Seuls des immigrés peuvent-ils déloger des squatteurs ?

C’est la question que je me suis posée  après avoir lu le court article de Valeurs actuelles du 4 septembre dernier.

Toulouse : des riverains délogent des migrants qui squattaient un collège

Les clandestins ont été priés de quitter les lieux qu’ils avaient illégalement investis.

Résumons : un ancien collège, qui ne sert qu’à des associations, squatté par des migrants. Des habitants du quartier sont arrivés pour déloger les squatteurs et la police ne les a pas empêchés d’agir, non elle a simplement sécurisé leur départ.
Si une poignée de militants de Génération identitaire, Reconquête, Résistance républicaine avaient entrepris de virer les squatteurs ce sont eux qui auraient été gazés, mis en garde à vue, jugés… Et les squatteurs auraient été protégés, bichonnés…
Ici rien de tout cela…
Rappelez-vous la scandaleuse affaire d’Arzon (Bretagne). Des migrants hébergés dans un centre, l’un d’entre eux agresse sexuellement une femme de 67 ans.
Des patriotes de tous bords décident d’aller manifester devant le centre de migrants, ils sont en position de supériorité, certains se disent qu’ils pourraient donner une leçon au violeur… la police arrive, exfiltre le salopard…
et, le lendemain matin, vient tirer du lit 3 des jeunes participants. Mais laisse courir le violeur dont on découvre qu’il en est à sa seconde agression sexuelle.  Comme il est mineur, il est intouchable.
Les 3 Identitaires sont jugés… et l’un d’entre eux, âgé de 19 Ans, se suicide.
L’horreur absolue. C’était il y a 6 ans mais rien n’a changé…
.
Il est évident que, à Toulouse, si les migrants ont été chassés du centre qu’ils occupaient c’est que ceux qui les ont chassés étaient eux-mêmes  intouchables car immigrés ou issus de l’immigration. Eux ont le droit de faire la loi, la justice, l’ordre… chez nous.
Nous, nous sommes condamnés.
Nous sommes déjà passés à un niveau d’occupation abominable, ce sont eux qui sont les maîtres…

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6 Commentaires

  1. Notre terre ne nous appartient plus, des communautés diverses s’en sont emparée avec l’aide des responsables politiques.
    Les cocus ont voté durant 50 ans pour ceux qui les entubaient sans vergogne.
    Et même aujourd’hui, après avoir vécu tous les drames apportés par cette immigration imposée, les cocus n’ont pas osé voter aux présidentielles, ils ont préféré avoir peur de Marine.
    Le jour où un de leurs parents sera égorgé, il n’est pas certain que ces cocus comprennent.

    • Fin de la phrase : le jour où un de leurs parents sera égorgé, il n’est pas certain que ces cocus comprennent leur terrible responsabilité.

  2. Nous sommes tous des migrants, nous Français, nous avons été chassés des banlieues, de certains quartiers. Nous sommes des réfugiés, nous avons droit à un statut et à des indemnités ! Nous devons être reconnus par l’État !Par contre je n’irai jamais squatter les appartements des quartiers sensibles peuplés par des CPLF, trop dégueulasses ! Des trous à m…

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