Pauvre France! voici donc revenu
Le temps lointain et maudit
Des barons en leurs seigneuries
Parjures de l’humanité, misérables parvenus
Pauvre France! Les voici, les sournois petits roitelets
Qui se dressent méchamment sur leurs frêles ergots
Enivrés de prétentions, aveuglés par leurs surdimensionnés egos
Quand ils ne sont à nos yeux lucides que des coquelets
Pauvre France! Pauvre folle!
Tu adores de minables idoles
Qui caressent l’or délétère de la finance
Pauvre France! où sont donc tes grands hommes?
Dorment-ils tous éternellement sous le dôme?
Laissant les traîtres effacer la grandeur de la France!
24 Octobre 2017
Guillaume Prevel
Dans la série « les dégénérés » et dans celle « qui se ressemble s’assemble », voilà où mène le vote des Parisiens… Entre Hidalgo la dingo et les Verdâtres anti-homme, Paris est entre les mains des fous. Dans quel état vont-ils nous laisser la ville qui a fait rêver le monde entier ?
Et ce sont les mêmes à peu de choses près qui sont aux manettes de la France entière.
Excellent article de Valeurs actuelles sur la folle-dingue Alice Coffin, qui, parce que anti-hommes, se retrouve élue à la Mairie de Paris ! Et avec l’engagement de Belliard EELV qu’elle pourra utiliser son temps et ses moyens d’élue pour continuer à militer contre le genre masculin. Ma grand-mère aurait dit : « tu dis ça à un cheval de bois, il te donne un coup de pied !« . Mon oncle qui avait du bon sens aurait dit, lui : « fichez-lui une fessée et envoyez-la faire quelques travaux forcés, histoire de lui apprendre à vivre. »
Nous vous avions déjà parlé de la tarée à moult reprises… forcément !
Et nous vous avions parlé des dégénérées non baisables selon moi dont elle faisait partie en avril 2019 :
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Alice Coffin : du Cirque d’hiver à la Mairie de Paris
Publié le 21/08/2020 à 11:00
Chapô
Élue écologiste au Conseil de Paris par l’intermédiaire de son ami David Belliard, la féministe bénéficie désormais d’un tremplin politique pour étendre le champ de sa terreur militante.
Il y a peu, le grand public ne la connaissait pas. Pour la rédaction de Valeurs actuelles, les choses sont un peu différentes. Certains de nos lecteurs se souviennent peut-être de la soirée du 25 avril 2019.
La scène se déroule au Cirque d’hiver, à Paris. Sur la piste, les fauves qui s’affrontent s’appellent Éric Zemmour, François-Xavier Bellamy, Bruno Le Maire ou encore Jacques Attali. Les 1 600 spectateurs qui se sont déplacés applaudissent, jusqu’à ce qu’un événement tout à fait inattendu survienne, mélange de numéro de clown et de funambule : débarque sur la scène une bande de furies féministes, venues réclamer l’obligation d’un quota de femmes dans chaque débat qui se déroule en France. Parmi elles, l’une se distingue particulièrement par ses vociférations et ses outrances. Elle s’appelle Alice Coffin. Égérie d’un progressisme à la dérive, elle a passé l’essentiel de sa carrière militante à vouloir traquer, son homosexualité en étendard, les prétendus privilèges de l’homme blanc: le mari, le père, le patron, l’homme politique…
Sur les plateaux de télévision, sur son blog ou dans les manifestations, elle invite les femmes à devenir lesbiennes afin de se détacher du regard des hommes qui les exposent, dit-elle, aux viols, aux meurtres et aux violences. Car à ses yeux, les hommes ne sont pas seulement privilégiés, ils sont aussi néfastes. Difficile de faire plus excessif. Impossible de croire qu’Alice Coffin pourrait un jour fracasser son petit bocal militant pour plonger dans le grand bain de la politique.
