Darmanin avait annoncé demander la dissolution de 3 associations… à ce jour seule Cheikh Yassine l’aurait été. Rapidement, puisque sa dissolution a été actée en Conseil des Ministres cette semaine.
Les 2 autres semblent avoir été suffisamment malignes pour pouvoir contester en justice la dissolution, si elle était décidée, et le gouvernement assis entre 2 chaises ne veut pas se mettre à dos leurs adhérents et soutiens, plus que nombreux… pour rien. Evidemment.
Pour Cheikh Yassine, qui oeuvre depuis des années pour les « Palestiniens », soutient le terrorisme qui vise Israël, cela aurait été plus facile, à cause de l’implication prouvée de son dirigeant dans le harcèlement et la mise à mort de Samuel Paty.
Le collectif Cheikh Yassine – du nom du fondateur du Hamas tué par l’armée israélienne en 2004 – a été créé par Abdelhakim Sefrioui, un militant islamiste radical. Le blog du collectif partage essentiellement des informations afin de dénoncer la situation du peuple palestinien.
Abdelhakim Sefrioui est une vieille connaissance des services de renseignement. Depuis une quinzaine d’années, il est dans les radars de l’antiterrorisme, en raison notamment de ses prêches antisémites à la sortie de certaines mosquées qu’il juge « infidèles », car trop complaisantes à ses yeux avec l’Etat d’Israël. Il appelle aussi depuis des années à des actions violentes contre « l’islam de France ».
Que lui reproche le gouvernement ? Emmanuel Macron considère que ce collectif est « directement impliqué » dans l’assassinat de Samuel Paty. Il a en conséquence été dissous en Conseil des ministres, mercredi 21 octobre, selon le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.
Le fondateur de cette association, Abdelhakim Sefrioui, fait partie des personnes qui ont été déférées en vue d’une possible mise en examen dans l’enquête sur l’attentat contre Samuel Paty. Il a diffusé il y a quelques jours sur YouTube une vidéo dans laquelle il dénonçait le professeur, qualifié de « voyou ». Cette figure de l’islam radical a également accompagné le père d’une élève qui avait lancé une mobilisation virulente contre l’enseignant lors d’une rencontre avec la principale du collège du Bois d’Aulne.
.
Cheikh Yassine, on connaît bien, à Résistance républicaine… Son ombre plane sur les Indigènes de la République, Houria Bouteldja le cite fréquemment, et notamment lors de la fondation de son parti en 2008 :
Ce sera le parti de Yasser Arafat, de Georges Habache et de cheikh Yassine…
LE PARTI DE YASSER ARAFAT, DE GEORGES HABACHE ET DE CHEIKH YASSINE !…
http://indigenes-republique.fr/discours-de-houria-bouteldja-au-cabaret-sauvage/
Elle ne cesse d’évoquer ce terroriste, fondateur du Hamas dont la charte prévoit la destruction d’Israël et l’extermination de tous les Juifs sur la terre et d’exhiber son portrait
En 2014, Cheikh Yassine avait organisé en plein Paris, devant le Panthéon ! une manifestation autorisée par la Préfecture, bravo Hollande ! Hollande présent à la Sorbonne à l’hommage à Samuel Paty. Les salauds ça ose tout. Lors de cette manifestation des slogans traitant des sionistes de terroristes et de fascistes avaient été scandés, répétés par des hommes au visage complètement couverts… sans que les policiers n’interviennent.
https://resistancerepublicaine.com/2017/04/15/a-ne-pas-manquer-quand-un-juif-infiltre-un-groupe-pro-palestinien-et-fait-de-la-resistance/
.
Bref, il semble que la dissolution de Cheikh Yassine soit actée cette fois et effective. Mais il y aura sans doute recours, appels… et il ne faut jurer de rien avec nos pollitiques et juges dhimmis.
