Communautarisme turc : « Claire ? C’est quoi ce prénom de merde ? »

L’amoureux de la France qui avait 20 ans en 1960 ne pourrait la reconnaître en 2021. Après des années d’immigration incontrôlée, notre pays poursuit sa désintégration sous les coups de butoir d’un islamisme conquérant allié à un facho-gauchisme complice.

Ainsi, en octobre 2020, la décapitation de Samuel Paty et l’attentat de la basilique de Nice auraient dû susciter une réponse forte du gouvernement, à la mesure de ces horreurs à répétition. Mais quatre mois après, la montagne accouche, comme d’habitude, d’une souris (« loi confortant les principes républicains ») et la gauche en vient à vouloir dissoudre Génération Identitaire, pointer du doigt les « certificats de virginité évangélistes » et dénoncer le « voile catholique » à l’Assemblée.

Il était pourtant facile de trouver des pistes pour – s’il n’est déjà pas trop tard – contrecarrer l’islamisation-désintégration de la France, ce « suicide français » si bien décrit par Eric Zemmour. A la lecture de cet entretien du Figaro avec la journaliste Claire Koç, française d’origine turque alévie, il paraît évident que la plus grande erreur de Macron et de ses prédécesseurs fut d’abandonner la notion d’assimilation.

Ainsi, dans son récit, Claire Koç pointe les symptômes de la partition : rejet des prénoms « français », Grand remplacement, paraboles et influences étrangères, communautarisme et antagonismes ethniques (détestation entre Turcs et Arabes !), abandon de la langue française, fierté identitaire (interdite aux Gaulois !) et invasion migratoire.

L’assimilation, c’est ajouter sa pierre à la construction d’une communauté nationale alors que le multiculturalisme, somme des nationalismes identitaires étrangers, n’aboutit finalement qu’à sa destruction.

C’est pourtant, avec la diabolisation de l’identité nationale, le choix de Macron et de la gauche depuis 40 ans.

Claire Koç: «Les Français dits de souche m’ont servi de modèle!»

GRAND ENTRETIEN – Fille d’immigrés turcs, Çigdem Koç est devenue Claire Koç en 2008. Dans Claire, le prénom de la honte(Albin Michel), la jeune journaliste raconte le cheminement qui l’a conduite à faire ce choix. Son témoignage est à la fois une plongée dans une France en voie de désintégration et un éloge de l’assimilation.

Par Alexandre Devecchio et Victor Rouart

LE FIGARO MAGAZINE. – Pourquoi avoir choisi de changer de prénom et de vous appeler Claire ?

Claire KOÇ. Ce prénom est mon adoption à cette grande famille qu’est la France. C’est un choix personnel qui relève de mon identité intérieure. Un choix de cœur et d’esprit.

Vous attendiez-vous à ce que votre choix soit si mal accepté ?

Je ne m’attendais pas à un tel dénigrement… En revenant chez mes parents avec ma carte d’identité et mon prénom «français», j’ai été rabaissée, humiliée.

«Quoi Claire? C’est quoi ce prénom de merde? Tu as honte de ce que tu es ?»

Ils affirmaient que Claire voulait dire «sale» en turc, mais c’était faux (en fait, c’est une traduction libre de notre dialecte anatolien). C’est la première chose qui leur est venue à l’esprit.

Pour autant, je ne renie absolument pas mon identité turque, elle est présente, ce serait insensé de la rejeter. J’avais un prénom difficile à prononcer (Çigdem). Je sentais souvent des difficultés de prononciation à l’école, dans les administrations, etc. Je ne voulais plus être une personne différente des autres. Mais, en devenant Claire, je n’avais pas mesuré le prix à payer…

Vous dites que vous avez grandi dans un cadre homogène culturellement. Comment vous est venu cet amour de la France malgré cet environnement défavorable?

Quand nous sommes arrivés en France en 1984, je me souviens de mes années de primaire. Nous vivions dans une cité HLM d’où les Français dits de souche commençaient à partir.

Il en restait quelques-uns qui m’ont servi de modèle. On entendait de la musique française. Nos voisins nous apportaient des plats qu’ils avaient préparés pour nous les faire goûter. Nous avons découvert le pot-au-feu! Même le jambon était présent, il n’y avait pas toutes ces querelles et notamment le tabou alimentaire. Nous allions à l’église, on allumait des cierges à Noël, on fêtait l’Épiphanie sans connotation religieuse derrière, nous appliquions les traditions du pays d’accueil.

