Blanquer veut que nos enfants apprennent l'arabe à l'école mais refuse qu'ils étudient la Bible !

L’affaire scandaleuse de Mathieu Faucher, déplacé en 2017 pour avoir étudié la Bible avec ses élèves de CM1-CM2 en témoigne.

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/malicornay-la-sanction-tombe-et-revolte

Sachant que le « fait religieux » fait partie des programmes. 

Sachant que la Bible et notamment l’Ancien Testament fait partie, comme l’Iliade et l’Odyssée des textes fondamentaux les plus anciens, témoins de l’histoire des origines, fantasmes, réelles ou allégoriques, ce sont des écrits qui sont dans les programmes scolaires. Et on ne parlera pas de la nécessité pour nos enfants de savoir décrypter et comprendre les nombreuses oeuvres qui y sont liées, tableaux des musées ou des églises, calvaires, oeuvres littéraires ou musicales, même la pub est liée à l’histoire mythique de l’humanité. Adam et Eve, faudrait pas connaître ? Faudrait pas pouvoir décrypter ? De passage près de Lourdes il y a 2 ans, moi l’athée j’ai explicité les tableaux se trouvant dans l’église de la Nativité pour les enfants des amis qui nous accompagnaient. Et ils étaient plus que curieux et intéressés de savoir… 

Bref, c’est le cabinet de Blanquer qui a fait appel quand Mathieu Faucher avait gagné son procès… Ben oui, faut pas froisser les éventuels parents d’enfants musulmans en classe. Ben oui faut pas freiner l’islamisation et le djihad…

Vous avez bien lu… ces Jean-Foutre qui n’en ont que pour l’islam et l’arabe ne supportent pas que l’on parle  aux enfants de la Bible… A vomir ! A juger d’urgence ! A chasser d’urgence ! 

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Merci à Denise qui nous a indiqué l’article ci-dessous.

Matthieu Faucher : « Le problème, c’était la Bible. À leurs yeux, la Bible ne devait pas mettre les pieds à l’école »

Matthieu Faucher, instituteur à Malicornay, dans l’Indre, avait été suspendu en 2017 par son directeur académique pour avoir fait étudier la Bible à ses élèves de CM1/CM2. Accusé de prosélytisme, dont il s’est toujours défendu, il mène, depuis, une bataille judiciaire contre le ministère de l’Éducation nationale. La cour d’appel administrative de Bordeaux vient de lui donner enfin raison, écartant tout soupçon de prosélytisme et de faute professionnelle. Il revient avec nous sur ces quatre ans de combat face à une institution défectueuse et à certains de ses éléments idéologues.

Alors que la cour d’appel administrative de Bordeaux vient de vous donner raison, quatre ans après le début de ce qui deviendra « l’affaire Malicornay », comment vous sentez vous ?

Je me sens très heureux et plein d’espoir pour la suite. Je pense que cette victoire va en amener d’autres. C’est une des rares bonnes nouvelles de cette année 2020 !

Avez-vous l’impression que le combat est achevé, maintenant ? 

Au contraire, j’ai l’impression que cela ne sera jamais terminé. Il y un avant et un après « l’affaire Malicornay ». Je ne retournerai pas à la quiétude connue autrefois, avant que la hiérarchie ne me suspende. La traversée de cette affaire m’a fait prendre conscience de beaucoup de failles dans l’Éducation nationale, qu’auparavant je ne voyais pas…

Quelles failles ? 

Je ne mets pas tous mes supérieurs hiérarchiques dans le même sac, mais certains, dans mon administration, ont fait des erreurs très graves. Et pour aggraver la situation, j’observe, dans l’Éducation nationale, une incapacité à faire marche arrière. Beaucoup de monde savait que c’était une erreur de me suspendre, pourtant, personne n’a cherché à arrêté la machine. Comment se fait-il qu’il n’y ait eu personne, aucun supérieur, pour dire que cette procédure était folle, insensée ? Ce silence est révélateur de graves dysfonctionnements.

Sur la forme, vous avez observé des dysfonctionnements. Et sur le fond, quel était le combat ? Selon vous, cette victoire judiciaire est un pas vers quoi ? Vers la liberté d’expression, vers l’enseignement ? 

