L’ indigéniste Norman Ajari veut casser en 2 la République ; les anciens Grecs l’auraient expulsé de la Cité avec Macron

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Que fiche sur notre sol ce traître, ce vendu aux minorités ? 

Je rêve de plus en plus de voir revenir nos sages de l’Antiquité, un Socrate, un Solon, un Périclès et leurs lois. 

Certes, ils ont eu à supporter, périodiquement, des tyrans -qui n’étaient pas tous des… tyrans au sens moderne- mais nombre de ces derniers ont eu à boire la ciguë ou ont fini massacrés. En Grèce, on ne plaisantait pas longtemps et impunément avec la démocratie.

Mais, au-delà de ces règlements de compte politiques, la loi grecque avait inventé l’ostracisme, outil fabuleux, consistant à chasser de la Cité, pour 10 ans, ceux qui étaient dangereux pour elle, pour la liberté et la démocratie,  à condition qu’au moins 6000 citoyens en soient d’accord.  On considère que les citoyens susceptibles de voter (uniquement les hommes, d’origine athénienne uniquement) étaient, selon les époques entre 20 000 et 60 000. Il fallait donc, pour ostraciser quelqu’un, entre 10 et 30 pour cent des citoyens soient d’accord.

Courte video présentant l’ostracisme ci-dessous :

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L’ostracisme (en grec ancien ὀστρακισμός / ostrakismós) était un vote par lequel l’Ecclésia (l’assemblée des citoyens) prononçait le bannissement de l’un de ses citoyens, dont le nom était inscrit sur un tesson de céramique désigné par le terme ostrakon, signifiant coquille d’huître. Durant la période de bannissement, l’Ecclésia conservait ces tessons, ostraca, où figuraient les noms des exilés. Athènes et quelques autres cités, au ve siècle av. J.-C., ont instauré une institution qui permettait de bannir pendant dix ans un citoyen, sans que celui-ci perdît ses biens. C’était une mesure d’éloignement politique, un simple vote de défiance à l’égard d’un citoyen influent soupçonné d’aspirer au pouvoir personnel : ce n’était pas une peine judiciaire, cette sanction n’étant pas une condamnation pénale : elle ne s’accompagnait pas de peine pécuniaire, et les droits civiques étaient conservés. Cette importante institution apparaît donc marquée d’un esprit d’humanité tant dans la procédure suivie que dans la peine prononcée.

On l’attribue traditionnellement à Clisthène, mais le premier vote d’ostracisme n’eut lieu qu’en 488 av. J.-C., si l’on en croit Aristote. Il n’y a pas lieu, cependant, de rejeter le témoignage unanime des Anciens. Après les expulsions en masse qui eurent lieu au vie siècle av. J.-C., et qui frappaient collectivement des genè, des familles entières, on décida de proscrire seulement les tyrans et leurs fils3, en prévenant les autres membres des Pisistratides que s’ils venaient à troubler l’ordre public, ils seraient expulsés pour dix ans. Ils se tinrent cois longtemps.

Après la première guerre médique, cependant, ils furent suspectés d’intelligence avec le tyran Hippias, et on châtia les amis des tyrans (487 av.J.-C.). L’ostracisme fut décrété contre Hipparque, fils de Charmos, devenu le chef de la famille, en 486, contre l’Alcméonide Mégaclès le Jeune, fils d’Hippocrate, et en 485 av. J.-C. contre Alcibiade l’Ancien.

La procédure[modifier | modifier le code]

Elle se déroulait en deux temps. Chaque année, durant la sixième prytanie entre janvier et février, période où les citoyens pouvaient se rendre en masse à la ville, les récoltes étant engrangées, l’ecclésia votait d’abord pour savoir si l’on devait procéder à un ostracisme. Le vote s’effectuait à main levée, il n’y avait pas de débats et les noms des suspects n’étaient pas révélés.

Si l’accord se faisait sur le principe de l’ostracisme, l’assemblée du peuple se réunissait ensuite une deuxième fois au cours de la prytanie suivante, en assemblée solennelle et plénière (catecclésia). Le quorum était de 6 000, mais selon Plutarque, il s’agissait de six mille suffrages exprimés, et selon Philochore, de six mille suffrages réunis sur le même nom. Cette seconde hypothèse est la plus probable4. Cette procédure n’avait de sens qu’avant les élections, lesquelles se tenaient chaque année de la septième à la neuvième prytanie4. Au cours de cette séance décisive d’ostracophorie, chaque citoyen qui souhaitait voter inscrivait sur un tesson de céramique ou éventuellement une coquille d’huître (d’où le mot ostracon) le nom de la personne dont le bannissement hors d’Athènes lui semblait nécessaire au bien public. Il n’y avait encore une fois pas de débat. Le bureau était constitué par les neuf archontes entourés de la Boulè au complet. Les citoyens portaient ensuite leur tesson « dans un endroit de la place publique fermé circulairement d’une cloison de bois »5. Les magistrats comptaient alors le nombre des tessons. Le résultat du scrutin était proclamé sur la Pnyx. Si la majorité des six mille suffrages s’était dégagée sur un nom lors du vote, la personne devait quitter la cité dans les dix jours et pour dix ans ; cette peine demeurait souvent théorique, car beaucoup d’ostracisés étaient rappelés par anticipation. À l’origine, l’ostracisé pouvait s’établir où il voulait hors de l’Attique, mais en 480, il lui fut interdit de le faire en deçà du cap Géraistos (Eubée) et du cap Skyllaion, à l’est de l’Argolide6, car on craignait qu’un homme influent ne puisse continuer à peser sur la vie publique d’Athènes s’il restait trop près du territoire de la cité7.