Au fur et à mesure, notre cité s’est vidée des derniers «Gaulois», comme ils étaient appelés. Chaque famille était remplacée par une famille turque ou provenant d’une immigration de culture musulmane. Tous se sont repliés sur eux-mêmes doucement et l’antenne parabolique est apparue, ce qui constitue le moment fatidique selon moi. Tous étaient connectés en permanence avec la Turquie.

Nous vivions, mangions, dormions à l’heure turque. Nous étions en Turquie, plus en France. Quand je rentrais de l’école où j’avais parlé français toute la journée, à peine mon cartable posé, j’étais revenue en Turquie.

La France était devenue inexistante. Des associations conseillaient même à notre communauté de poursuivre sa façon de vivre sans faire le moindre effort d’intégration.

Mais, avant que mes parents se referment sur la communauté qui devenait de plus en plus nombreuse dans notre cité après 1984, ils m’avaient ouverte à la France. Ils ont semé des petites graines mêmes si elles n’étaient pas nombreuses. En plus, j’avais la chance d’appartenir à une famille qui n’était pas liée à la rigueur de l’islam sunnite.

Nous sommes alévis, une minorité religieuse turque qui a subi des massacres, qui a été confrontée à l’horreur au cours de l’Histoire…

 

 

Et pourtant pour votre famille et votre entourage, l’assimilation n’a pas fonctionné. Pourquoi?

La raison est évidente lorsque l’on est confronté à une forte concentration d’une population endogame dans une zone identifiée.

Les individus sont tous les mêmes, il n’y a plus besoin de parler français. Par exemple, en présence d’une forte communauté turque dans une cité, les commerces deviennent turcs: musique, alimentation, vêtements. Mon boulanger était turc, l’épicier aussi. C’est ça le communautarisme. Aucun espace n’est plus accordé à la France.

Et les communautés ne se mélangent pas dans les cités. Ces communautés ont aussi importé leurs problèmes en arrivant en France.

Les Turcs ont une détestation profonde des Arabes et les Arabes des Turcs. Ils ont leurs cafés, leurs lieux.

Sur fond d’immigration massive et de multiculturalisme, l’assimilation républicaine est-elle vraiment encore possible?

Oui, j’ai envie d’y croire car je ne suis pas seule, nous sommes nombreux mais très silencieux…

Et ce sera possible grâce à l’école en revalorisant le métier d’enseignant. Cette profession n’est plus estimée à sa juste valeur. Un professeur gagne très mal sa vie, l’enseignement est mal appliqué, les conditions sont déplorables, un manque d’autorité se fait ressentir…

L’école doit d’abord apprendre à être fier d’être un citoyen français. Quand j’étais petite, j’allais dans une école turque pour apprendre la langue. Mes parents souhaitaient que je reste turque dans tous les aspects de ma vie.

La première chose dispensée dans cette école, c’était «je suis turque, je suis fière». Comment se fait-il que soit enseignée la fierté d’appartenance à une nation étrangère sur le territoire français? «Je suis français, je suis fier» devrait être la base de l’enseignement. On a laissé croire que cette formule serait fasciste.

Ailleurs dans le monde, l’adhésion aux valeurs du pays d’accueil ne se discute pas. Les citoyens sont attachés à leur pays. Ce qui me frappe, c’est qu’on nous affirme toujours que la France a beaucoup à apprendre ou à s’enrichir de l’étranger. C’est vrai.

Mais jamais on ne nous dit que l’étranger a beaucoup à apprendre ou à s’enrichir de la France. Étonnant quand on pense à la fascination que notre pays a exercé sur le monde.

Que pensez-vous de l’influence d’Erdogan sur les ressortissants turcs qui habitent en France?

J’évoque dans mon livre le réseau tentaculaire d’ONG et d’associations turques qui existent en France et qui ont émergé depuis qu’Erdogan est au pouvoir en Turquie, et même depuis que la Turquie est au Conseil de l’Europe.

Erdogan est extrêmement populaire dans son pays parce qu’il a rendu aux Turcs leur fierté. Avant – ou en même temps – d’être un religieux, c’est un patriote. Depuis Atatürk, c’est le premier dirigeant de ce pays à se faire un nom mondialement reconnu. Ça compte et les Turcs adorent. Qui n’a pas compris ça, n’a rien compris…

Les partisans d’Erdogan exercent un lobbying en infiltrant des associations, des partis politiques, en imposant des créneaux de piscine pour les femmes. Voilà le séparatisme. Le président turc se fait le chantre de l’antiterrorisme, de l’antiséparatisme dans son pays où il condamne les Kurdes du PKK. Les alévis constituent également l’une des minorités qui a été la plus persécutée.