Mais les deux autres… si on en croit France Info, c’est mal barré…
Le Comité contre l’islamophobie en France
De quoi s’agit-il ? L’objectif du Comité contre l’islamophobie en France (CCIF), qui se présente comme une association « apolitique et areligieuse », est de lutter contre toutes les formes de discrimination envers les musulmans, notamment en leur apportant une aide juridique. Elle est reconnue et même reçue par la Commission européenne, ainsi qu’aux Nations unies. Elle s’est surtout fait connaître en recensant les actes islamophobes en France.
Le CCIF et son ancien porte-parole Marwan Muhammad sont régulièrement accusés de proximité avec des mouvements de l’islam politique comme les Frères musulmans. Les responsables du collectif dénoncent des accusations mensongères. « A aucun moment, ils ne sont arrivés à démontrer l’exactitude de ces affirmations en quinze ans de travail de terrain », affirmait en 2018 à franceinfo Mariem Sabi, responsable juridique du collectif.
Que lui reproche le gouvernement ? Le ministre de l’Intérieur a réclamé lundi la dissolution du CCIF, en affirmant qu’il était « manifestement impliqué »dans l’assassinat de Samuel Paty, puisque le parent d’élève qui a « lancé une fatwa contre ce professeur (…) fait référence très clairement à cette association », selon Gérald Darmanin. Après les déclarations du ministre, son entourage a été plus sibyllin à propos du CCIF, expliquant que même en l’absence de lien avéré avec l’attaque, « on comprend des services de renseignements » que cette structure « mérite d’être dissoute ».
Le parent d’élève en question a effectivement contacté le CCIF et incité les autres parents à joindre le collectif pour dénoncer le professeur, mais l’association dément avoir joué un quelconque rôle. « Le CCIF n’a strictement rien fait sur ce dossier et n’a certainement pas communiqué, ni relayé une quelconque communication qui visait à lyncher un individu parce qu’il était professeur et qu’il avait montré des caricatures dans sa classe », a répondu lundi sur franceinfo le directeur du CCIF, Jawad Bachare. Le CCIF a d’ailleurs condamné l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine comme tous les attentats, précise son directeur.
Motiver la dissolution du CCIF pourrait s’avérer compliqué pour le gouvernement, car cette association n’a, à ce jour, pas été poursuivie pour apologie du terrorisme ou troubles à l’ordre public. « Si le CCIF défend parfois un islam plutôt rigoriste, il reste prudent et agit de manière légaliste », explique à l’AFP Franck Frégosi, professeur à Sciences Po Aix et spécialiste de l’islam en France.
BarakaCity
De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une ONG islamique à but non lucratif créée en 2010 dans le Val-d’Oise. Fondée par des musulmans d’inspiration salafiste, elle se présente comme une association humanitaire qui apporte son aide aux populations musulmanes démunies à travers le monde. Elle indique avoir aidé « deux millions de personnes dans une vingtaine de pays ». L’ONG indique notamment avoir participé à des forages de puits au Togo ou à la construction d’une clinique en Centrafrique.
Les actions de BarakaCity bénéficient d’une forte visibilité sur les réseaux sociaux, grâce aux plus de 700 000 personnes qui suivent son compte Facebook et aux 62 000 abonnés du compte Twitter. Des outils maîtrisés par le responsable de l’ONG, Idriss Sihamedi, qui a fondé une agence de communication à 25 ans. Ce dernier connaît aussi l’art de la polémique. En janvier 2016, sur un plateau télévisé, il refuse de condamner sans ambiguïté les attentats commis en France par le groupe Etat islamique.
Deux mois plus tard, la justice avait ouvert une enquête contre l’ONG sur des soupçons de financement du terrorisme. Elle a été classée sans suite trois ans plus tard. Une affaire est également en cours concernant Idriss Sihamedi, et non son association. Ce dernier est accusé d’avoir harcelé sur les réseaux sociaux une chroniqueuse de la radio RMC. Il est convoqué au tribunal en décembre.