 Wikipedia.

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Je rêve d’un ostracisme actualisé, renouvelé… non plus seulement réservé aux politiques influents et dangereux pour la cité mais réservé à ceux qui, par leurs manoeuvres dilatoires  et perverses, la mettent en danger. Je pense à un Macron, bien sûr, à un Lang et tous leurs soutiens, les europhiles fous ne rêvant que fédération européenne et de gouvernement mondial, un Attali par exemple (on ne peut pas grand-chose contre un Soros, puisqu’il n’est pas français, sauf à lui envoyer quelques barbouzes pour débarrasser la planète de sa néfaste puissance). Mais on devrait aussi expulser, manu militari ou par procédure d’ostracisme une Bouteldja, un Ramadan, un Lasfar et sa complice Aubry, le médaillé d’honneur Oubrou, le fameux Zekri qui trouve normal qu’une Mila soit menacée de mort, la Diallo, la Benbassa et tant d’autres…Bien trop nombreux pour pouvoir les citer tous ici, ils fileraient doux si une procédure d’ostracisme existait… mais en tout cas l’obscur  franco-américain Norman Najari devrait passer à la casserole.

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Tout cela serait possible si on voulait se séparer de l’hydre mondial qui prétend nous interdire de vivre selon NOS lois, nos principes et de nous défendre. J’ai bien dit « si on voulait », parce que, pour pouvoir il faut vouloir. Ce que ne veulent pas nos élites, ni, apparemment, une majorité du peuple français qui depuis 50 ans choisit les dirigeants europhiles et islamophiles. 

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Je rêve. Je rêve d’autant plus que, en 2020, si l’ostracisme était prévu par nos lois, « ils » seraient bien fichus de faire ostraciser une Marine le Pen ou un Zemmour, avec l’armée de débiles, de vendus, de journaleux influents, de gauchos,  antifas et autres groupies des Traoré et autres DLNA. Ben oui, les Grecs étaient gens sages qui réservaient un statut à part aux étrangers, c’était des métèques, autorisés à vivre à Athènes, à y commercer… mais certainement pas à voter… La mort de notre pays est arrivée non pas tant avec l’immigration et le regroupement familial mais avec les naturalisations à outrance, avec le « droit du sol » qui permet qu’un enfant né en France de parents étrangers soit automatiquement français à sa majorité, qu’un parent d’enfant français à cette mode soit naturalisé, comme le Pakistanais de 20 ans qui se marie avec une femme de 60.

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Un Socrate, un Périclès,  mourraient une seconde fois d’effroi et de désespoir en voyant ce qu’est devenue la Grèce, notre mère à tous. 

Il ne faut pas, pour autant, trop idéaliser la mère patrie, elle qui a été capable de condamner l’inventeur de la liberté et du questionnement, Socrate, à boire la ciguë… Homo homini lupus.

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Pour en savoir plus sur les Grecs et la citoyenneté :

Sachant que des statistiques ne sont pas tenues régulièrement par les Athéniens, les chiffres qu’on avance sont des approximations modernes: entre le Ve et le 1er siècle av. J.-C., la communauté civique a varié de 20 000 à 50 000 citoyens. Des historiens du juste milieu optent pour 40 000 citoyens sur une population totale de 250000 à 300000 (chiffres incertains). La majorité de la population est donc composée d’esclaves, de métèques et d’affranchis. Les esclaves sont la main-d’oeuvre essentielle à Athènes ; les métèques s’occupent du commerce.
Les Grecs ont ceci de bien qu’ils expliquent tout par un mythe. Un beau jour, un olivier sort du sol tandis qu’une source jaillit, deux phénomènes aussi inattendus que prodigieux. On consulte Apollon, qui explique que l’olivier signifie Athéna et l’eau, Poséidon. Aux citoyens de décider laquelle des deux divinités donnera son nom à la cité. Les habitants des deux sexes tiennent une assemblée. Les hommes votent Poséidon, les femmes, Athéna. À une voix près, celle-ci l’emporte. Colère de Poséidon, qui ravage le pays.
Pour apaiser sa fureur, les femmes se voient infliger trois peines: elles n’auront plus le droit de vote, aucun enfant ne portera le nom de sa mère et on ne les appellera pas athéniennes. Et voilà pourquoi une femme reste mineure toute sa vie.
Heureusement, Périclès est arrivé. En 451, il fait promulguer une loi qui confère à l’épouse la parité avec son mari dans la transmission de la citoyenneté. Avant, il suffisait d’avoir un père athénien pour être citoyen de plein droit. À partir de là, il faut avoir un père et une mère athéniens libres et, de surcroît, unis par un mariage légitime. Ce qui exclut pas mal de candidats. Sans aller jusqu’à ériger Périclès en précurseur du féminisme, il faut reconnaître que sa loi donne à la dame une petite part dans la politeia. Lot de consolation: elle occupe une place éminente et parfois exclusive dans certaines fêtes religieuses, comme celles d’Athéna. Juste retour des choses, puisque la seule fois où les Athéniennes ont voté, c’était pour elle.
Le sort des esclaves de la cité est encore moins enviable. Si certains esclaves domestiques font partie de la maison, ceux qui travaillent dans l’industrie connaissent des conditions de vie très rudes : dans les mines de plomb argentifère du Laurion, qui produisent le métal servant à frapper la monnaie d’Athènes, les esclaves sont contraints de travailler couchés sur le ventre dans des galeries étroites et étouffantes. Employés à toutes sortes de travaux, agriculture, corvées domestiques, enseignement, spectacles, ils sont le plus souvent des captifs de guerre, de razzias ou d’un trafic d’esclaves organisé, et sont vendus au marché. Mais un esclave ne l’est pas toujours à vie et il peut parfois racheter sa liberté ou elle lui est rendue.