Erdogan voulait assimiler cette minorité et le faire par la force ne lui posait aucun problème. En revanche, quand il tient un meeting à Paris en 2010 en demandant aux ressortissants turcs de ne pas s’assimiler et en affirmant qu’ils sont les ambassadeurs de la Turquie en Europe, tout est permis. Pour lui, l’assimilation est à sens unique.

Nous n’avons pas l’obligation, en tant que Turcs, de suivre le chemin sur lequel Erdogan engage la Turquie: celui de l’islamisation.

Vous êtes pour le durcissement des conditions d’obtention de la nationalité française. Existe-t-il, selon vous, un lien entre une immigration mal maîtrisée et la difficulté de s’intégrer et de s’assimiler?

Un problème fondamental auquel la France est confrontée est la présence sur son sol de certains individus qui ne se reconnaissent pas dans la culture française. Il faut en priorité s’occuper de ces individus. Ils ignorent les codes nécessaires pour devenir français. Les raisons qui les poussent à se diriger vers la France sont très souvent économiques et n’ont rien à voir avec l’amour du pays de Voltaire.

Il ne s’agit pas de les blâmer, mais la France n’est pas un eldorado.

Le problème est aggravé par des mouvements internes: certaines associations ou certains intellectuels militent contre l’obligation pour les nouveaux arrivants d’apprendre le français, pour rendre les conditions d’obtention de la nationalité française moins contraignantes et faire que la culture générale ne soit plus un critère déterminant.

Chacun peut donc importer sa culture d’origine sans contrainte ? S’il n’y a plus l’obligation d’apprendre la langue d’accueil, comment construire une nation ? Dans ce cas, le sentiment d’appartenance n’existe pas…

Aujourd’hui pour vous, qu’est-ce que signifie «être français»?

Aimer la France. «Il n’y a pas d’amour, que des preuves d’amour.» Mon prénom Claire, mon livre, constituent des preuves d’amour envers la France.

 

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22 Commentaires

  1. et Mitterand ce mondialiste europhile et cet immigrationniste convaincu
    qui aimait à dire que : « le Nationalisme c’est la guerre »
    dans le sens islamique du terme et du panarabisme
    l’histoire contemporaine lui donne effectivement raison
    puisque qu’à cause de ce nationalisme islamique arabe, turc, maghrébin, africain
    il va y avoir et ceci sans l’ombre d’un doute une guerre et l’une des plus sanglantes
    en Europe en général et en France en particulier
    et qui sera à la fois civile, ethnique et religieuse !

  2. Liste de prénoms de m…portés par des personnalités d’ascendance turque ou apparentée,
    Françoise, Isabelle, Robert, Rudolph, Boris…
    Françoise Giroud , née Gourdji, fille de Saint.
    Isabelle Adjani, qu’on ne présente plus.
    Robert Hossein (d’ascendance azérie, donc turque)
    Rudolph Nouréev (fils de tatar)
    Boris Johnson, premier ministre britannique en exercice, petit-fils d’Ali Kemak Bey, haut fonctionnaire ottoman.
    Et vlan!
    Vive la France!(ou l’Angleterre ou les États-Unis qui offre une chance de vivre libre en adhérent à une nouvelle patrie)!
    Et que vivent nos prénoms français et européens!

