Nous avions attiré votre attention sur l’autorisation donnée, en juillet, par le Parlement européen d’utiliser des OGM pour le vaccin.
Autorisation dont personne ne parle, comme personne n’a relevé l’étrange interdiction de la chloroquine le 13 janvier… Et pourtant, ce sont là 2 faits majeurs pour comprendre ce qui se passe !
En préalable, pour ceux qui auraient besoin de rafraîchir leur mémoire :
Les différents types de vaccin selon Big Pharma
Pour comprendre la différence entre ADN et ARMm, un petit article qui explique bien le processus mais qui en tire des conclusions qui me laissent sceptique :
au lieu de fabriquer le virus ou la protéine virale en usine pour ensuite les injecter, on fait faire le travail par nos cellules.
et une affirmation à laquelle je n’adhére pas, vous vous en doutez
Maintenant, est-ce que l’ARNm peut changer notre code génétique? La réponse est : absolument pas. Nos cellules sont bien équipées pour distinguer l’ADN et l’ARN, et celui-ci n’est pas intégré au noyau cellulaire. En outre, qu’il soit humain ou viral, l’ARNm est rapidement dégradé par l’organisme. À tel point, d’ailleurs, que la «livraison» de l’ARNm jusqu’à nos cellules a longtemps été un problème important pour les vaccins. Ce type de matériel génétique est détruit tellement vite dans l’organisme qu’il n’avait pas le temps d’arriver jusqu’à nos cellules — on a depuis trouvé des manières de le stabiliser.
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Cette fois c’est le tour de Robert Kennedy Junior (conseiller de Trump pour les vaccins, bien qu’il soit démocrate), de tirer la sonnette d’alarme. Nous avons déjà dit nos restrictions et désaccords avec Kennedy sur nombre de points, mais, sur les vaccins, il est clairvoyant !
Même s’il y a pas mal de choses contestables et douteuses dans ce qu’il dit (notamment sur la 5G et les liens de Big Pharma et du Renseignement avec elle, sans parler de son obsession anti-Rockefeller etc.), son analyse sur les vaccins et sur la presse qui n’est plus là que pour promouvoir une orthodoxie gouvernementale et sociale est très juste et nous partageons son inquiétude. Mais, comme il le dit, dans ce chaos, il nous reste… la rue !
Vaccin COVID = LÉSION GÉNÉTIQUE IRRÉVERSIBLE
UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.
[8/25 6:05 p. m.] +58 414-0750240:
EXPLICATION POUR QUE LA POPULATION NE SOIT PLUS TROMPÉE:
Y A-T-IL OU PAS, CORONAVIRUS?
ECLAIRCISSEMENT en 19 points :
voir la suite ici
Source : Robert F.Kennedy Jr
https://qactus.fr/2020/09/16/q-scoop-message-de-robert-f-kennedyjr/
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Avantages et risques par rapport aux vaccins à ADN
Par rapport aux vaccins à ADN, l’intérêt des vaccins à ARN est qu’ils sont traduits dans le cytosol des cellules, ce qui les dispense de devoir pénétrer dans les noyaux cellulaires et écarte le risque de voir leur matériel génétique être incorporé au génome de l’hôte1. Il est en outre possible d’optimiser le cadre de lecture ouvert (ORF) et les régions non traduites (UTR) des ARN messagers, par exemple en augmentant leur taux de GC ou en sélectionnant des régions non traduites connues pour favoriser la traduction5. Un cadre de lecture ouvert supplémentaire peut également être ajouté pour fournir un mécanisme de réplication amplifiant la traduction en antigène, ce qui donne un ARN auto-amplificateur qui réduit la quantité initiale d’ARN nécessaire pour obtenir l’effet désiré6.
Le principal risque des vaccins à ARN est celui du déclenchement d’une réponse immunitaire excessive par activation du système immunitaire inné. La réponse immunitaire innée est activée par liaison de l’ARN aux récepteurs de type Toll, comme la protéine TLR, à la protéine RIG-I et la protéine kinase R . On atténue ce risque en concevant des ARN messagers ayant des séquences semblables à celles produites par les cellules de mammifères et en introduisant, dans l’ARN messager, des nucléosides modifiés, comme la pseudouridine, la 5-méthylcytidine, ou des nucléosides 2-O-méthylés comme la 2’-O-méthyladénosine, ce qui a pour effet de limiter la réponse immunitaire contre cet ARN étranger, et donc de retarder sa dégradation, d’où un meilleur taux de traduction en antigène. On peut également optimiser les codons et utiliser certaines régions non traduites, ce qui ralentit également la dégradation de l’ARN. Par ailleurs, les produits de transcription interrompue et l’interférence par ARN conduisent à la dégradation prématurée de l’ARN bicaténaire et réduisent sa durée d’action, ce qui impose une purification en plusieurs étapes. L’ARN bicaténaire indésirable peut être éliminé à peu de frais par adsorption sur la cellulose.
Certains vaccins à ARN peuvent également produire une forte réponse immunitaire avec des interférons de type I, associés à l’inflammation ainsi qu’à des manifestations auto-immunes, ce qui fait des personnes sujettes aux maladies auto-immunes des sujets potentiellement à risque pour ces vaccins.
Par ailleurs, l’ARN extracellulaire est connu pour être un facteur favorisant la coagulation sanguine et augmentant la perméabilité de l’endothélium. L’accroissement de la perméabilité endothéliale peut entraîner un œdème et stimuler la coagulation sanguine ce qui entraîne un risque de formation de thrombus, d’où des risques d’infarctus (notamment d’infarctus cérébral), de thrombose ou encore d’embolie pulmonaire.
Question :
Sous quelle forme l’ADN serait -elle modifié
Et quelles pourraient être les impacts nocifs
Sur nos santé.
Merci.
Pour mémoire , le parti politique européen ALDE, dont Macron fait partie, est finançé par Bayer Monsanto . Ils ont de la suite dans les idées.
« …Ce type de matériel génétique est détruit tellement vite dans l’organisme qu’il n’avait pas le temps d’arriver jusqu’à nos cellules — on a depuis trouvé des manières de le stabiliser… » Tout est là ! Au début de la phrase on vous explique que le matériel génétique est détruit très rapidement, trop rapidement même et la fin de la phrase vous affirme qu’on a réussi à faire en sorte que rien ne soit détruit. Donc, le poison que ces messieurs se disposent à nous administrer restera bien dans notre organisme ad vitam æternam. Envoyons les se faire foutre avec leurs seringues !