Son appartement squatté, Jeannine, 59 ans, tente de s’immoler sous les fenêtres d’Hidalgo

Paris : son appartement occupé par un squatteur  naturalisé Français récemment, elle tente de s’immoler sous les fenêtres d’Anne Hidalgo

La victime a été transportée à l’hôpital. Elle voulait attirer l’attention de la maire (PS) de Paris sur sa situation. Elle a reçu en héritage un studio de sa mère qu’elle ne peut ni occuper ni vendre. Il est squatté depuis des années.

Hidalgo ne fera rien pour les propriétaires victimes des squatteurs ! 

Elle et son lieutenant communiste Brossat ne rêvent que de loger les clandestins !

Un appel au secours et un acte désespéré. Une femme a tenté de s’immoler ce mercredi midi devant les fenêtres de la maire (PS) de Paris, Anne Hidalgo. Le drame a eu lieu à 13h55 place de l’Hôtel de Ville (IVe).

Sur les images des caméras de surveillance, on voit arriver la victime.

Elle s’asperge d’essence avant de tenter d’allumer un briquet. Maîtrisée à temps par un équipage de police secours, elle est plaquée au sol. Les pompiers de la caserne Sévigné (IVe) interviennent. La victime est emmenée à l’hôpital, le parquet de Paris avisé.

« Madame Hidalgo ! Aidez-nous ! »

Jeannine, 59 ans, Parisienne, inconnue des services de police, femme de ménage dans les écoles, voulait interpeller la maire de Paris. La victime a d’ailleurs déployé une pancarte explicite : « Madame Hidalgo ! Aidez-nous ! On vous en supplie. En signant la pétition. Nous avons hérité d’un petit studio à la mort de notre mère en 2018. Un faux locataire occupe les lieux avec sa famille. Nous ne pouvons rien faire. La justice nous laisse tomber ».

Postée sur Change.org, la pétition « Aidez cette famille afin que leur appartement leur soit restitué » a recueilli 202 signatures. « C’est juste notre petite famille et nos amis qui l’ont signé, indique Marjorie, la belle-sœur de la victime. Nous, on n’est pas trop réseaux sociaux. À l’origine, c’est une dame qui nous a gentiment proposé de nous aider, après avoir entendu notre histoire à la radio la semaine dernière. »

Le cauchemar commence en 2018. Jeannine, Pascal et Monique héritent à la mort de leur mère d’un studio de 26 m2 dans le chic quartier Latin, rue Saint-Séverin (Ve). Sa valeur avoisine les 350 000 euros. La famille découvre alors qu’un homme, sa femme et ses trois enfants s’y sont installés depuis 2010 à la suite d’un « vrai » locataire, sans rien dire à personne. Ils ont profité de la maladie de la propriétaire âgée et sous tutelle. Ils n’ont pas de bail mais payent quelque temps un pseudo-loyer de 540 euros, au début des années 2010, à une agence immobilière peu regardante. Aujourd’hui, le dossier est entre les mains d’un mandataire.

La procédure d’expulsion traîne depuis 3 ans

Démunie, la famille enclenche une procédure judiciaire pour une expulsion, « un calvaire sans nom », selon Pascal. « On est en procédure depuis trois ans. Le père de famille squatteur, naturalisé Français récemment, travaillerait et aurait même deux sociétés. Il a aussi pris un avocat. »

Jeannine, Pascal et Monique, cette dernière habite à Tourcoing (Nord), ne sont pas fortunés. Le mari de Monique est guichetier à la Poste. Le trio se retrouve alors dans une situation surréaliste. « Les charges d’immeuble tombent. On reçoit les factures. Il y a des travaux. On ne peut pas payer. On a pris des crédits pour faire face, détaille Marjorie. On est allés jusqu’à envisager de vendre l’appartement une bouchée de pain à des sociétés qui vendent à prix bradés des appartements squattés. On a eu une offre à 100 000 euros. On a aussi les frais d’avocat. »

Les propriétaires ont dû leur payer une chambre d’hôtel !