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8 Commentaires

  1. « …n’a rien à envier à l’Alabama des années 50… » Je ne sais pas ce que ça valait mais vous pouvez trouver l’Alabama des années 70 avec le groupe Lynyrd Skynyrd en concert à Oakland Coliseum Stadium le 7/2/1977
    https://www.youtube.com/watch?v=6GxWmSVv-cY
    Pas de brigade anti négrophobie !

  2. franco-américain Norman Najari

    hahaha!!

    le maghrébo – américain, Najari (najari signifiant menuisier en rebeu)

  3. Bonjour le problème c est que vous oubliez toujours l essentiel la grande majorité de nos concitoyens ne sont pas acquis à notre cause ; la preuve malgré l antimacronisme ambiant plusieurs sondages confirment sa réélection en 2022, Certes avec un écart moins important mais un écart de quasiment 10 % soit des millions de voix en plus et encore parce que c est Macron si il nous mettait un autre ou une autre gugus du même style on aurait les mêmes résultats qu en 2017. La preuve en est les résultats du premier tour des municipales où aucune progression du RN est enregistré donc on peut commenter encore et encore, écrire des articles encore et encore mais la catastrophe est inéluctable car je vous rappelle que les présidentielles c est dans moins de deux ans et si le système voit que Macron n est pas sur de gagner ils en mettront un autre en place tout simplement ! Puis après pendant encore cinq ans on dira cette fois ci en 2027 ce sera la bonne, tu parles ! Autre point très important l âge moyen que l on voit dans les meetings du RN quasi que des sexagénaires voir plus même, quelques jeunes mais très peu or ces sexagénaires sont plus proches de la fin que du début si vous voyez ce que je veux dire donc l avenir s annonce mal très mal !

  4. Faites savoir concrètement à ce sous-doué de la tribu des Blacklivematter échoué à Toulouse que vous partagez pleinement l’opinion exprimée à son sujet dans cet article :
    IMPRIMER l’article et L’ENVOYER par La Poste à son ADRESSE POSTALE PUBLIQUE que vous trouverez sur la page
    http://villanova.academia.edu/NormanAjari/CurriculumVitae
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    (Vous noterez un petit défaut visuel sur la reproduction de la notice wikipedia « ostracisme » en bas de la page 2 mais c’est sans importance).
    Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 4 pages, en deux feuilles : la première feuille imprimée recto-verso avec les pages 1 & 2 et la deuxième feuille imprimée recto-verso avec les pages 3 & 4.
    Signer au bas de la dernière page, dans le tout petit espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes à un Blacklivematter…) et poster.
    Voilà, faire acte concret de résistance face aux diatribes mongoloïdes d’un Blacklivematter, ça commence en investissant un timbre.

  5. Très intéressant retour sur le passé athénien. L’ostracisme serait en effet une excellente mesure mais la condition de base pour qu’il fonctionne de façon équitable c’est que le peuple ne soit pas soumis à la propagande médiatique, principalement télévisuelle, qui lui lave le cerveau en flattant son penchant pour la facilité après une journée de travail plus ou moins stressante. Au temps de Platon et Socrate, il y avait tout un débat déjà sur les sophistes qui se flattaient d’aider les politiciens à « persuader » le peuple plutôt qu’à le convaincre, et ainsi à lui faire accepter des mesures démagogiques ou contraires à l’intérêt public au bénéfice d’oligarques. Les dialogues de Platon avec son héros Socrate dénoncent le rôle pernicieux des sophistes et des professeurs de rhétorique, en oppositions aux philosophes qui recherchent la vérité en ne se contentant pas de simples opinions bien présentées.

  6. Bonjour,

    Un grand merci pour cet article !

    Mais pour Adjari et sa clique à la Plenel l’ostracisme est bien trop doux : je verrais mieux un équivalent des mines du Laurion …

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