  3. Lucidité et courage, ce qui manque dramatiquement à nos dirigeants. Quand un immigré s’installe en France, il se doit de l’épouser, de devenir un Français de coeur et d’esprit, de ne pas chercher à imposer sa culture fondamentalement opposée, tel un conquérant .. comme l’atteste le terrorisme islamique, les territoires perdus par la République, les communautarismes qui défient l’unité, l’indivisibilité de notre peuple et notre dignié, au point d’amener nos policiers à subir les injures et à fuir ….
    Claire invite clairement à combattre et à se libérer de ce qui détruit le pays qu’elle a librement choisi, sans pour autant renier ses origines.
    Il est urgent que les Français de coeur et d’esprit, de toute origine, s’unissent pour chasser les ennemis de la France, qui s’y installent autoritairement, grâce à une immigration aussi incontrôlée que mortifère conduisant inéluctablement au grand remplacement, à la poursuite de l’extinction des lumières de la France.
    Un peuple n’existe que par l’identité qui lui est propre et non par le multiculturalisme qui ne développe que la confrontation. L’idéologie de l’Islam le démontre sans équivoque : Dans quel pays musulman subsiste durablement le multiculturalisme ? Aucun, ou son hégémonie s’impose à tous, ou les conflits ne cessent, et le refus de l’autre va jusqu’au son massacre, dans l’indifférence de nos dirigeants, comme si c’était inéluctable, tel un sort auquel il faudrait se soumettre totalement un jour …
    Certains utopistes croient à un Islam de France. Pour qu’il se concrétise, il faudrait supprimer nombre de versets du Coran, ce qui signifierait renoncer à son idéologie suprématiste totalitaire inégalitaire, ce qui peut sembler un temps tant que le nombre et la force nécessaire des mahométans sont insuffisants.
    Mais, incontestablement, le nombre colonisateur grandit avec le mépris des colonisés que nous devenons, de par la faute de nos dirigeants depuis des dizaines d’années.
    Il faut vraiment être aveugle, stupide et faible pour ne pas constater qu’ils s’imposent, exigent et deviennent de plus en plus menaçants.
    C’est pourquoi, il faut, urgemment, que les Français de coeur et d’esprit, les divers mouvements politiques, attachés à notre patrie, s’unissent, fassent fi des ego et petites différences, pour présenter, à la prochaine présidentielle, un programme commun de libération et de redressement de la France, qui sombre en tout point et qui devient ainsi de plus en plus colonisable et soumis.
    L’exemple récent de De Gaulle qui a su redresser la France, prouve, malgré tout, que les Français peuvent retrouver leur dignité, et la France, son éclat.
    Les dirigeants politiques lucides et courageux, les personnalités qui aiment la France doivent se rencontrer pour former un parti unique qui pourrait s’appeler : Union sacrée, ou, Union pour le Redressement de la France,
    ou Union des Français de coeur et d’esprit,de toute origine …

  4. Bienvenue à bord, Claire.

    Si le  » puzzle de l’intégration  » ( pour reprendre la métaphore de Malika Sorel) ne fonctionne plus, c’est parce qu’il y a beaucoup trop de pièces en trop.

    On assimile des individus, pas des peuples.

  5. Un témoignage de plus sur la gangrène qui ronge notre patrie et que bien des connards refusent de voir , bravo a cette jeune femme qui a fait le bon choix .

  6. Francoise Giroud née Gourdji et Isabelle née Adjani ont donc des prénoms de merde selon leurs dire?
    Sans oublier Robert né Hossein(d’origine azérie donc « turque »), et encore Rudolph né Noureev (tatar) .

  7. Je regardais une vidéo de RCF, également une radio catholique, immigrationniste ( l’équivalent de BFM !) qui avait invité le 20/10/2019, une berbère, Sabah Rahmani, journaliste, diplômée en anthropologie, auteur d’ un livre « Paroles des peuples racines » .
    Elle disait que l’ONU, par sa déclaration de 1988, reconnaissait le droit au territoire, leur mode de vie traditionnel, le droit à la reconnaissance identitaire, et de leur langue, à leur coutumes ;
    Je me suis identifiée, un peu de façon hasardeuse, mais tout de même, à ce que l’on veut faire des pays occidentaux, de la France .
    Ce sont des peuples discriminés, sur tous les continents, les Sami, au nord, en Finlande, en Norvège, puis les aborigènes, les Massaî ..Ils ont pour certains, un parlement mais leurs revendications ne sont pas reconnues . Ils sont les  » gardiens de la nature « , et ils souffrent de la prédation abusive de leur matières premières, par les pays occidentaux et leurs modes de vie ! il y a spoliation de leur terre par les multinationales, ( et nous, nous subissons la désindustrialisation ), de l’accès à l’eau et leur nourriture ( les bouchmens, les pygmées, les kanaks, ils sont 370 millions ) .
    Les peuples autochtones s’organisent en association, et un de leurs moyens d’action est que les jeunes aillent à l’Université car ils ont besoin d’être entendus par les occidentaux !
    Je me demandais pourquoi RCF, avec sa bien pensance, pouvait rendre compte de la souffrance des peuples quand elle n’entend pas la notre, avec notre besoin, nous français, d’un territoire, le nôtre, nos coutumes, notre langue, notre reconnaissance identitaire et notre mode de vie traditionnel, et la discrimination parce que blancs etc , et approuvé par l’ONU ?