En plus de la question des dysfonctionnements dont je vous ai parlé, il y avait par ailleurs la question de l’enseignement laïc du fait religieux, qui consiste, pas seulement mais en grande partie, à transmettre la culture qui accompagne la religion. On m’a reproché d’avoir fait travailler mes élèves sur des extraits de la Bible… Pourtant, c’est autant de la culture que de la religion. D’autant plus que je l’ai abordé d’un point de vue laïc, distancié, pour apporter à mes élèves une culture qu’ils n’auront sinon. C’est d’autant plus important que la déchristianisation est passée par là. En tant qu’instituteur, ce n’est pas à moi de juger si c’est une bonne chose ou pas, mais cette déchristianisation s’accompagne d’une perte énorme de culture. Les jeunes générations évoluent dans un monde dont ils ont perdu les clefs de compréhension. Ils vont se retrouver coupés de 1.500 ans de culture et civilisation qui les ont précédés. En tant qu’instituteur, cela me concerne.

Dans cette affaire, vous avez reçu le soutien de Régis Debray qui, lors d’une réunion de soutien en février dernier, avait évoqué votre situation dans les termes de « répression » et « censure ». Vous suspendre pour avoir parlé de la Bible, c’était de la censure, selon vous ?

Je ne pourrais pas parler de censure institutionnelle. En réalité, je me suis rendu compte que l’institution n’était pas monolithique. À cette réunion que vous évoquez justement, deux cadres de l’Éducation nationale se sont présentés pour me soutenir, me prouvant que je n’avais pas toute l’institution contre moi. S’il y a censure elle serait plus individuelle : l’enseignement du fait religieux faisait partie du programme. Si j’ai été suspendu et poursuivi, en réalité, c’est car certains cadres de l’Éducation nationale contestent la présence même de cet enseignement dans les programmes. Mais ils se sont cachés derrière d’autres excuses. Officiellement, j’ai été poursuivi pour des broutilles : des textes « trop longs », « inadaptés », « pas bien mis en perspective »… Rien qui ne caractérise une faute professionnelle cependant. Cela aurait été la même chose avec un texte de Nietzsche, on m’aurait dit « trop long », « inadapté », mais on ne m’aurait pas suspendu pour faute professionnelle. J’ai fait face à une incroyable hypocrisie. Les supérieurs qui m’ont attaqué n’ont jamais daigné me dire en face quel était le problème. Le problème, c’était la Bible. À leurs yeux, la Bible ne devait pas mettre les pieds à l’école.

Derrière ce discours, c’est du nihilisme religieux, selon vous ?

Oui, je pense. C’est l’idée selon laquelle la religion serait, de toute façon, néfaste pour l’homme et qu’il faudrait en faire table rase, quitte à faire table rase du bagage culturel qui va avec. Comme si cette perte de culture était un moindre mal. Je ne serais pas étonné que ce soit cette pensée de Gardes rouges qui domine certains cadres.

Vous dites que ce n’est pas le cas de tout le monde. Ce n’est pas l’institution qui est en tort, alors ?

Si j’étais tombé sur un un autre directeur académique, moins idéologue, il n’y aurait pas eu d’affaire Malicornay. Mais cela n’enlève rien au fait que cet homme a gravement fauté et que ses propres supérieurs auraient dû l’arrêter. Je pensais que Jean-Michel Blanquer finirait par freiner la machine infernale. Mais il n’y a pas eu de recadrage. Au contraire, c’est même le cabinet de Jean-Michel Blanquer qui a fait appel contre la décision du tribunal administratif de Limoges lorsque j’ai été partiellement réhabilité en juillet 2019…

Pensez-vous que, dans les hautes sphères de l’Éducation nationale, on est porté par la même idéologie qui vous a fait suspendre ?

 Je ne peux pas prétendre interpréter les actions du ministère, mais je me retrouve dans l’analyse de Régis Debray qui parle de schizophrénie. D’un côté, Jean-Michel Blanquer, en 2018, tressait des lauriers aux enseignements du fait religieux, estimant honteux que nos enfants puissent entrer dans une cathédrale sans rien y connaître. De l’autre, il me poursuit et fait en sorte d’obtenir à tout prix ma condamnation… Je ne sais quelle raison sous-tend cet acharnement, qui tient peut-être son origine du dysfonctionnement initial : on couvre par principe, et par principe, le ministère défend ses rectorats.

Comment allez-vous rebondir pour la suite ? Concrètement, aujourd’hui, vous avez perdu votre poste ? 

Après avoir été suspendu, j’ai retrouvé un poste, mais de remplaçant, que je suis encore aujourd’hui. En septembre 2019, après la décision du tribunal administratif de Limoges de me réhabiliter, le rectorat était contraint de me réintégrer au corps professoral. Je n’ai jamais reçu mon ordre de mission. Il est possible que la décision du tribunal de Bordeaux ait plus d’impact, je l’espère !