L’association est dans le viseur des autorités depuis longtemps. L’ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem avait considéré son président comme un « ennemi de la République », en 2016. Dans Le Parisien, Manuel Valls a indiqué avoir, lorsqu’il était Premier ministre, « envisagé d’interdire »BarakaCity, avant de renoncer car « d’un point de vue juridique ce n’était pas possible ».
Que lui reproche le gouvernement ? Les autorités ont officiellement engagé une procédure de dissolution visant BarakaCity en raison de messages de son président qui peuvent être « caractérisés comme apologiques d’actes de terrorisme », selon un document du ministère de l’Intérieur obtenu par l’AFP. Dans sa notification, l’Intérieur fait état de« messages publiés en ligne depuis les comptes de l’association ou (ceux de son président) » qui « provoquent de très nombreux commentaires hostiles à l’Occident, à la laïcité, aux francs-maçons ou encore aux musulmans qui ne partagent pas la conception de l’islam promue par l’association ». Il est également fait état de commentaires antisémites à la suite de ces messages.
BarakaCity a dénoncé sur franceinfo le « caractère totalement politique et opportuniste de cette mesure ». Comme le CCIF, l’ONG affirme n’avoir jamais appelé à la violence et annonce qu’elle contestera la dissolution en justice. « Rien dans les activités de l’association ne permet de suspecter un quelconque lien avec une activité terroriste », affirment les avocats de l’association.
Comme pour le CCIF, Franck Frégosi est dubitatif concernant cette dissolution.« A ma connaissance aucune des deux [associations] n’a appelé au meurtre ou à la vengeance ou au renversement de la République », explique ce professeur à Sciences Po Aix et spécialiste de l’islam en France. « Le gouvernement marche sur des œufs. Il veut faire des exemples, mais encore faut-il s’assurer qu’ils sont les bons. »
Darmanin et Castex auraient fait des rodomontades… faisant du « en même temps », avec des effets d’annonce sur le bon peuple de France qui ne se souviendra que de cela et n’ira pas vérifier que les associations citées auront bien été dissoutes tout en évitant procès, recours, manifs, pressions en tous genres, d’autant que, nous ne le rappellerons jamais assez c’est à Karim Amellal, un proche du CCIF que Avia et Macron avaient confié la rédaction du projet de loi Avia… dans lequel, justement, rappelez-vous, il y avait la criminalisation de l’islamophobie.
L’un des rédacteurs du projet de loi est l’entrepreneur numérique Karim Amellal, qui déclarait en juin 2018 qu’il souhaitait que « toutes les expressions haineuses envers les religions soient punies » ? Loin de lui l’idée d’entendre les apostats de l’islam, catégorie de la population française particulièrement ciblée par la haine islamique, il a plutôt choisi d’auditionner le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), officine communautaire qui livre un combat à grands frais judiciaires pour introduire le délit de blasphème dans la loi française et faire des Français de confession musulmane une catégorie biologiqu
613 total views, 1 views today
Bonjour que du vent , si on ne veut plus attentats n’y agressions terroristes sur notre sol , sans faire de choix communautaire ,il faut bannir Islam de notre pays et ces disciples. Seule option pour éviter un sanglant conflit civil qui neutralisera l’envahisseur. Bientôt il sera trop tard pour appliquer cette option , ce que le covid ne tuera ,le conflit civil le fera.
Il va falloir cesser de rêver de science fiction, le rythme de croisière de la colonisation a repris.
Tant qu’il en restera un sur la terre, le planète sera en danger de mort.
Le CCIF doit être dissous, et les services de renseignement devront surveiller sa possible résurrection , sous un autre nom, mais toujours avec des ennemis de la France parmi ses séides.
La mosquée de Pantin ? Pourquoi 6 mois seulement ? Qu’est-ce que ça signifie ? Fermeture définitive, c’est la moindres des choses. Et s’il est permis de rêver d’une France restaurée dans son intégrité, fermeture définitive et destruction de toutes les mosquées en France.
Bonsoir @Machinchose ;
La vérité au grand jour : ni Français, ni Républicains Français ! Républicains islamistes c’est tout ! Leur nation c’est l’oumma.