Propulsée chez les écologistes pour faire du féminisme
C’est pourtant ce qui s’est passé le 28 juin dernier, au soir du second tour des élections municipales parisiennes. Ce jour-là, deux féministes des plus radicales entrent dans l’équipe municipale, Alice Coffin pour le XIIe arrondissement et Raphaëlle Rémy-Leleu pour Paris Centre (les Ier, IIe, IIIe et IVe arrondissements). La seconde a fait ses classes dans l’association étudiante de gauche Unef, avant de rejoindre une autre association plus spécifiquement féministe, Osez le féminisme !, dont elle deviendra la porte-parole dans le sillage de Caroline De Haas. Leur ticket pour la politique, les deux militantes l’ont reçu des mains d’un certain David Belliard, ex-militant LGBT qui n’a gardé du drapeau arc-en-ciel que le vert des écolos. Tête de liste EELV aux élections municipales parisiennes, il leur demande de le rejoindre pour conquérir la Mairie. Et pas n’importe comment.
L’une se présente dans le Marais, forteresse de la communauté LGBT où les drapeaux arc-en-ciel s’étalent sur les murs comme sur les passages piétons. L’autre se présente dans le XIIe arrondissement de Paris, précisément l’arrondissement où l’une des officines féministes les plus radicales et visibles a établi son siège : le collectif de colleuses d’affiches Les Colleuses. Avec Coffin comme avec Rémy-Leleu, Belliard est formel. Même élues, elles pourront continuer leur combat sans édulcorer la radicalité de leur message… Quitte à renverser le jeu démocratique.
Quant à l’écologie, chère au parti, il n’en est étonnamment pas question… Au Parisien , qui l’interroge sur ses motivations, Raphaëlle Rémy-Leleu explique ainsi s’être engagée pour les Verts « d’abord à cause des femmes du parti qui ont émergé » : « J’avais suivi les travaux parlementaires d’Isabelle Attard sur le numérique, celui de Sandrine Rousseau sur le travail domestique. Et puis il y a eu l’affaire Baupin en 2017. » David Belliard confie, dans le même journal, avoir recruté Alice Coffin parce qu’« elle incarne une mouvance activiste féministe reconnue très investie sur les questions de l’égalité femmes-hommes et les violences faites aux femmes ».
Le fracassant départ de Christophe Girard de son poste d’adjoint à la culture de la maire de Paris, poussé vers la sortie par une poignée d’activistes féministes pilotée par Coffin et Rémy-Leleu, n’a donc rien d’une mauvaise surprise. « Ma méthode politique, c’est d’utiliser l’ensemble des moyens qui sont à ma disposition, c’est-à-dire Twitter, les manifestations ou alors effectivement des délibérations plus classiques » , explique à Libération Alice Coffin, pour qui la fin justifie les moyens. Y compris les pires excès, comme hurler en plein Conseil de Paris ou encore organiser des manifestations devant l’Hôtel de Ville avec des panneaux comme “Bienvenue à pédoland”, tout en étant élue. N’allez pas lui dire que la politique est une affaire de compromis et de nuances. « Quand on accuse une féministe d’exagérer, c’est qu’elle est sur la bonne voie » , justifie-t-elle au Figaro. Après la démission de Christophe Girard, la militante espère désormais passer à l’échelon supérieur en obtenant celle du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, visé par une plainte pour viol.
Entre embarras et justifications maladroites, les écologistes assistent de leur côté à l’aboutissement d’une dérive largement orchestrée par les instances d’un parti de moins en moins porté sur l’environnement et de plus en plus sur le reste : un ramassis de thèses issues de la bourgeoisie de gauche et des campus américains, mêlant antiracisme, féminisme, combat LGBT, déclinisme… Parmi la trentaine de commissions thématiques que compte EELV, l’une est ainsi spécifiquement consacrée au féminisme. À sa tête, on retrouve la militante Rosalie Salaün qui s’affichait dès mai 2019, sur les réseaux sociaux, en compagnie de Raphaëlle Rémy-Leleu. La même s’était mise en scène, quelques semaines plus tard, au Cirque d’hiver, afin de montrer sa solidarité aux féministes venues perturber notre débat sur l’Europe. Un an plus tard, le soutien du parti n’est plus seulement symbolique. Grand ouvert aux vents des minorités, il est devenu le tremplin d’où Alice Coffin et ses acolytes peuvent désormais faire de nouveaux numéros : plus haut, plus loin. Bienvenue dans le monde de demain.
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Il est vrai qu’un jour, à un moment précis, à un endroit encore plus précis, s’il n’y avait pas eu d’homme il n’y aurait pas eu d’Alice Coffin et ça aurait été un grand bonheur. Peut-être un virus taquin ou une bactérie facétieuse effacera cette mauvaise plaisanterie de la nature…
Sincèrement avec cette connasse je me dis que sa mère aurait mieux fait de l’avaler ce jour où….elle a décider de pondre cette chose indéfinissable et innommable !!!
