Monsieur le Président, ma femme accepte que je vous cède une de mes couilles pour vous la greffer

.

Monsieur le Président !

Je suis tellement chagrin de vous voir malmené dans les sondages, vilipendé désormais par la meute de journalistes qui vous encensaient encore hier que j’ai décidé de vous venir en aide, et,  à travers vous, de venir en  aide à mon pays.

On sent bien que vous avez compris l’enjeu actuel de la souveraineté nationale sur tous les territoires de la République.

On soupçonne néanmoins que vous hésitez encore à passer à l’acte.

Les paroles sont là, un peu timides mais prometteuses cependant.

Dans votre discours de dimanche, n’aviez-vous pas dit :

« Nous ne bâtirons pas davantage notre avenir dans le désordre. Sans ordre républicain, il n’y a ni sécurité ni liberté ». 

Puis hier, vous êtes intervenu auprès de votre ministre de l’Intérieur pour qu’il prenne position :

« Si des étrangers sont impliqués dans des troubles à l’ordre public, nous examinerons systématiquement, dans le respect des procédures administratives et le cas échéant judiciaires, la possibilité de les expulser ».

Examiner une possibilité, c’est encourageant, le faire c’est mieux.

On croirait la chanson d’Annie Cordy « J’voudrais bien mais j’peux point »

On vous sent hésiter, comme un puceau tétanisé qui, malgré l’envie qui le tenaille, refuse de passer à l’acte par crainte d’une éjaculation précoce.

Après mûre réflexion, je pense qu’il ne vous manque qu’une solide paire de couilles pour passer à l’acte.

J’ai longuement pesé le pour et le contre, consulté un chirurgien, puis discuté avec mon épouse.

À l’issue de ces démarches, nous sommes parvenus à un accord :

 Elle accepte que je vous cède une de mes couilles pour vous la greffer.

Le chirurgien nous a rassurés : je n’aurai pas d’effet secondaire fâcheux et « Tout marchera comme avant !».

Un de mes amis accepte d’en faire autant, si bien qu’à l’issue de ces opérations, vous seriez sévèrement burné.

Un seul risque cependant !

Le praticien estime en effet que le risque de rejet des couilles de gaulois réfractaires sur un apatride culturel serait assez élevé.

Peut-être pourriez-vous consulter les membres de votre Conseil scientifique ou de votre Haute Autorité de la Santé dont la valeur n’est désormais plus à prouver ?

Je souhaite ainsi perpétuer une longue tradition familiale en laissant une partie de moi-même au service de la Patrie.

Mon grand-père a donné un bras à Verdun en 1918, un fils dans la résistance en 1944. C’est finalement fort peu en comparaison.

Vous m’honoreriez en acceptant.

Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments les plus républicains.

Raoul Girodet.

 1,022 total views,  2 views today

image_pdf

15 Commentaires

  1. Eh, les mecs vous êtes tous à côté de vos pompes.
    Peut-on greffer une burne sur une autre?
    Macron est à lui tout seul une grosse burne…vide.

  2. C’est très « cochon » mais vive le porc !!! Et tellement drôle !!! Et excellent !
    Ah ! si elles n’exstaient pas, ces coquines, il aurait phallus les inventer.

    Moi je pense comme vous, Christian Jour, la petite Emmanuelle doit préférer les 4 « noires » des 2 grands Blacks, lesquels se foutent bien de la gueule du petit blanc …

    Car ça, ce nabot, entouré par 2 grands escogriffes, c’est le chef d’Etat de la France ? Une honte pour notre pays.

  3. C’est ballot ça ! j’ai fait castrer deux bouc avant hier si j’avais su j’aurais gardé pour lui ces grosses pendelottes !

  4. Au secours! J’ai les muscles en compote! Je n’ai jamais autant rigolé.

  5. Il veut peut être uniquement des couilles de Blacks, vu qu’il les invite même à l’Élisée.

  6. Y connais pas macron le Raoul !! mort de rires :-))

    Plus sérieusement, ce n’est pas une paire de couilles que le macron veut qu’on lui donne ! non, lui, c’est seulement emprunter un gros radis noir à se mettre juste au dessus des couilles en levrette quoi, et, très régulièrement tant qu’à faire !!

    Quand il a une paire de couilles au cul, ce ne sont jamais les siennes, vous devriez tous le savoir, surtout depuis la fête des DEGENERES, celle des « noirs pédés et fière de l’être !!  » …

  7. C’est un couille de mammouth qu’il lui faudrait à cet eunuque vendu et prêt a s’agenouiller devant la horde hurlante des mahométans arabo-africains..

  8. Un excellent article, à IMPRIMER et ENVOYER par la Poste au président « Micron » !
    D’autant plus que le courrier au Président n’a pas besoin de timbre, alors ce serait dommage de s’en priver…
    L’adresse postale du président « Micron » se trouve sur la page
    https://formalites-administratives.ooreka.fr/fiche/voir/632053/ecrire-au-president-de-la-republique
    au §2 (où il est précisé qu’il n’y a pas besoin de timbrer).
    Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
    Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche du présent article.
    (ou accès direct : https://www.printfriendly.com/p/g/VUXSrs )
    Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 120% et la taille d’image 100%.
    Ceci fait, cliquer sur l’icône PDF.
    Choisir la taille de page « A4 » (« Letter » est le format américain) puis cliquer sur « Téléchargez votre PDF » et enregistrer le PDF sur votre ordinateur.
    Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 2 pages, au choix : en deux feuilles imprimées recto chacune ou bien en une seule feuille imprimée recto-verso.
    Signer au bas de la dernière page, dans le petit espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes à un aspirant dictateur…) et poster.
    Voilà, faire acte concret de résistance, ça commence sans même avoir besoin d’investir un timbre.

  9. Tiens Macron, tu vas plus en manquer, en vlà 2 de plus :

     » Les couilles de mon grand père
    Sont pendues au plafond
    Et ma grand-mère,
    Ma grand-mère se désespère
    De les voir se dessécher  »

    J’te les donne !

    • Il n’a pas besoin de plus de couilles. Souvent il lui arrive d’en avoir quatre entre les jambes: c’est quand il se fait enrichir par une « chance ».

    • Il aurait bien trop la trouille qu’au cours de l’opération, on lui refile une saloperie.

Les commentaires sont fermés.