Le CCIF doit être dissous et toutes les associations des frères musulmans, qui ont organisés la manifestation du 10 novembre 2019, en criant à proximité de Charlie Hebdo, toisant ainsi la République, le slogan que les terroristes hurlent avant de passer à l’acte : Allah Akbar !
Très intéressant tout ça….mais on a quand même perdu plus de 20 ans pour commencer à agir.
Pendant ce temps les bâchées ont envahi nos trottoirs, nos marchés, nos salles d’attente des hôpitaux et leur tarés circoncis arpentent nos villes à la recherche d’infidèles à égorger, à convertir ou à violer. Sans parler de leur vendre de la drogue.
Pour se débarrasser de cette engeance malfaisante, il suffi à quelques politiciens responsables dans les sphères du pouvoir ( si on en trouve qui ont encore leurs couilles……… ) de déclarer l’islam incompatible avec la République et d’utiliser les lois existantes contre les SECTES.
Leurs agissements et leurs manigances pour nous faire ingurgiter leur islam de merde sont des excuses suffisantes pour les mettre au ban de notre société LAIQUE. Il ne manque qu’un chef d’état.!
Celui que les islamo , bobo, écolo, gaucho et naïfs de tous poils ont élu ne rempli pas , loin s’en faut toutes les cases pour assurer les fonctions présidentielles .
Qu’est-ce qu’une dérive sectaire ?
Sur la base de l’expérience de la Miviludes, qui reçoit quelques 2 000 signalements par an, la dérive sectaire peut être définie comme suit :
La dérive sectaire
Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte à l’ordre public, aux lois ou aux règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société.
MACRON AU BOULOT BORDEL !!!!!!!!!!
si Darmanin ne dissout pas le CCIF. c’est la guerre civile assurée. pas
« La mosquée de Pantin a été fermée en milieu de semaine pour six mois. Ce lieu de culte, qui rassemble près de 1.300 fidèles dans la banlieue Nord de Paris, a été épinglé par les autorités après avoir relayé une des vidéos dénonçant le cours du professeur d’histoire Samuel Paty, assassiné la semaine dernière.Il y a 8 heures »
ça y est! la mosquée a commencé a déposer des recours partout……….POUR ANNULER UNE DECISON FRANCAISE !!!!!!!
il est plus que temps de virer manu militari ces envahisseurs qui sont de si bon Français, les drouadelhomme ce n est pas , ce n’ est plus pour nous
le coup de pied au cul , seul etant compris et redouté par cette canaille
perte de temps et de milliards des vrais Français
rien a cirer de la Raie publique invoquée par ces racailles, veritables morpions de la France
Cheikh Yassine – du nom du fondateur du Hamas tué par l’armée israélienne en 2004
xx
en réalité ce vieillard , traversant la rue sur sa petite chaise d’ handicapé avait refusé la priorité a un missile israélien qui arrivait sur sa droite
il fut réduit en bouillie et seules les roues de sa chaise restèrent intactes
elles sont exposées au Musée Palestinien de la Résistance a Ramallah
en Israel, on le designe gentiment sous le terme moqueur de « refuseur de priorit » »
cette vieille carne terroriste a bien des morts israéliens a son actif, aussi Tsahal l’ a envoyé au Paradis d’Allah
gros regrets pour la baissage de froc face au redoutable CCIF, un aveu de faiblesse et surtout de trouille, comme la mosquée de Pantin , ou les polichinelles continueront a s’ agiter
la vraie réponse serait de tolérer en France chrétienne, pas plus de 0,5% de musulmans, comme eux ont su réduire sans le moindre effort
ni scrupule les chrétiens dans leurs shite holes a moins de 0,1%
et surtout qu on ne vienne pas invoquer la farce de la Francéité de ces possesseurs d’ un morceau de plastique bleu accompagnant un bout de plastique vert bien plus sacré pour eux
qu’attendiez vous de ces lâches vendus et tueurs du peuple ???? (FRANCAIS Bien sur !!)