarres entre « jeunes » qui, malgré la scolarité obligatoire jusqu’à 16 ans, se comportent comme des sauvages étrangers à toute idée de civilisation. Résultat d’une école en faillite, de relâchement éducatif plus généralement.

La drogue omniprésente puisque les « quartiers » sont protégés et les réseaux qui se nourrissent de l’importation de drogues du Maghreb et du tiers-monde prospèrent tranquillement dans un contexte de mondialisation forcenée…

Enfin, une police qui n’a jamais un véhicule de disponible, comme par hasard. Cela arrive souvent quand même de lire des articles où il est question de gens qui ont fait « le 17 » face à une agression et qu’on leur réponde qu’il n’y a pas d’effectif pour se rendre sur place… Bizarre bizarre.

Bref voilà la France pour laquelle des millions de gogos ont encore voté cette année.

Même les villes moyennes, médiocres de province subissent ce phénomène, ainsi que le relate un article de « la Charente libre » de ce jour.

Une France hétérogène sans ciment républicain, l’absence totale de cohérence du groupe social, l’interdiction officieuse de se revendiquer patriote, l’appauvrissement dû à une mauvaise gestion de la crise sanitaire et une politique belliciste contre la Russie, le chaos social et la banalisation de la gravité des attentats islamistes restés sans réponse significative du pouvoir politique nourrissent la violence quotidienne…

 

Bagarres, deal, mendicité. (…)

(…) samedi. Alors que la pénombre enveloppe le quartier, un jeune homme de 17 ans est molesté par un groupe devant le bar-restaurant L’Excellence, avenue de Lattre-de-Tassigny. Les premiers coups pleuvent. In extremis, la victime est mise à l’abri par un serveur, le temps que l’attroupement se dissipe. L’ado, habitué à zoner dans le secteur, est retrouvé quelques heures plus tard par la même bande qui, cette fois, le roue de coups. Le visage ensanglanté et la mâchoire fracturée, il trouve refuge au sein de la gare auprès d’un agent de sécurité, avant d’être pris en charge par les pompiers peu avant 22h.

Même incident il y a quelques semaines cette fois à hauteur de L’Atelier du blé noir, voisin de l’Excellence. Il est aux alentours de 21h, les clients, dont plusieurs familles, profitent de l’été indien en terrasse quand une bagarre d’une dizaine de personnes éclate. « J’ai appelé le 17, on m’a dit qu’aucun véhicule n’était disponible », grince le patron François Martinet.

(…) Sa galère ne s’évapore pas une fois le jour levé : « Même en journée, il y en a qui viennent directement mendier auprès des clients. Je viens bosser tous les jours car je n’ai pas le choix mais honnêtement je n’ai plus de motivation. »« Il y a une accélération du phénomène d’insécurité qui nous a été rapportée », confirme Jean-Philippe Pousset, adjoint à Angoulême en charge de la prévention et la sécurité. Un « ras-le-bol du quartier » décrit par François Martinet qui l’a poussé à mettre en vente son établissement.

Partir, Daniel Santos, à la tête de l’Hôtel d’Orléans, y pense aussi : « J’ai hâte de payer mon crédit et déménager. » Il dénonce des attroupements nocturnes quasi quotidiens aux abords de son établissement. (…)

À la gare, la présence de deux agents de sécurité n’empêche pas certains débordements, comme en témoigne la vitre fissurée d’une des portes automatiques, stigmates d’un affrontement : un homme tentant de fuir ses agresseurs l’a percutée. Sur le parvis, le mobilier extérieur de la cafétéria Trib’s, squatté par les marginaux, a quant à lui été démonté le mois dernier. Certains, qui s’y droguaient, se sont repliés sur les toilettes SNCF où des seringues ont récemment été retrouvées selon une source policière.

« Les bastons, c’est devenu le quotidien »

Autres témoins privilégiés : les chauffeurs de taxi. « Les bastons, c’est devenu le quotidien de la gare, constate Michel Lachaise. Nous on n’a pas de problème, mais c’est plus pour les clients que c’est gênant. » Son confrère, stationné devant lui, est moins serein : « Quand il faut venir tout seul le soir, ça donne pas envie. » Illustration mardi aux alentours de 23h : les pompiers, appelés pour porter secours à un marginal victime d’un malaise, ont demandé aux policiers de venir sécuriser les lieux le temps de l’intervention.

(…) Deux points de dealMi-septembre déjà, une cellule de veille entre les différentes polices et la préfecture s’est réunie afin de « mieux coordonner les actions à venir », selon la compagnie ferroviaire.

Comment expliquer une telle tension ? Les multiples opérations antidrogue menées au Champ-de-Mars ont déporté le trafic autour de la gare où deux points de deal ont germé : l’un au parking Effia à étages, l’autre au niveau du restaurant nocturne de burgers Night Food, place de la Gare.