 

Pascal raconte le dernier épisode « qui nous a achevés ». De lourds travaux ont été lancés dans l’immeuble ancien. Pendant quinze jours, les occupants ont dû aller habiter ailleurs. Y compris le squatteur et sa famille. « On a dû leur payer quinze nuits dans un Appart’City. Ça nous a coûté 3 200 euros. »

Ce n’est pas la première fois que des propriétaires se retrouvent dans des situations de cet ordre.
Il y a un an, en janvier, une propriétaire d’un studio rue de Trévise (IXe) a failli se retrouver à la rue et ruinée à cause d’une squatteuse.

Samedi dernier, le sujet s’est à nouveau invité à Bobigny (Seine-Saint-Denis). 23 personnes qui voulaient déloger des « squatteurs » ont été placées en garde à vue.

Voir article RR du 18 janvier : Avec Macron, c’est les défenseurs des squattés qui sont en garde à vue…

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8 Commentaires

  1. Voilà l’état de la France sous Macron, les français payeurs sont foutus dehors , pour laisser la place aux squatteurs souvent immigrés, qui ne payent rien.
    Tout ça à cause d’un pouvoir, qui a la haine des propriétaires , c’est bien connu les cocos, les dégénérés d’ecolos et les socialos en font partie.
    Mais ces mésaventures peuvent arriver à tout le monde
    Même aux locataires.
    Pour loger leurs pots migrants voyous souvent assassins. Ils sont prêts à tout.
    Français armez vous avec Zemmour la délivrance approche.

  2. Elle a dû bien rire notre drame de paris… C’est elle qui incite les envahisseurs à se comporter de cette manière…

  3. Si cette pauvre femme attendait un geste d’humanité de la part de la salope, la reine des rates, elle n’a pas compris ce qu’est la gauche caviar.

  4. Je ne comprends pas que ces personnes spoliées et exploitées, puissent encore croire à la justice . Au lieu de payer l’hôtel aux squatteurs , ils auraient dû récupérer leur bien et changer les serrures.
    Les Français sont vraiment trop gentils, ils se contentent d’obéir à la loi, même quand cette loi est là pour les entuber.

  5. Ce phenomene est franco francais et pour moi definit la degenerescence de cette societe,
    Ce qu’ils se passe est a mon sens une conequence du lobby des avocats qui veulent sans cesse se faire du fric et sont arrives a se substituer a la puissance publique apres les fameuses 48 h faut en passer par eux…..totalemenent anormal et cette histoire des 48h est a mon sens anticonstitutionnelle a partir du moment ou dans notre constitution de 1958 on y a rattache ayant force de droit la declaration des droits de l’homme de 1789.
    Et que dit cette declaration au sujet de la propriete
    Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
    LA PUISSANCE PUBLIQUE DOIT DONC Y VEILLER ET AGIR 48H OU PAS DEPASSEES
    Faut que ceux qui sont squattes attaquent en conseil d’etat l’Etat francais pour non respect de cet article.

  6. J’en appelle aux patriote Parisiens. Réunissez vous, sans tel portable et mettez au point les actions qui s’imposent.
    Pas de communication sur les réseaux sociaux.
    Il suffit de 5 ou 6 personnes déterminées.
    Il faut aussi savoir ou le père de famille travaille.
    Après je vous laisse choisir la ou les méthodes pour le convaincre de rentrer dans le droit chemin. Sans violence bien sur, parceque c’est vraiment pas bien d’être violent avec les voleurs. J’espère que nous nous sommes bien compris.

  7. Tous pour la diversité surtout muzzs, mais pas que, et toujours sur notre dos. Cela s’appelle le grand remplacement.
    La seule solution actuellement, avec ces guignols qui nous dirigent (diriger, pas gouverner, gouverner c’est pas ça) c’est Éric Zemmour.

1 Rétrolien / Ping

  1. Son appartement squatté, désespérée, Jeannine, 59 ans, tente de s’immoler sous les fenêtres d’Hidalgo. Marre de la politique du pire envers nos concitoyens français ! Celle-là ne nous manquerait pas, bien au contraire, si elle retournait dans s

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