Cette expérience ne vous a t-elle pas dégoûté de l’Éducation nationale et poussé à enseigner dans des écoles libres ? 

Non, parce que je ne suis pas dérouté de l’Éducation nationale. Je pense que certains cadres font n’importe quoi, mais je continue à croire à l’école publique.

https://www.bvoltaire.fr/matthieu-faucher-le-probleme-cetait-la-bible-a-leurs-yeux-la-bible-ne-devait-pas-mettre-les-pieds-a-lecole/

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29 Commentaires

  1. L’Islam, religion de paix, de tolérance, d’amour… Nous avons tous les jours les preuves de ce que représente cette religion qui a petit à petit, grignoté notre pays, notre société, notre peuple. Cependant, le constat étant posé, que faut-il en faire car il ne faut pas oublier que cela découle de notre fichue laïcité ! Ce que nous appelons avancée n’a été que le moyens pour les gouvernants français successifs de faire reculer le religieux, les chrétiens surtout les catholiques disparaissent, les églises avec, nous avons bu aux mamelles de cette idéologie laïque, individualiste, consumériste, etc, dès lors il ne faut pas s’étonner qu’une autre religion prenne la place !

  2. Le Christianisme est le socle de notre civilisation, laïcité incluse.
    L’aventure de Jésus et d’autres épisodes marquants de la Bible devraient être enseignés et obligatoires dès l’enfance .

  3. voila pourquoi mes 4 petites filles sont dans le privé ,,,très très privé !!!!

  4. ce pauvre instituteur Français trahi et abandonné par le ministère de l’éducation nationale
    alors qu’une première élue d’une ville comme Lille a fait ouvrir un lycée privé islamique
    en plein coeur de Lille et dont le directeur-recteur n’est autre qu’un imam salafiste
    qui prêche à longueur d’année sa haine et son mépris pour la France !

  5. voilà encore une preuve que macron et sa bande se prosternent devant les islamistes le cul en l’air et tournés vers la mecque ….. des ordures !!!!

  6. Si vous parlez la langue de votre adversaire s’est le déstabiliser et le rendre plus vulnérable ! Mais combien d’enfants musulmans parlent l’arabe ? Les français ont beaucoup de mal à parler une langue étrangère et il serait plus judicieux d’apprendre l’anglais qui est parlé dans le monde entier et notamment dans les pays arabes !

  7. Ils virent un instituteur qui parle de la Bible mais certaines écoles envoient leurs petits élèves à la mosquée apprendre les attitudes du fidèle musulman et là, personne ne proteste ! On fait un scandale au maire de Béziers avec sa crèche de Noël à la mairie mais on ne dit rien à Hidalconne avec sa rupture du jeûne à la mairie de Paris. L’islamisation de la FRANCE va très bien, merci !

  8. « Quand » ils auront éradiqué notre culture, nos philosophes notre mode de vie – avec l’aide de Macron et ses sbires, avec l’aide de tout les collabos, ces abominations qui vendraient leurs parents pour être bien vus par la secte putréfiée, la France sera comme une terre brûlée qui se nourrira de sécheresse et de poussière. J’ai la haine, comme le dit Paco, j’ai la haine bien acérée et ces salauds qui auront oeuvré pour la destruction de notre identité en paieront les frais en premier. Mais mon « quand » est un « Si » car nous sommes nombreux à veiller – sans relâche – à ce que cela ne se produise pas.

  9. Pas la peine de se battre !!!
    Bientôt il n’y aura plus de combat faute de combattants !
    Qui aura dit une seule fois sur ce site QU’IL FAUT FAIRE DES ENFANTS ? PERSONNE ! PERSONNE PERSONNE
    Et pourtant Oskar Freysinger ’une bonne connaissance de mme Tasin a bien dit que si les Gaulois voulaient s’en sortir ,les couples devaient pratiquer la position horizontale et pas qu’une ou deux fois !!!!

  10. La dernière de la schiappa :
    Marlène Schiappa : « Je crois que Trotsky a écrit beaucoup de choses qui sont très inspirantes et donc chacun a le droit de le citer, de s’en inspirer » !
    La nouvelle  » commissaire du peuple  » , comme Trotsky !
    