Il faudrait un Freud pour l’analyser, pas moins !
Vous avez amplement raison adalbert , c’est aussi pour cela et la gloriole. Car c’est une petite marquise comme il y a des petits marquis de la politique. Son action n’est qu’accessoire . Q’importe le flacon du moment que l’on a l’ivresse et elle c’est de pouvoir dont elle s’énivre . Après on connait la chanson ce sera Quota de ci et quota de ça . Et donc un peu plus de totalitarisme à chaque fois!!! Et un peu plus d’injustice par la discrimination positive qui crée la discrimination tout court pour l’autre qui ne fait pas partie d’un genre . Et comptons sur les racisés et les genrés pour s’autopromotionner parce que le piston va marcher à fond pour faire une société où les gens ne voudront plus se casser le cerveau et faire des efforts pour qu’à la finale les dés soient pipés!
Ce qui est curieux, c’est que ce genre d’ahurie, toujours en train de s’en prendre aux mâles (blancs, bien sûr), fait tout son possible pour ressembler à un homme.
Qu’en disent les psychiatres ?
Coffin, en anglais = cercueil. PTDR
@ Adalbert le Grand,
Bien sûr qu’elle s’est fait élire également pour le pognon, cela va sans dire ! Cela lui permet de joindre l’utile à l’agréable.
Quand au terme de « donzelle », il me paraît au contraire tout à fait approprié. La définition de ce mot est la suivante : jeune fille ou femme prétentieuse et ridicule. Car il s’agit bien d’une femme, même si cela ne saute pas aux yeux.
Permettez-moi de vous reprendre : non, cette chose (dame ou donzelle sont inappropriés, d’ailleurs elle-même piquerait une crise si on l’employait devant elle, donc ne sachant comment appeler ça, j’opte pour “chose”) ne s’est pas fait élire UNIQUEMENT pour avoir une tribune.
La fielleuse Coffin s’est aussi fait élire pour le pognon et pouvoir continuer à vivre sans travailler aux crochets des gens sur lesquels elle crache sa bave.
Une parasite, comme tous ces gauchiants profession emmerdeurs.
Je suis parisien et croyez bien que si la Coffin a été élue, ce n’est pas grâce à moi ! Les problèmes de la capitale (insécurité, saleté, embouteillages, etc.), la donzelle n’en a cure. Elle s’est fait élire uniquement pour avoir une tribune à partir de laquelle elle pourra glapir ses insanités.
Tous les jours, je pleure l’état de ma ville que j’aime tant et je pense même de plus en plus souvent à en partir. Je n’ose imaginer à quoi va ressembler Paris après 6 ans de mandature hidalguiste, probablement un cloaque sans nom…
« Quand on accuse une féministe d’exagérer, c’est qu’elle est sur la bonne voie »
« Quand on accuse un […]iste d’exagérer, c’est qu’il est sur la bonne voie »
C’est ainsi que tous les exaltés et fanatiques ont toujours justifié leur zèle à couper des têtes, à purger et éliminer ceux qui s’opposaient à leur Grande Vision, leur Grand Dessein.
L’élection des gougnes hystériques Coffin et Rémy-Neuneu est une excellente chose. Car ainsi, tout le monde peut voir le vrai visage hideux du gauchisme haineux et vindicatif. Et de plus c’est d’abord le camp de la gauche qu’elles pourrissent et dynamitent, camp qui sera la première victime de leur frénésie destructrice.
une pauvre fille mal départagée, la nature et ses erreurs…
elle pisse debout ?
ça ne doit pas etre facile avec son futal
« »dégénérées non baisables » ça dépend par qui et ou..je connais des bleds ou on l’ hommagerait face comme pile. c’est toujours mieux qu une chèvre, un âne, une brebis,une poule…..a Tatahouine, chez Biribi, il y eut des « joyeux » qui se seraient battus pour la sauter, aprés 3 mois de cachot
a méditer
vrai que ce n’ est pas « la fille de Bédoin » avec son petit panier, mais y a le couffin ..
A vote de con, élus de con. Qu’ils se démerdent, les Parigos.