  8. Hélas, il existe une Claire Koç pour dix mille migrants non assimilables. Je crois que le ratio est même plus défavorable, encore.

    • @Julie
      Vous avez complètement raison et malheureusement ceux qui veulent s’assimiler servent en fait sans le vouloir de prétexte aux
       » islamocollabos » qui ont décidé de nous imposer de tout supporter de la masse de ceux qui par contre nous prouvent leur volonté d’imposer leur culture et mœurs mahométanes en France !
      Car ainsi que le disait le Général De Gaulle : « On assimile des individus, mais on ne peut assimiler des peuples ».
      Or, l’Europe dont la France, ont commis depuis des décennies l’erreur funeste (mortelle) de laisser se constituer sur notre continent des peuples étrangers identitaires qui par définition ont dépassé la masse numérique acceptable qui ne leur aurait pas donné envie et permis de se constituer en territoires particuliers qui deviennent au fil des jours sécessionnistes !

      • Exactement une très petite minorité peut  » s’assimiler », l’Europe et notamment la France n’a pas vocation à assimiler la terre entière, en tant que Gascon je fais partie des peuples autochtones Français avec les Bretons Normands Basques etc. Nous ne voulons pas disparaitre car depuis la révolution française l’État n’a eu de cesse d’étouffer nos traditions respectives mais après avoir subi échec sur échec car l’âme gauloise étant très vivace et en quête de liberté, ils ont donc eu besoin au recours depuis 50 ans à l’immigration invasion extra-européenne pour nous faire disparaitre enfin définitivement..

        • Bien que patriote depuis toujours, j’ai souvent trouvé injuste la façon dont l’État Français a traité les particularités et les traditions régionales. On oublie par exemple de citer qu’après 1918 les maîtres et maïtresses du Primaire en Alsace servaient de relais auprès des autorités, et donc demandaient à leurs élèves de leur dénoncer leurs parents lorsque ceux-ci continuer de parler en Alsacien à la maison…

  9. Les turques vivent chez nous avec la haine du francais Ils abordent le drapeau turc sur leurs voitures sur leurs vêtements même leur bijoux sont à l’effigie de la Turquie On se demande ce qu’il foutent chez nous il serait temps qu’on dise à ces gens-là de faire un choix la France ou retour chez eux

    • Caf , Pole emploi , Parent isolé , sécu , Allocs diverses et variées , prime de rentrée des classes , un peu de trafic c’est totalement impuni ….tout ça en turquie ….j’ai un doute …tout comme pour tous ceux qui débarquent d’afrique ils ne viennent chez nous que pour profiter de la distribution de notre fric et rien d’autre pour eux on est les rois des cons ! Et ils ont raison !

  10. Il faut virer tous ces trublions qui doivent rentrer dans leurs pays respectifs et restaurer la loi et l’ordre !

  11. Je vais encore me répéter, mais le jour ou nous serons vraiment obligés de réagir et tirer dans le tas pour sauver nos vies , il sera très difficile de savoir au faciès ,reconnaitre dans le tas les bons des mauvais !!

    • Repérer, le moment venu, les ennemis au faciès pourrait effectivement conduire à des erreurs dramatiques.
      Les deux critères suivants devraient êtres nettement plus fiables :

      • pour les hommes : barbe islamique
      • pour les pondeuses : voile ou bâche.

      Conseil aux hommes français patriotes barbus : rasez vous pendant qu’il en est encore temps.

      • C’est très judicieux, Gloup la grenouille, mais, si je ne m’abuse, les grenouilles n’ont pas de poils?
        Y en a qui sont favorisés!
        Pas de barbe, pas de tenues folkloriques (ethniques!) tenue léopard et bottes de saut!
        Les commandos partent à l’aventure, …..!
        Bonne chance à toutes et à tous,
        Gérard

  12. « L’amoureux de la France qui avait 20 ans en 1960″

    palsambleu! ils m ont retrouvé !!! 😆 😆

  13. Voila le cas de Claire,une bonne assimilation mais pour la plupart ils vivent comme dans leur pays d’origine avec les mêmes coutumes,façon de vivre etc et même leurs enfants nés ici font pareil ,ils ne veulent pas s’assimiler, donc dans ce cas pourquoi rester ici ,ils feraient mieux de repartir dans leur pays .ah oui mais la bas pas d’aides sociales .

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