Le second report vient du square Guelendjik, à La Madeleine, où une partie des marginaux, poussée par la police municipale, a migré vers la gare. Si certains adoptent une mendicité passive d’autres se montrent plus agressifs avec les voyageurs, cibles de crachats ou insultés. « Pour une première image de la ville, c’est décevant, euphémise ce chauffeur de taxi. Pas sûr qu’ils reviennent. »

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12 Commentaires

  1. Personne pour parler de cette fillette de 12 ans, qui a été à moitié décapitée et remise dans une malle dans le 19ème arrondissement de Paris.

  2. Aujourd’hui dimanche j’ai entendu sur les ondes de France Inter qu’une femme a été poignardée à Nantes ce matin et que le meurtrier était en fuite. L’annonce était faite banalement et succinctement sans déplorer la mort de cette femme. Tous ces crimes quotidiens perpétrés par des étrangers sont devenus banals. https://www.jeanmarcmorandini.com/article-515127-nantes-une-femme-de-47-ans-est-morte-ce-matin-en-pleine-rue-apres-avoir-ete-poignardee-a-plusieurs-reprises-par-un-individu-qui-a-pris-la-fuite.html

    • Ils sont présentés d’une façon banale, d’un ton totalement neutre, c’est volontairement, pour ne pas susciter d’émotion.

      Quand ils veulent nous faire larmoyer sur le sort d’une malheureuse qui ne peut pas porter le torchon islamique, là, ils mettent le paquet, sur sa liberté bafouée, sur son humiliation et bla et bla, les éternels mensonges gauchiasses.

  3. J’entendais hier sur France info, un chercheur ( CNRS ), s’exprimer sur le nombre de tués par des policiers pour refus d’obtempérer : 11 ! que ce n’était pas normal, :  » imaginez un enfant ou une autre personne dans le véhicule, il semble plus facile de tirer  » !
    Personnellement, monsieur le chercheur, je pense que personne ne se ferait tuer, même un enfant, si le véhicule s’arrêtait quand la police le demande, c’est le B A BA, alors inutile de chercher autre responsabilité ! et dire qu’il y en a de plus en plus, certes, comme il y a de plus en plus de voyous, ils suivent la courbe ! je peux même dire monsieur le chercheur, qu’avant, il n’y en avait pas ! cela vous étonne, ne cherchez plus, nous avons la solution, et surtout faites comme nous, ne vous habituez pas à la chienlit en disant que la police est moins bien formée, mais cherchez des solutions contre cette chienlit, si vous le voulez , vous en trouverez !

    • Bonjour,

      Oui, j’ai entendu ce type aussi.

      Même la présentation de France-Info était biaisée : en substance, « C’est la onzième personne tuée par la Police lors d’un contrôle ».

      Merveilleuse manière d’inverser les faits …

      • Ils ne prennent plus la peine de dire qu’il s’agissait d’un multirécidiviste, bien connu des services de police.

    • @Denise: Ce crétin est chercheur mais il n’a jamais rien trouvé. Ce n’est pas maintenant qu’il va commencer.

  4. Merci Maxime, tout est bien dit et ressenti ! il en découle que les citoyens doivent se débrouiller seuls, subir et surtout ne pas s’étonner d’une économie à l’abandon ! car cela compte aussi, mais on ne voit que la macro économie, c’est à dire qu’il faudrait travailler jusqu’à 65 ans pour palier à toute cette petite économie, cette ruche d’avant, qui est découragée en permanence ..comme les chauffeurs de taxi avec licence, dont vous parlez, alors que Macron préfère les Uber ..

  5. J’ai dû traverser pour m’être trompé de route deux quartiers pourris dans les villes voisines de chez moi. Une horreur. Des carcasses de voitures, de la saleté partout, des bandes qui traînent les mains dans les poches. La peur, l’impression d’être ailleurs qu’en France.

  6. C’est le monde de Macron, qui ne connait, qui ne côtoie, qui ne comprend que les riches, les patrons du CAC, que ce monde de l’argent où tout s’achète et se vend, que les Ukrainiens, que les femmes voilées… Ce qui se passe en France ne l’intéresse pas, mais uniquement ce que la France doit faire pour l’UE et les Ukrainiens … Car s’il s’intéresserait aux français, nous n’en serions pas là…
    https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/emmanuel-macron-s-est-engage-a-atteindre-l-objectif-zero-sdf-mais-la-realite-est-tout-autre-pour-les-personnes-sans-abri_128644.html

  7. C’est la France que le clown veut et les parisiens ont veauté pour. Qu’ils ne se plaignent pas, ils l’ont. Ils n’ont pas voulu un Zemmour, ils ont préféré un merluchon pas frais ou un clown. Pleurez maintenant.

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