  11. Je suis contre la langue arabe au lycée et au collège et je suis bien placé pour en parler car j’ai travaillé dans une faculté de langues étrangères pendant 3 ans. Déjà l’arabe à l’université, c’est déjà très limite car on observe de temps en temps des dérapages malgré un bon encadrement et des programmes bien préparés mais au collège et au lycée le niveau des enseignants sera moins bon, il y aura donc des risques de dérives sur la religion et du prosélytisme avec un risque d’islamisation des élèves, c’est évident.

    • c’est un peu comme de mettre des imams à l’école, on sait que chez les muzz n’importe qui peut se proclamer imam, nul besoin de hiérarchie ni de nomination, tout musulman a le droit et le devoir d’enseigner le coran.
      Donc, les salopards qui introduiront l’arabe à l’école, y introduiront l’islamisation dès l’enfance,
      Nous voilà partis pour une très prochaine république islamique

  12. et la dernière saillie de cette folle !!
    sans honte ni vergogne !!!!!!!!!!!
    «  » » » »Nouvel An : la préfète du Grand Est encourage les Français à dénoncer les fêtes ayant trop d’invités«  » » » » » »
    un grand bravo a cette digne descendante de l’ état français » de Vichy!!
    ce coup çi pas besoin de verifier si c’est la famille Lévy ou le locataire Cohen du quatrième étage !!
    cette infecte fonctionnaire devrait etre démise de ses fonctions pour ce scandaleux appel a la delation entre Français!
    il faut d’ urgence la révoquer et l’ envoyer faire pipelette dans une cité HLM

  13. Le christianisme est le bagage culturel que beaucoup de français de souche n’ont pas et même refusent . Mais comment comprendre 1500 ans de notre histoire , nos rois , Nietzsche , Alexandre Soljenitsyne , Albert Camus et plein d’autres écrivains . Avant nous venions à l’école avec un bagage cultuel car nous avions eu la chance d’avoir suivi des cours de catéchismes en dehors de l’école , les juifs leur histoire , les protestants leur église . Mais nos jeunes ne savent rien du christianisme par contre les Mahomet viennent à l’école avec un bagage cultuel, de vérités incréées de leur Dieu et nous les imposent à chaque fois que nous baissons notre garde . 
    La haine contre nos élus kollabos de Satan est la seule solution . 

  14. Le hallal dans les écoles, les mosquées qui pullulent dans le pays, la république qui veut se consacrer à l’éducation des imams, la dérive contraste avec l’abandon du poisson du vendredi, la séparation de l’église et de l’état, et la liberté. On imagine les problèmes insurmontables soulevés par le rétablissement de la leçon de morale des années 50 à l’école primaire. Le patriotisme en faisait partie, et l’histoire de France n’avait pas à être révisée pour convenir aux parents de réfugiés. Macron en laissant l’immigration continue n’a plus une France française. D’ailleurs son gouvernement va suivre, la police, l’administration, l’armée, et bientôt les tapis de prière vont apparaitre à l’assemblée nationale présidée par un imam.

    • Comme vous avez raison . La seule solution c’est de réserver à ces tueurs du Peuple Premier c’est à dire nous c’est le même sort que nous avons réservé aux Kollabos de 1945 .

  15. les frères Francs-Maçons marchent main dans la main avec les frères Musulmans
    pour établir l’antéchrist au pouvoir et instaurer la charia en France

    • PLUS COMPLEXE QUE IL N Y PARAIT
      POUR CEUX QUE CE SUJET INTERESSE JE CONSEILLE
      MILLET (Thierry), , Le Tablier et le Tarbouche. Francs-maçons et nationalisme en Syrie mandataire,
      xxxxxxx
      ayant du mal a ne pas deconner, je viens d’ inventer les frères trois points du Maghreb 😆
      et pour l’ afrique du nord musulmane
       » le Tablier et les babouches »

  16. L’hydrocephale Blanquer n’en est pas à sa première connerie.
    Jusqu’en mai 2021 on va en connaître d’autres.
    Quand à enseigner l’arabe, pourquoi pas le Tibétain ou l’Inuit ? Ce sont aussi des minorités…….

    • le pire c’est que c’est lui , qui, il y a peu, lors de la DEPITATION DU PROFESSEUR PATY avait parlé d’islamo gauchisme !!!! il semble soufler le chaud et le froid comme son mentor !!

  17. Mééééé il y en a un paquet des salopards qui veulent islamiser notre pays, et malheureusement ils sont aux manettes de notre belle France. Merci les cons qui ont permis ça.

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