Chers compatriotes, vous devenez insupportables avec vos contorsions à la française !

Lettre d’un immigré aux Français

Chers compatriotes,

Vous devenez insupportables à cause de vos reculades, de vos atermoiements et de vos contorsions intellectuelles à la française. 

Voilà le triste constat que je fais, moi qui suis né dans une ville qui fut la capitale de trois empires aujourd’hui d’un pays à majorité sunnite. Moi, agnostique, je suis venu en France avec la volonté de m’immerger dans une nation qui a sa propre civilisation, sa paix sociale et son bonheur de vivre.

Quand on émigre, on tourne la page pour passer à autre chose. On épouse les us et les coutumes de son pays d’accueil. On se presse d’apprendre sa langue, d’assimiler son Histoire et on fait sienne sa culture. On change de prénom pour mieux se fondre dans la société. On élève ses enfants, non pas pour alimenter un troupeau de voyous, mais pour en faire des bons citoyens français en leur donnant des prénoms français. Bref, on les éduque pour les intégrer. Sinon, il faut retourner là d’où l’on vient ! (C’est aussi valable pour mes anciens compatriotes à qui je conseille de vite dégager avant que les Français ne fassent un malheur ! )

Malheureusement, au fil du temps, la France est devenue un de ces lieux exotiques sans que l’on ait besoin de s’y rendre. Ce pays dégringole à vitesse vertigineuse au niveau du Tiers-Monde dont elle accueille – à bras ouverts – les populations. Bref, elle s’avance vers un chaos inévitable entre tribus importées. Moi, l’immigré, je commence à regretter d’avoir mis les pieds dans ce pays et d’avoir gâché mon temps et ma vie. Clairement, je regrette les Trente Glorieuses, les années bonheur.

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Mais il arrive un moment où les mots ne suffiront plus à faire entendre raison. Il est illusoire de penser qu’il suffira de dire à la troisième ou quatrième génération d’immigrés : « Puisque vous n’êtes pas bien ici, repartez dans le pays de votre choix ». Hélas, c’est trop tard pour des jolis mots incrustés dans de belles phrases. Ce conflit sanglant n’est plus qu’une question de temps. Reste à savoir qui va tirer le premier ? Les hordes d’envahisseurs et de voyous ont déjà commencé à piller, dévaster, voler, violer et tuer les Français. Mais comme ça se déroule à petit feu, personne ne veut l’admettre, ni le reconnaître.

La justice, la presse et l’État sont noyautés par des « psychopathes ». Ils participent méticuleusement à la destruction de leur propre pays et veillent au bien-être des assassins. La justice préfère sanctionner ses concitoyens qui militent pour l’amélioration de leurs conditions de vie au lieu de se montrer ferme vis-à-vis des délinquants. Ces délinquants, venus des quatre coins de la planète, sont rassemblés ici, pour détruire la France avec la complicité benoîte d’un pouvoir lâche.

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C’est le même mécanisme intellectuel mondialiste – et mortel – qui a rassemblé et armé soixante mille assassins pour abattre le régime syrien. L’affaire s’est terminée par une horrible guerre civile et cinq cent mille morts dans les deux camps. Les Syriens se sont défendus et les morts sont hélas, morts ! Où sont les ONG et les associations humanistes pour citer un-à-un les noms de chacune de ces victimes ? Or, le même scénario va se produire en Libye. Français, est-ce que vous voulez être les prochaines victimes ? Seriez-vous devenus un peuple de couards incapables de prendre son destin en main ? Souhaitez-vous continuer à mettre votre souveraineté entre les mains des « politiciens mafieux » et des « malfrats bruxellois » ? Car ce sont des gens doués pour briser les peuples et dissoudre leurs identités.

Alors, prenez votre destin en main et virez toute cette classe de pourris du pouvoir ! Redevenez ce peuple fier à défaut d’être de dignes Gilets Jaunes ! Et ne mettez jamais un genou à terre car c’est le signe d’un peuple vaincu qui s’incline devant l’ennemi !